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Les vrai origines de l'islam et du Coran

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  • Les vrai origines de l'islam et du Coran

    Voici une partie d'un entretien avec Edouard-Marie Gallez sur les vrai origines de l'islam et du Coran qui en fait viennent d'hérétiques ex-judéo-chrétiens dit les nazaréens ou judéonazaréens, qui eux niaient la mort et résurrection de Jésus.

    Plus encore que les circonstances favorables, ce qui est important, dites-vous, c’est la vision de l’Histoire et du salut qui fit l’unité entre les différents partenaires du projet. Nous n’en avons pas encore beaucoup parlé. Cette vision présente certains aspects intemporels que l’on pourrait retrouver aujourd’hui...

    Il faut en dire un peu plus en effet. Dans cette vision, le salut n’est pas spirituel, il ne passe pas par une réforme intérieure que l’on nomme conversion. C’est un salut qui doit se réaliser au niveau de la société. Là où Jésus a parlé (rarement) de l’opposition entre les fils de ténèbre et les fils de lumière, ils imaginent une vision du monde où des appartenances communautaires distinguent et séparent ces deux groupes. D’un côté, il y a le Parti de Dieu, et de l’autre le reste de ceux qui, forcément, sont contre Dieu, ne serait-ce qu’à cause de leur ignorance. Cette manière de voir est toujours fondamentalement celle de l’Islam, qui ne peut concevoir le monde autrement que comme un affrontement du Dâr al-islâm, le domaine où l’Islam est instauré comme loi du pays et où les non musulmans sont soumis, et le Dâr al-harb ou domaine de la guerre c’est-à-dire les pays et institutions à conquérir puisque Dieu les a donnés aux musulmans. Mais ce furent d’abord les judéo-nazaréens qui cultivèrent cette idéologie en nourrissant ces prétentions conformément à ce qu’on lit dans leurs livres, on l’a vu précédemment. Notons que, au temps du communisme, les sectateurs de cette idéologie avaient une vision très semblable du monde, divisé dialectiquement entre monde socialiste et monde à conquérir. Le pire, c’est que tous ces gens croient sincèrement sauver le monde puisqu’ils pensent détenir la recette de son salut. Or, l’importance d’une telle fin justifie les moyens : que vaut la vie d’un homme, ou celle de quelques millions d’hommes, si le salut du monde est en jeu ? C’est là où se trouve la perversion totale de ces idéologies capables de transformer des hommes paisibles et pacifiques en assassins, comme on le voit toujours en de nombreux pays. Cette perversion tire sa force du christianisme. Simplement, celui-ci est contrefait. C’est le petit détail qui change tout, et qui passe parfois inaperçu du plus grand nombre (et parfois aussi de certains intellectuels). On connaît mal les guerres que firent Mahomet et Umar au départ de Yathrib pour soumettre toutes les tribus arabes à leur portée, mais les traditions musulmanes évoquent la ruse, la férocité, les meurtres. Les Arabes sont unis dans le projet de prendre Jérusalem et d’y reconstruire le Temple, qui sera « le Troisième », ainsi qu’il est annoncé dans les apocryphes messianistes des judéo-nazaréens. Ce qu’on appelle « le deuxième Temple » est celui qui avait suivi l’exil et qui, en fait, a été rebâti par Hérode le Grand et détruit en 70 par les Romains de Titus alors même qu’il était enfin terminé.

    Vous n’êtes pas en train de me dire que les Arabes ont reconstruit le Temple juif à Jérusalem ?

    Les sources que nous possédons s’accordent pour dire que, dès que Jérusalem est prise, « la Maison » est relevée ; et qu’il s’agit d’un cube ! Selon certains témoignages que je reprends dans mon livre, cette reconstruction aurait d’abord été le fait de « juifs » avant d’être celui des Arabes. On peut comprendre que les observateurs non avertis ne comprenaient bien ni ce qui se passait, ni qui exactement tirait les ficelles. En fait, c’est une espérance exprimée dans la sourate II qui, pour ainsi dire, se réalisait là : « Abraham (figurant les juifs et les Arabes unis) relèvera les assises (qui restent) de la Maison avec [l’aide d’]Ismaël. (figurant les Arabes) » (II, 127). Personne ne sera étonné d’apprendre que le cube hâtivement élevé avait les dimensions exactes du cœur du temple d’Hérode - il constitue la véritable « mosquée de Umar », l’octogone que l’on voit aujourd’hui l’ayant remplacée à la fin du VIIe siècle tout en gardant une dimension extérieure égale à celle du cube. Une source dit que Umar fit un sacrifice devant cette Maison relevée, ce qui nous renvoie évidemment aux sacrifices anciens faits au Temple, mais sans doute aussi aux pratiques judéo-nazaréennes dont l’Islam a d’ailleurs hérité vaguement au moins dans le rite du sacrifice du mouton lors de l’aïd el-kébîr ou dans l’interdiction du vin et de l’alcool en général.

    Justement, existe-t-il des données permettant d’établir, au-delà des similitudes doctrinales entre le proto-islam et le judéo-nazaréisme, le sens de la collaboration de ces deux forces au moment de la prise de Jérusalem en 638 ? Quelle idée peut-on avoir des relations qui avaient existé entre Mahomet et ces judéo-nazaréens nourris de pensée eschatologique et apocalyptique ?

    Il est clair que les juifs qui entouraient Mahomet n’étaient pas des Juifs rabbanites. À ce sujet, il suffit d’entendre attentivement ce que les traditions islamiques ont à nous dire sur le personnage de Waraqa. J’en profite pour dire que son rôle a dû être si important qu’il n’a pas pu être effacé, alors que tant de témoignages islamiques anciens, écrits ou non, disparaissaient - en fait tous ceux qui sont antérieurs à la biographie normative de Ibn Hichâm, composée et imposée deux siècles après la mort de Mahomet : c’est seulement par des citations que l’on connaît quelque chose des écrits antérieurs, qui furent systématiquement détruits. Or, ce qui est dit de ce Waraqa est hautement révélateur, comme l’indique le dossier quasiment exhaustif réuni par Joseph Azzi sur ce personnage. On le présente comme un cousin de Khadidja, la première femme de Mahomet, ou parfois comme un cousin de celui-ci. Il pourrait être les deux, ce qui est même très vraisemblable. Il bénit leur mariage, et pour cause : il est dit « prêtre nasraniyy », ce qu’il ne faut pas traduire par prêtre chrétien mais bien par prêtre nazaréen. Nous l’avons vu, les judéo-nazaréens comptaient des prêtres parmi eux, très probablement des descendants de la tribu de Lévi ; et il y avait des consacrés hommes - ceux que le Coran nomme “moines” et qui sont dits se lever la nuit pour réciter des psaumes (III, 113 ; IV, 163 ; V, 82 ; XVII, 55.78 ; LXX, 20) -, ce qui est à comprendre dans une perspective eschatologique et guerrière : le salut du monde vaut que l’on s’y consacre totalement. De Waraqa, le commentateur Al-Buhari (mort en 870) donne la présentation suivante : « Cet homme, qui était cousin de Hadidja du côté de son père avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ». Il est de la tribu arabe des Qoréchites, mais « il est devenu nazaréen ». Il constitue donc un pont entre les deux peuples. Al Buhari a encore cette parole à la fois énigmatique et révélatrice : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». À l’époque, il n’est pas question du tout de « révélation », sinon de traductions en arabe des écrits judéo-nazaréens (comme par exemple quand le texte coranique évoque les « feuilles d’Abraham » - celles de Moïse étant tout simplement la Torah c’est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible). Les feuillets coraniques les plus anciens seraient-ils de lui ? Pas nécessairement, car les feuillets sont des écrits de circonstance - essentiellement de propagande -, alors qu’il est plutôt dit le traducteur de textes beaucoup plus important. Dans l’avenir, la recherche y verra sans doute plus clair sur ces points. En tout cas, il ne dut pas être le seul à écrire pour les Arabes « devenus nazaréens »... ou à convaincre de le devenir ! Christoph Luxenberg a montré le substrat araméen qu’il fallait quelquefois supposer pour lire correctement - c’est-à-dire en corrigeant parfois le diacritisme - certains versets coraniques particulièrement obscurs ; il n’y a là rien d’étonnant si l’on pense que la langue maternelle du ou des auteurs est le syro-araméen, la langue habituelle des judéonazaréens. Ce qui est dit également dans les traditions islamiques de Zayd, qui aurait appris l’hébreu et l’écriture dans les écoles juives, est également très révélateur, même si c’est approximatif : ce « juif » de Yathrib a joué un certain rôle dans l’élaboration du proto-islam, qui était encore le pendant arabe très peu autonome du judéonazaréisme. Il faudrait mentionner encore les inscriptions qu’on dit, faute de mieux, « judéoarabes » et que l’on a trouvées il y a quelques années dans le désert du Neguev (sud d’Israël) ; Alfred-Louis de Prémare les a finement analysées. Il s’agit d’invocations en arabe adressées par exemple au Dieu de Moïse et de Jésus, et elles datent de l’enfance de Mahomet. Par comparaison, rien de tel n’existe dans la région mecquoise, et d’autant moins que ni cette écriture ni cette langue arabe n’y étaient employées.

    Il est impossible d’évoquer tout ce que l’on trouve dans votre livre. Il révèle la figure historique de Mahomet, il montre qu’il faut le considérer surtout comme celui qui a réussi à unir plusieurs tribus arabes autour du projet judéo-nazaréen de la « conquête de la terre ». Pouvez-vous préciser davantage encore quelle était la croyance de ces judéo-nazaréens ?

    Les judéo-nazaréens reconnaissaient Jésus non pas comme le Fils de Dieu venu visiter son peuple - pour reprendre une manière de parler très primitive -, mais seulement comme le Messie suscité par Dieu. Ce n’est pas de sa faute si ce dernier n’a pu établir le Royaume de Dieu : les Grands-Prêtres se sont opposés à lui et vont même vouloir le tuer. Mais Dieu ne pouvait permettre que son Messie fût crucifié, Il l’enlève donc à temps au Ciel, et c’est une apparence - un autre homme ou une illusion - qui est clouée sur la croix à sa place. Divers textes apocryphes disent cela bien avant le Coran (IV, 157), et certains imaginent même que c’est Simon de Cyrène, celui qui avait aidé Jésus à porter sa croix, qui se retrouve dessus par erreur. L’important, c’est que Jésus, lui, soit gardé “en réserve” au Ciel. Mais il ne peut redescendre que lorsque le Pays sera débarrassé de la présence étrangère et que le Temple sera rebâti par les vrais croyants. Pour que le salut du monde advienne, la recette est donc évidente : il suffira de prendre Jérusalem - qui doit devenir la capitale du monde - et de reconstruire le Temple. Le « Messie-Jésus » - une expression gardée dans le Coran que nous avons - imposera alors le Royaume de Dieu sur toute la terre. Là, on est loin des messianismes antérieurs à notre ère, qui étaient simplement nationalistes et religieux.
    Dernière modification par algiers09, 10 octobre 2015, 22h00. Motif: erreur

  • #2
    Bonjour Algiers09,

    Le père Edouard-Marie Gallez remet en cause toute la version officielle de l'histoire musulmane, d'après lui l'islam est un héritage de la secte des judéonazaréens...y a t il des preuve de l’existence elle même de cette secte?
    Etant un "père" aura t il une quelconque crédibilité au prés des musulmans?
    Imaginez vous un monde parfait? essayons juste de rendre celui ci meilleur...

    Affiner sa pensée, sa réflexion est nettement plus bénéfique que d'avoir raison.

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    • #3
      ya til une preuve de lexitence de jesus hors cadre de leglise
      quel comtemporain romain de lepoque de jesus a ecrit au temp de jesus

      plus serieusement si ont prend un argument quil met

      ous n’êtes pas en train de me dire que les Arabes ont reconstruit le Temple juif à Jérusalem ?

      Les sources que nous possédons s’accordent pour dire que, dès que Jérusalem est prise, « la Maison » est relevée ; et qu’il s’agit d’un cube ! Selon certains témoignages que je reprends dans mon livre, cette reconstruction aurait d’abord été le fait de « juifs » avant d’être celui des Arabes. On peut comprendre que les observateurs non avertis ne comprenaient bien ni ce qui se passait, ni qui exactement tirait les ficelles. En fait, c’est une espérance exprimée dans la sourate II qui, pour ainsi dire, se réalisait là : « Abraham (figurant les juifs et les Arabes unis) relèvera les assises (qui restent) de la Maison avec [l’aide d’]Ismaël. (figurant les Arabes) » (II, 127). Personne ne sera étonné d’apprendre que le cube hâtivement élevé avait les dimensions exactes du cœur du temple d’Hérode - il constitue la véritable « mosquée de Umar », l’octogone que l’on voit aujourd’hui l’ayant remplacée à la fin du VIIe siècle tout en gardant une dimension extérieure égale à celle du cube. Une source dit que Umar fit un sacrifice devant cette Maison relevée, ce qui nous renvoie évidemment aux sacrifices anciens faits au Temple, mais sans doute aussi aux pratiques judéo-nazaréennes dont l’Islam a d’ailleurs hérité vaguement au moins dans le rite du sacrifice du mouton lors de l’aïd el-kébîr ou dans l’interdiction du vin et de l’alcool en général.
      127. Et quand Abraham et Ismaël élevaient les assises de la Maison : "Ô notre Seigneur, accepte ceci de notre part! Car c'est Toi l'Audient, l'Omniscient.

      cest du passer qui est employer pas du futur
      pour le reste aucun argument decisif
      Dernière modification par momo84, 15 octobre 2015, 12h01.

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      • #4
        Smir

        [B]Etant un "père" aura t il une quelconque crédibilité au prés des musulmans?
        Smir
        [/B

        je répondrai que les judéonazéerens niaient la divinité de Jesus (comme l'Islam) ce qui est contre ce que croit le père Galliez.

        D'un autre côté ce chercheur, car c'est avant tout un chercheur avant d'être un ecclésiastique, nous montre des pistes inexplorées jusque là, à savoir la judéité de Waraka In Noufel et son influence sur le prophète. I y a lieu de signaler à cet égard qu'après la mort de Waraka la source du Coran s'est tarie pendant deux ans, ce qui est quand même assez long.

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        • #5
          je répondrai que les judéonazéerens niaient la divinité de Jesus (comme l'Islam) ce qui est contre ce que croit le père Galliez.
          Oui, mais lui il met en exergue leurs existences, cela ne remet pas en cause ce qu'il croit.

          D'un autre côté ce chercheur, car c'est avant tout un chercheur avant d'être un ecclésiastique, nous montre des pistes inexplorées jusque là, à savoir la judéité de Waraka In Noufel et son influence sur le prophète. I y a lieu de signaler à cet égard qu'après la mort de Waraka la source du Coran s'est tarie pendant deux ans, ce qui est quand même assez long.
          J'ai lu un document d'un certain Olaf, qui a travaillé sur les recherches de Edouard-Marie Gallez, c'est sans dire que ce que j y ai lu m'a troublé, l'on remarque bien le travail colossal qui est fait derrière, mais jusqu’à ou peut'on aller pour affirmer la véracité des éléments mentionnée d’après toi?

          PS: je trouve le sujet très intéressant, dommage qu'il ne soit pas assez animé...
          Imaginez vous un monde parfait? essayons juste de rendre celui ci meilleur...

          Affiner sa pensée, sa réflexion est nettement plus bénéfique que d'avoir raison.

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          • #6
            Jerusalem

            Autre fait troublant, les musulmans se dirigeaint dans leur prière vers jerusalem au début de la révélation coranique, n'est-ce pas là une preuve de l'influence de ces judéo nazaréens. Peut être qu'ils l'on aidé dans son entreprise car ils pensaient que Mohamed était le prophète qui allait reconstruire le temple ou bien en ont fait le prophète qui allait le faire. Cela tout au moins au début de l'avènement de l'Islam.

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            • #7
              Smir
              Le père Edouard-Marie Gallez remet en cause toute la version officielle de l'histoire musulmane, d'après lui l'islam est un héritage de la secte des judéonazaréens...y a t il des preuve de l’existence elle même de cette secte?
              Etant un "père" aura t il une quelconque crédibilité au prés des musulmans?
              Il ya certain sur ce forum , tout article qui tape sur l'islam, le coran ,et quelque soit sot son auteur , il est le bienvenue et quelque soit sot son auteur .Pour eux c'est la verité absolue

              Commentaire


              • #8
                Algiers09
                D'un autre côté ce chercheur, car c'est avant tout un chercheur avant d'être un ecclésiastique, nous montre des pistes inexplorées jusque là, à savoir la judéité de Waraka In Noufel et son influence sur le prophète. I y a lieu de signaler à cet égard qu'après la mort de Waraka la source du Coran s'est tarie pendant deux ans, ce qui est quand même assez long.
                Qu'est ce que tu attend de lui qu'il te dise : que Mohamed saw est un prophète , et que le coran a été révélé.

                Vous avez des conviction et puis tu cherche n'importe quel article pour venir à ton secours

                haya dis moi quel sont ces preuves irrefutables qu'il cite pour dire que waraka est un juif et non un chretien ?


                Autre fait troublant, les musulmans se dirigeaint dans leur prière vers jerusalem au début de la révélation coranique, n'est-ce pas là une preuve de l'influence de ces judéo nazaréens. Peut être qu'ils l'on aidé dans son entreprise car ils pensaient que Mohamed était le prophète qui allait reconstruire le temple ou bien en ont fait le prophète qui allait le faire. Cela tout au moins au début de l'avènement de l'Islam.
                tu oublie juste que le Dieu de Moussa, Aissa, et mOhamed est le meme , donc au debut direction vers jerusalem et comme le coran le dit et sira, le prophete saw souhaitait avoir kaaba comme direction Allah lui a exaucé ce voeux .
                mais pour toi ce pere est plus credible que tous les historiens des musulmans y compris les sahaba qui ont vecu cette situation et qui ont transmis l'histoire de ce changement de kibla.
                Dernière modification par mertaw, 15 octobre 2015, 16h25.

                Commentaire


                • #9
                  haya dis moi quel sont ces preuves irrefutables qu'il cite pour dire que waraka est un juif et non un chretien ?
                  Mertaw

                  réponse
                  Effectivement rien ne le prouve car les sources neutres sur cette période sont rares voire inexistantes car elles ont été probablement détruites et les recherches archéologiques ou autres sur ce sujet sont interdites pour les raisons que vous savez, mais je vous invite à lire cet extrait trouvé dans Wikipédia ( vous pouvez le consulter en tapant Judéo-nazaréisme :

                  L'islam et le Troisième Temple
                  L'étude du judéo-nazaréisme propose de nouvelles perspectives sur la question des origines de l'islam, même si cette approche est rejetée par la majorité des musulmans. Un passage du 4e livre d’Esdras donne une idée de la parenté de pensée avec le Coran qui parle des justes auxquels le monde doit revenir, fait penser à un verset de la sourate 7, d’autant plus qu’il est mis dans la bouche de Moïse : La Terre appartient à Dieu. Il en fait hériter qui il veut parmi ses créatures, et le résultat appartient aux pieux (s.7,128). La Terre doit donc appartenir aux pieux et aux justes parce qu’ils obéissent à Dieu et qu’ils doivent réaliser le salut du monde tel que Dieu le veut. Selon les récits islamiques, Mahomet épousa Khadija dont le cousin ou oncle, Waraqa ibn Nawfal est un « prêtre nasraniy » qui bénit leur mariage – le mot nasraniy signifie ici clairement non pas chrétien mais nazaréen comme en témoignent plusieurs passages du Coran lui-même : dans les sourates 2, verset 22 et 22,17, selon la traduction très littéraliste du Coran faite par le gouvernement saoudien IFTA le pluriel nasârâ est rendu par nazaréens .
                  Une masse d'indices convergents suggèrent[réf. souhaitée] que Waraqa faisait partie de la première génération d’Arabes qui, avant Mahomet, avait été touchée par la doctrine des judéonazaréens (qui étaient géographiquement leurs voisins - René Dussaud en trouve des traces dans la topographie syrienne, voir carte ci-jointe, partie ouest en jaune/ les références de ce travail ont été intégrées à la carte). Waraqa était sans doute de mère judéonazaréenne[réf. souhaitée] et de père arabe, mais ne fut le seul « pont » entre les deux groupes, en cette fin du VIe siècle : toute la communauté judéonazaréenne locale avait entrepris de convertir[réf. souhaitée] leurs voisins arabes à leur vision de l’histoire et du « Messie-Jésus » (selon l’expression du Coran).
                  L'intervention de Waraqa comme appui de Mahomet dans le début de la « révélation » permettait de montrer qu'une personne de tradition judéo-chrétienne, mais foncièrement monothéiste, voyait la vérité dans le message transmis à Mahomet.
                  Les judéo-nazaréens comprenaient comme une nouvelle présence matérielle la seconde venue du Messie-Jésus. C’est d’ailleurs un message que Mahomet proclama aux Arabes, selon deux sources indépendantes dont l’une est musulmane et l’autre juive :
                  1. “Selon Abu Hourayra le Prophète a dit : « Par Celui qui tient mon âme en sa main, la descente de Jésus fils de Marie est imminente ; il sera pour vous un arbitre juste… il mettra fin à la guerre et il prodiguera des biens tels que personne n’en voudra plus »” (hadith de Bukhari et Muslim)15
                  2. Ce souvenir, que les manipulations ultérieures n’ont pas pu effacer, est recoupé par l’unique témoignage contemporain, conservé dans la Doctrina Jacobi16 et tiré d’une lettre envoyée par un juif rabbinique à son frère ; elle indique : « il [Mahomet] proclamait la venue du Messie qui allait venir ». Ce Messie, mot signifiant celui qui a reçu l’onction de Roi, le Coran précise onze fois de qui il s’agit : le « Messie-Jésus » (al masîh-‘Îsa) et nul autre »


                  Certaines sources allèguent que même Khadidja était Nazaréenne (judéo-nazaréenne) ce qui est conforme à la logique car sinon elle n’aurait pas emmené le prophète à son oncle ou cousin Waraka, lorsque l’ange Gabriel lui est apparu.
                  En tout cas il y a une grande zone d’ombre sur la période qui a précédé la révélation (entre le mariage du prophète avec Khadidja à l’âge de 25 ans et le début de la révélation à l’âge de 40 ans, c’est-à-dire sur quinze ans quand-même) et on ne saura probablement jamais la vérité sur ce qui s’est réellement passé durant cette période.
                  Dernière modification par algiers09, 16 octobre 2015, 08h54. Motif: erreur

                  Commentaire


                  • #10
                    réponse
                    Effectivement rien ne le prouve car les sources neutres sur cette période sont rares voire inexistantes car elles ont été probablement détruites et les recherches archéologiques ou autres sur ce sujet sont interdites pour les raisons que vous savez, mais je vous invite à lire cet extrait trouvé dans Wikipédia ( vous pouvez le consulter en tapant Judéo-nazaréisme :
                    voilà , l'excuse pourquoi tu veux qu'ils soit beaucoup plus juif que chretiens , à ça change quoi en pratique , vu que les chretiens lisent aussi l'ancien testament .

                    c'est juste chercher la petite bête pour discréditer l'islam.
                    meme si c'est faux que warraqa a influ Mohamed saw vu qu'il est mourru peu temps aprés et plein
                    la question est :
                    Est ce que le fait de jésus a adopté la majorité des prescriptions et des écrit de Moussa as , et qu'il a vecu au sein des juifs et de leur rabin celà veut dire qu'il un imposteur et il n'a jamais reçu de révélation ?


                    L'étude du judéo-nazaréisme propose de nouvelles perspectives sur la question des origines de l'islam, même si cette approche est rejetée par la majorité des musulmans. Un passage du 4e livre d’Esdras donne une idée de la parenté de pensée avec le Coran qui parle des justes auxquels le monde doit revenir, fait penser à un verset de la sourate 7, d’autant plus qu’il est mis dans la bouche de Moïse : La Terre appartient à Dieu. Il en fait hériter qui il veut parmi ses créatures, et le résultat appartient aux pieux (s.7,128).
                    pourquoi aller chercher mille et une explication pour cette ressanvblance au lieu de dire Celui qui a révelé à moussa cette parole est Le meme qui a revélé le verset à mohamed saws
                    Personnellement c'est le contraire qui m'aurait etonné c-à-d je serai tres etonné s'il n'avait aucune ressemblance entre les paroles du coran et les paroles contenues dans la bible ou l'evangile


                    En tout cas il y a une grande zone d’ombre sur la période qui a précédé la révélation (entre le mariage du prophète avec Khadidja à l’âge de 25 ans et le début de la révélation à l’âge de 40 ans, c’est-à-dire sur quinze ans quand-même) et on ne saura probablement jamais la vérité sur ce qui s’est réellement passé durant cette période.
                    condition qu'il y a vraiment une zone d'ombre et qu'il y a une vérité caché.


                    tu sait bien, que le prophete saws a été dejà annoncé dans l’Evangile de Barnabé , détruit ou caché par les chrétiens
                    Dernière modification par mertaw, 16 octobre 2015, 11h34.

                    Commentaire


                    • #11
                      Le but de cet article est de jeter comme d'habitude le doute sur l'Islam qui commence à s'étendre dans toute la planète

                      Commentaire


                      • #12
                        Le but de cet article est de jeter comme d'habitude le doute sur l'Islam qui commence à s'étendre dans toute la planète
                        Semer le doute dans quel but?
                        Prosélytisme? vers quoi ?? Les musulmans comme toi resteront muslmans jusqu'à la fin des temps, donc dors tranquille.
                        Laisse les gens dotés d'un cerveau se poser des questions, et admire en tant que spectateur.

                        Commentaire


                        • #13
                          Laisse les gens dotés d'un cerveau se poser des questions, et admire en tant que spectateur.
                          j'attends ce que tu vas nous proposer puisque tu es une tète pensante ? et non un spéctateur

                          Commentaire


                          • #14
                            le doute

                            Le but de cet article est de jeter comme d'habitude le doute sur l'Islam qui commence à s'étendre dans toute la planète

                            Haddou

                            justement il faut appliquer la méthode de l'examen par le doute sur une religion devenue en ce début de 21ème siècle objet de beaucoup de questionnements comme elle ne l'a jamais été auparavant, et je pense que même les croyants devraient y participer car si cet examen démontre que le Coran est vraiment parole de dieu et que mohammed est son prophète, alors je présume que la foi de ces croyants sera raffermie et si c'est le contraire, et que Mohamed ou les judéo-nazaréens ont inventé toute cette histoire, c'est la vérité qui en sortira vainqueur, même si l'Islam ne va pas disparaitre.

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                            • #15
                              justement il faut appliquer la méthode de l'examen par le doute sur une religion devenue en ce début de 21ème siècle objet de beaucoup de questionnements comme elle ne l'a jamais été auparavant

                              par algiers09


                              ce n'est pas nouveau comme méthode philosophique ,déjà Taha Hossein l'a emprunté à Descartes lorsqu'il a fait ses études à la Sorbonne , dans son ouvrage FI CHAIIR ALJAHILA , ce qui a soulevé un tollé général dont AL AZHAR, le problème que la croyance est indivisible ,soit on est croyant ou on l'est pas ,le fait de soumettre la religion à un examen ''scientifique " donc la métaphysique ne tient pas ,car on est dans deux disciplines antagoniques ,mais ,c'est possible d'essayer de percer le "mystère" du coran par l'interprétation en lui associant de nouvelles méthodes d'investigation ,comme la gnose ,la linguistique ,l’anthropologie etc
                              Dernière modification par haddou, 17 octobre 2015, 12h50.

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