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salam
Les industries du verre et de la fibre optique s’apprêtent à entrer dans une nouvelle phase de développement sans précédent. La mise en place de technologies nouvelles mais aussi la diversification des opportunités pour de nouveaux débouchés sur le marché national sont les principaux atouts qui propulsent ces deux filières au rang des créneaux les plus porteurs de l’industrie nationale.
Rencontrés jeudi dernier au palais des expositions de la Safex, à l’occasion du salon Alger Industries, des représentants du groupe ENAVA, ont annoncé la production de plus de 800 000 unités/an de verres destinés à l’industrie automobile à partir de janvier 2016 prochain. Avec des unités de productions dotées des équipements les plus modernes, le groupe, à travers sa filiale Africa-Verre installée dans la wilaya de Jijel à l’est du pays, produira dans le premier temps, des pare-brises, des vitres latérales ainsi que d’autres accessoires en verre avant de se lancer dans la diversification de son offre à moyen terme.
Pour les représentants du groupe, à présent, le site de production de Renault dans l’Oranie est le client stratégique ciblé par ENAVA, dont le produit est issu de matières premières exclusivement locales, en l’occurrence, le verre produit par Float Glass, une filiale du groupe Cévital.
Par ailleurs, c’est l’entreprise publique économique Catel qui semble tirer son épingle du jeu à la faveur du marché offert par Algérie-Télécom à travers la modernisation du réseau de la téléphonie fixe à travers le territoire national.
Selon les responsables de ladite entreprise appartenant au groupe public Elect-Djazaïr, l’EPE mise sur la production de 20 000 km linéaires de fibre optique par an dès l’entrée en activité de son nouveau site de production actuellement en voie d’achèvement.
Connue jusqu’ici par la production de câbles de différentes catégories, l’EPE Catel saisit ainsi les nouvelles opportunités qu’offrent les chantiers d’Algérie Télecom en se lançant dans la production de la fibre optique. Cette entreprise publique s’engage, selon ses représentants, à assurer près de 50% de la demande d’Algérie-Télécom en la matière. En termes de quantités, Catel produit actuellement quelque 12 000 km linéaires de câbles divers, mais avec l’entrée en activité de sa chaîne de production de la fibre optique, les capacités de production de cette entreprise publique dépasseront du loin les 30 000 km/an.
« La fibre optique fabriquée par Catel est issue d’une quinzaine de composants de différentes natures », explique un ingénieur de cette entité publique.
leconews
Les industries du verre et de la fibre optique s’apprêtent à entrer dans une nouvelle phase de développement sans précédent. La mise en place de technologies nouvelles mais aussi la diversification des opportunités pour de nouveaux débouchés sur le marché national sont les principaux atouts qui propulsent ces deux filières au rang des créneaux les plus porteurs de l’industrie nationale.
Rencontrés jeudi dernier au palais des expositions de la Safex, à l’occasion du salon Alger Industries, des représentants du groupe ENAVA, ont annoncé la production de plus de 800 000 unités/an de verres destinés à l’industrie automobile à partir de janvier 2016 prochain. Avec des unités de productions dotées des équipements les plus modernes, le groupe, à travers sa filiale Africa-Verre installée dans la wilaya de Jijel à l’est du pays, produira dans le premier temps, des pare-brises, des vitres latérales ainsi que d’autres accessoires en verre avant de se lancer dans la diversification de son offre à moyen terme.
Pour les représentants du groupe, à présent, le site de production de Renault dans l’Oranie est le client stratégique ciblé par ENAVA, dont le produit est issu de matières premières exclusivement locales, en l’occurrence, le verre produit par Float Glass, une filiale du groupe Cévital.
Par ailleurs, c’est l’entreprise publique économique Catel qui semble tirer son épingle du jeu à la faveur du marché offert par Algérie-Télécom à travers la modernisation du réseau de la téléphonie fixe à travers le territoire national.
Selon les responsables de ladite entreprise appartenant au groupe public Elect-Djazaïr, l’EPE mise sur la production de 20 000 km linéaires de fibre optique par an dès l’entrée en activité de son nouveau site de production actuellement en voie d’achèvement.
Connue jusqu’ici par la production de câbles de différentes catégories, l’EPE Catel saisit ainsi les nouvelles opportunités qu’offrent les chantiers d’Algérie Télecom en se lançant dans la production de la fibre optique. Cette entreprise publique s’engage, selon ses représentants, à assurer près de 50% de la demande d’Algérie-Télécom en la matière. En termes de quantités, Catel produit actuellement quelque 12 000 km linéaires de câbles divers, mais avec l’entrée en activité de sa chaîne de production de la fibre optique, les capacités de production de cette entreprise publique dépasseront du loin les 30 000 km/an.
« La fibre optique fabriquée par Catel est issue d’une quinzaine de composants de différentes natures », explique un ingénieur de cette entité publique.
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