L’Algérie demande un prêt à la Chine pour financer les grands projets
Les effets de la crise économique commencent à se manifester en Algérie. Le gouvernement a demandé un prêt auprès de la Chine pour financer « certains grands projets », a révélé, aujourd’hui samedi à Alger, le ministre du Commerce, Bekhti Belaïb.
« Les discussions sont actuellement en cours avec la partie chinoise », a déclaré le ministre algérien lors d'une réunion de travail avec le président du Conseil chinois pour la promotion de la coopération sud-sud, Lu Xin Hua.
Bekhti Belaïb, cité par APS, n’a pas révélé le montant de ce prêt. Il s’est contenté de dire qu’ qu’il s’agit d’une « exception », vu que la Chine applique de faibles taux d'intérêt.
La chute des prix du pétrole a poussé le gouvernement algérien a gelé de nombreux projets de développement dont la construction de CHU. Le gouvernement a décidé aussi, dans le cadre de LF 2016, d’augmenter le prix de l’électricité et du carburant.
Selon les derniers chiffres de la Banque d’Algérie, la dette extérieure du pays est estimée à 3,7 milliards de dollars (2,27 % du PIB) alors que les réserves de change se sont établies à 159 milliards de dollars, en juin dernier.
El Watan
Les effets de la crise économique commencent à se manifester en Algérie. Le gouvernement a demandé un prêt auprès de la Chine pour financer « certains grands projets », a révélé, aujourd’hui samedi à Alger, le ministre du Commerce, Bekhti Belaïb.
« Les discussions sont actuellement en cours avec la partie chinoise », a déclaré le ministre algérien lors d'une réunion de travail avec le président du Conseil chinois pour la promotion de la coopération sud-sud, Lu Xin Hua.
Bekhti Belaïb, cité par APS, n’a pas révélé le montant de ce prêt. Il s’est contenté de dire qu’ qu’il s’agit d’une « exception », vu que la Chine applique de faibles taux d'intérêt.
La chute des prix du pétrole a poussé le gouvernement algérien a gelé de nombreux projets de développement dont la construction de CHU. Le gouvernement a décidé aussi, dans le cadre de LF 2016, d’augmenter le prix de l’électricité et du carburant.
Selon les derniers chiffres de la Banque d’Algérie, la dette extérieure du pays est estimée à 3,7 milliards de dollars (2,27 % du PIB) alors que les réserves de change se sont établies à 159 milliards de dollars, en juin dernier.
El Watan
Commentaire