ARTICLE | 18. OCTOBRE 2015 - 19:02
Selon le président du Mouvement citoyen algérien en France (MCAF), le ministre de la Communication, Hamid Grine, n’a subi aucun traitement humiliant ou insultant lors de son voyage en France. «Selon des sources sûres au niveau de l'aéroport d'Orly sud, à Paris, cette affaire du ministre Grine qui prend des proportions inimaginables est complètement fabriquée et amplifiée», indique Omar Aït Mokhtar dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Le président du MCAF croit savoir que «M. Grine se trouvait à Paris dans le cadre d’une visite privée» et qu’«il a été contrôlé tout à fait normalement». «Il n'a jamais subi de fouille corporelle par la police de l’air et des frontières de l’aéroport d'Orly», souligne le président de cette organisation. Le ministre de la Communication a rameuté certains journaux et médias en ligne dans lesquels il émargeait avant d'être nommé ministre et qui lui sont restés fidèles, pour tenter de se replacer sur la scène médiatique d’où il est écarté depuis de longs mois pour son inaction et sa léthargie. La distribution des cartes de journalistes touchant à sa fin – ou étant achevée –, le ministre se retrouve ainsi au «chômage», n’ayant aucun rôle à jouer dans la configuration actuelle du gouvernement, où la parole est donnée surtout aux membres de l’Exécutif en charge de dossiers autrement plus sérieux, tels que la défense nationale, les affaires étrangères, les finances et l’industrie.
Karim B.
Selon le président du Mouvement citoyen algérien en France (MCAF), le ministre de la Communication, Hamid Grine, n’a subi aucun traitement humiliant ou insultant lors de son voyage en France. «Selon des sources sûres au niveau de l'aéroport d'Orly sud, à Paris, cette affaire du ministre Grine qui prend des proportions inimaginables est complètement fabriquée et amplifiée», indique Omar Aït Mokhtar dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Le président du MCAF croit savoir que «M. Grine se trouvait à Paris dans le cadre d’une visite privée» et qu’«il a été contrôlé tout à fait normalement». «Il n'a jamais subi de fouille corporelle par la police de l’air et des frontières de l’aéroport d'Orly», souligne le président de cette organisation. Le ministre de la Communication a rameuté certains journaux et médias en ligne dans lesquels il émargeait avant d'être nommé ministre et qui lui sont restés fidèles, pour tenter de se replacer sur la scène médiatique d’où il est écarté depuis de longs mois pour son inaction et sa léthargie. La distribution des cartes de journalistes touchant à sa fin – ou étant achevée –, le ministre se retrouve ainsi au «chômage», n’ayant aucun rôle à jouer dans la configuration actuelle du gouvernement, où la parole est donnée surtout aux membres de l’Exécutif en charge de dossiers autrement plus sérieux, tels que la défense nationale, les affaires étrangères, les finances et l’industrie.
Karim B.
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