Il est, à ce titre, bon de savoir qu’un ingénieur algérien débute sa carrière dans une entreprise publique, quand il a la chance d’y trouver un emploi, avec un salaire net d’à peine 25 000 DA, qu’il aura beaucoup de mal à faire évoluer, à moins d’un amical coup de pouce ou autre aubaine qui surgit à un moment donné de sa carrière.
A défaut, il ne pourra doubler son salaire de départ qu’au bout de 15 à 20 années de travail dans l’entreprise qui l’a recruté. Il n’est, de ce fait, pas rare d’entendre des cadres se plaindre d’être les grands perdants de la libéralisation économique qui n’aurait, affirment-ils, profité qu’aux plus riches et, dans une certaine mesure, aux couches pauvres qui continuent de bénéficier des aides multiformes de l’Etat dont eux seraient exclus au motif de bénéficier de salaires prétendument élevés.
El watan. 19.10.2015
A défaut, il ne pourra doubler son salaire de départ qu’au bout de 15 à 20 années de travail dans l’entreprise qui l’a recruté. Il n’est, de ce fait, pas rare d’entendre des cadres se plaindre d’être les grands perdants de la libéralisation économique qui n’aurait, affirment-ils, profité qu’aux plus riches et, dans une certaine mesure, aux couches pauvres qui continuent de bénéficier des aides multiformes de l’Etat dont eux seraient exclus au motif de bénéficier de salaires prétendument élevés.
El watan. 19.10.2015
Commentaire