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Partenariat algéro-français : inauguration d’une usine de fabrication d’aliments de bétail à Aïn Defla

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  • Partenariat algéro-français : inauguration d’une usine de fabrication d’aliments de bétail à Aïn Defla

    salam




    Une usine de fabrication d’aliments de bétail, fruit d’un partenariat franco-algérien entre le groupe SIM et la société française SANDERS, a été inaugurée mercredi à Aïn Defla, a-t-on constaté. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence du wali de Aïn Defla, Kamel Abbas, du PDG du groupe SIM, AbdlekdareTayeb Ezzraaïmi, du DG adjoint du groupe AVRIL (dont SANDERS est une filiale), Eric Philippe, et de l’ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié. Implantée dans la zone industrielle de Aïn Defla, cette usine, créée dans le cadre de la règle 51/49, d’une capacité de 150.000 tonnes d’aliment de bétail, a nécessité une enveloppe financière de 1,3 milliard DA, selon M.Ezzraïmi.

    Outre la création de nouveaux emplois, l’entrée en activité de cette nouvelle structure permettra notamment de valoriser les sous produits et les matières premières locales, à l’instar du caroube, des coques d’amande et des grignons d’olives, a-t-il précisé, faisant part de la volonté de son groupe d’instaurer une vision « moderne et dynamique dans un secteur stratégique comme l’aliment de bétail ». L’entrée en activité de cette usine assurera la disponibilité d’aliments de bétail hautement élaborés et adaptés aux différentes formes d’élevage afin de booster la production de lait et de viande, contribuant ainsi à la réduction des importations.

    Formant le voeu de voir ce partenariat servir de « locomotive », M. Ezzraïmi a invité d’autres partenaires à s’investir dans l’agriculture, secteur jugé « hautement sensible et indispensable à la sécurité alimentaire du pays ». Le choix de Aïn Defla pour l’implantation de cette unité a été dicté par les opportunités offertes, à savoir « la disponibilité du foncier industriel, l’élevage bovin et la vocation agricole de la wilaya », a-t-il signalé. Relevant que cette nouvelle usine offre « un outil de pointe pour travailler au mieux avec nos partenaires éleveurs en Algérie », Eric Philipe, directeur général adjoint du groupe AVRIL, a fait part de l' »attachement » de son groupe à accompagner le développement du marché algérien, « un marché dynamique et porteur, où la demande est de plus en plus croissante », a-t-il relevé.

    Se disant « fier » de ce « partenariat de confiance » qui amène le « meilleur de la technologie et du savoir faire français », l’ambassadeur de France en Algérie, s’est, pour sa part, dit persuadé que cette nouvelle usine permettra le développement de la filière agricole en Algérie. En sus de cette usine, des projets inhérents notamment aux filières bovines et céréalières sont « sous examen », a affirmé M. Emié, assurant que la coopération entre les deux pays dans le secteur de l’agriculture est un domaine « prioritaire ».
    (Aps)

  • #2
    L'aliment de bétail est cher. très cher.

    Logiquement, l'abondance sur le marché devra en diminuer son prix.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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