ALGERIE (Tamurt) – Si en politique c’est la guerre totale entre les décideurs algériens et autres clans qui composent le régime, concernant les affaires c’est une autre histoire. Les enfants des anciens ministres, présidents ou hauts gradés militaires font des fortunes dans divers domaines économiques.
C’est le cas d’un certain Toufik Bendjedid, qui n’est autre que le fils de l’ancien chef d’Etat algérien, Chadli Bendjedid. Selon l’un des gérants de l’une de ses sociétés, il fait partie des 20 personnes les plus riches d’Algérie. Il bénéficie de marchés colossaux dans le domaine d’hydrocarbures avec une société Italienne, dont le siège est basé à Sidi Yahia à Alger.
Cet homme d’affaire se tient souvent loin de la politique et s’occupe que des affaires, de sa famille, et de ses maîtresses bien sûr. Il aime aller dans les grands palaces. fréquenté les milieux d’affaires et les boites de nuit de l’Ouest d’Alger. On le surnomme le « fils de Halima ». Un surnom qui n’est guère fortuit. Il s’agit du prénom de sa mère. Un prénom qui reste ancré dans les anales de détournements des milliards en Algérie.
C’est au nom de cette Halima, seconde épouse de Chadli qui est oranaise, qu’un virement de 25 milliards de centimes a été effectué en 1988. A l’époque cette affaire est appelée par les Algérois et les politiciens opposant L’affaire Halima. Depuis cette affaire a enfanté tant d’autres d’affaires de détournement et de corruption.
TAMURT
C’est le cas d’un certain Toufik Bendjedid, qui n’est autre que le fils de l’ancien chef d’Etat algérien, Chadli Bendjedid. Selon l’un des gérants de l’une de ses sociétés, il fait partie des 20 personnes les plus riches d’Algérie. Il bénéficie de marchés colossaux dans le domaine d’hydrocarbures avec une société Italienne, dont le siège est basé à Sidi Yahia à Alger.
Cet homme d’affaire se tient souvent loin de la politique et s’occupe que des affaires, de sa famille, et de ses maîtresses bien sûr. Il aime aller dans les grands palaces. fréquenté les milieux d’affaires et les boites de nuit de l’Ouest d’Alger. On le surnomme le « fils de Halima ». Un surnom qui n’est guère fortuit. Il s’agit du prénom de sa mère. Un prénom qui reste ancré dans les anales de détournements des milliards en Algérie.
C’est au nom de cette Halima, seconde épouse de Chadli qui est oranaise, qu’un virement de 25 milliards de centimes a été effectué en 1988. A l’époque cette affaire est appelée par les Algérois et les politiciens opposant L’affaire Halima. Depuis cette affaire a enfanté tant d’autres d’affaires de détournement et de corruption.
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