Enrico Macias avait décidé de se recueillir sur la tombe de Matoub Lounès
[IMG]http://www.************/wp-content/uploads/2015/10/Enrico-Macias-avait-d%C3%A9cid%C3%A9-de-se-recueillir-sur-la-tombe-de-Matoub-Loun%C3%A8s.jpg[/IMG] PARIS (Tamurt) – Les raisons de l’annulation de l’invitation d’Enrico Macias, par Bouteflika, de se rendre en Algérie, en 2000, sont autres que celles évoquées par la presse algériennes. Selon Enrico Macias, chanteur né à Constantine, de confession juive, sa décision de se recueillir sur la tombe de Matoub Lounès en Kabylie est l’une des raisons principales du volte-face du pouvoir algérien.
« Ce qui m’a fait peur c’est que je suis le symbole de l’exil et en me rendant en Algérie, je devenais le symbole de la réconciliation de tous les enfants d’Algérie. Et… comme j’étais très proche d’Israël et que j’ai voulu me recueillir sur la tombe de Matoub Lounès, ça a déclenché un refus catégorique. Ca fait 54 ans que je n’y suis pas allé mais j’ai encore dans mon subconscient l’Algérie qui coule dans mes veines« , a expliqué le chanteur avant-hier sur le plateau de Canal Plus. Une révélation qui démontre à quel point le régime algérien voue une haine envers Matoub et son peuple.
A l’époque Abdelaziz Belkhadem qui était premier ministre avait fait des mains et des pieds pour faire pression sur Bouteflika et annuler la visite d’Enrico Macias. On se demande pourquoi ce Belkhadem qui assume son racisme envers les Juifs d’Algérie, s’est associé alors avec un Juif en France ? Lui et une ancienne députée kabyle du FLN de la région de Voughni, Aït Merar, étaient associés avec un juif Français à Seine-Saint-Denis, Paris. Ils avaient une boite de vente de ticket de football. Tamurt détient des prévues irréfutables sur cette entreprise qui a disparu après que les trois associés aient ramassé une fortune en un laps de temps très court.
Lounès B pour Tamurt
[IMG]http://www.************/wp-content/uploads/2015/10/Enrico-Macias-avait-d%C3%A9cid%C3%A9-de-se-recueillir-sur-la-tombe-de-Matoub-Loun%C3%A8s.jpg[/IMG] PARIS (Tamurt) – Les raisons de l’annulation de l’invitation d’Enrico Macias, par Bouteflika, de se rendre en Algérie, en 2000, sont autres que celles évoquées par la presse algériennes. Selon Enrico Macias, chanteur né à Constantine, de confession juive, sa décision de se recueillir sur la tombe de Matoub Lounès en Kabylie est l’une des raisons principales du volte-face du pouvoir algérien.
« Ce qui m’a fait peur c’est que je suis le symbole de l’exil et en me rendant en Algérie, je devenais le symbole de la réconciliation de tous les enfants d’Algérie. Et… comme j’étais très proche d’Israël et que j’ai voulu me recueillir sur la tombe de Matoub Lounès, ça a déclenché un refus catégorique. Ca fait 54 ans que je n’y suis pas allé mais j’ai encore dans mon subconscient l’Algérie qui coule dans mes veines« , a expliqué le chanteur avant-hier sur le plateau de Canal Plus. Une révélation qui démontre à quel point le régime algérien voue une haine envers Matoub et son peuple.
A l’époque Abdelaziz Belkhadem qui était premier ministre avait fait des mains et des pieds pour faire pression sur Bouteflika et annuler la visite d’Enrico Macias. On se demande pourquoi ce Belkhadem qui assume son racisme envers les Juifs d’Algérie, s’est associé alors avec un Juif en France ? Lui et une ancienne députée kabyle du FLN de la région de Voughni, Aït Merar, étaient associés avec un juif Français à Seine-Saint-Denis, Paris. Ils avaient une boite de vente de ticket de football. Tamurt détient des prévues irréfutables sur cette entreprise qui a disparu après que les trois associés aient ramassé une fortune en un laps de temps très court.
Lounès B pour Tamurt
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