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« Je peux vous assurer que lors de la réunion du Comité intergouvernemental de haut niveau, co-présidée par les Premiers ministres des deux pays, que nous serons en situation de signature du pacte d'actionnaires ».
Cette déclaration et du ministre de l’Industrie et des Mines, en marge de sa rencontre aujourd’hui avec le Medef international, branche du patronat français (l’équivalent du FCE) à propos des pourparlers qu’il mène avec le constructeur automobile Peugeot pour le montage de véhicules de cette marque en Algérie.
« Il est presque finalisé. Il reste un ou deux petits points à régler », a ajouté Abdesselam Bouchouareb qui se trouve à Paris dans le cadre de la réunion de la COMEFA, sans toutefois en dire plus sur ces deux points en suspens.
Il y a à peine une année, à l’occasion de la sortie de la Clio Symbol de l’usine d’Oued Tlilat (qui n’a pas droit de cité sur le marché européen), le même ministre avait déclaré à la presse qu’aucune discussion n’était ou ne sera en cours avec un quelconque autre constructeur. L’homme d’affaires Abdelwahab Rahim qui a annoncé la future installation d’une usine de véhicules en partenariat avec le chinois Faw, a été rappelé à l’ordre, le gouvernement lui ayant rappelé que l’Etat avait signé avec Renault un contrat d’exclusivité de trois ans. Un contrat d’exclusivité qui semble être devenu caduc, puisque l’été dernier M. Bouchouareb avait indiqué que les négociations avec Peugeot allaient bon train.
Et aujourd’hui devant le Medef international, il affirme que le projet est quasiment ficelé et qu’une partie de la production des véhicules Peugeot sera destinée à l’exportation. L’usine sera également installée dans la région oranaise et une assiette de 25 hectares a été dégagée pour la sous-traitance.
Faouzia Ababsa/APS
Cette déclaration et du ministre de l’Industrie et des Mines, en marge de sa rencontre aujourd’hui avec le Medef international, branche du patronat français (l’équivalent du FCE) à propos des pourparlers qu’il mène avec le constructeur automobile Peugeot pour le montage de véhicules de cette marque en Algérie.
« Il est presque finalisé. Il reste un ou deux petits points à régler », a ajouté Abdesselam Bouchouareb qui se trouve à Paris dans le cadre de la réunion de la COMEFA, sans toutefois en dire plus sur ces deux points en suspens.
Il y a à peine une année, à l’occasion de la sortie de la Clio Symbol de l’usine d’Oued Tlilat (qui n’a pas droit de cité sur le marché européen), le même ministre avait déclaré à la presse qu’aucune discussion n’était ou ne sera en cours avec un quelconque autre constructeur. L’homme d’affaires Abdelwahab Rahim qui a annoncé la future installation d’une usine de véhicules en partenariat avec le chinois Faw, a été rappelé à l’ordre, le gouvernement lui ayant rappelé que l’Etat avait signé avec Renault un contrat d’exclusivité de trois ans. Un contrat d’exclusivité qui semble être devenu caduc, puisque l’été dernier M. Bouchouareb avait indiqué que les négociations avec Peugeot allaient bon train.
Et aujourd’hui devant le Medef international, il affirme que le projet est quasiment ficelé et qu’une partie de la production des véhicules Peugeot sera destinée à l’exportation. L’usine sera également installée dans la région oranaise et une assiette de 25 hectares a été dégagée pour la sous-traitance.
Faouzia Ababsa/APS