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Des contrats de prêt et de garantie relatifs à la participation de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) au financement du projet du Complexe portuaire « Nador West Med », d’un montant de 200 millions d’euros, ont été signés jeudi à Rabat.
Ces contrats ont été signés par la directrice générale de la Région Sud Est de la Méditerranée (SEMED) à la BERD, Hildegard Gacek, et le directeur général de Nador West Med (NWM), Mohamed Jamal Benjelloun, lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Economie et des finances, Mohamed Boussaid.
M. Boussaid a souligné, à cette occasion, l’importance de ce financement qui contribuera à mettre en œuvre un projet structurant ayant pour objectif le développement d’un hub énergétique et d’une plateforme logistique leader en Méditerranée, ainsi que le renforcement du positionnement du Royaume dans les flux du commerce mondial.
Dans ce cadre, le ministre a relevé que ce « grand projet prioritaire pour le Maroc permet de compléter l’ensemble des projets réalisés dans la région du Nord et d’améliorer sa compétitivité ».
Pour sa part, Mme Hildegard Gacek a affirmé que cette signature, qui constitue la transaction la plus importante de la BERD et un jalon important dans les relations entre les deux parties, ouvre les activités de la banque sur un nouveau secteur, qui est le transport.
Ce port servira de catalyseur pour la croissance économique régional, non seulement en créant de nombreux emplois directs mais aussi en facilitant le développement des autres activités industrielles dans la Zone franche et en encourageant l’implantation des investissements étrangers qui renforceront le potentiel de croissance de la région, a-t-elle précisé.
« C’est le premier projet de la BERD co-financé avec la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) », a-t-elle fait savoir, notant la mobilisation d’un million d’euros de fonds assistance technique, qui contribueront à l’exécution du projet, notamment pour les aspects environnementaux.
Dans une déclaration à la presse, la responsable de la banque a indiqué que « le financement des infrastructures de ce nouveau port est la base pour la création et l’encouragement des industries à s’installer à Nador et dans la région ».
Pour le directeur général de Nador West Med (NWM), « ce projet est très structurant pour le Royaume » à trois niveaux, car il contribuera au développement économique et social de la région de l’Oriental, renforcera le rôle maritime et portuaire du Maroc dans la région de la Méditerranée occidentale et permettra d’assurer l’approvisionnement du Maroc en produits énergétiques, notamment la charbon pour la future centrale thermique programmée dans la zone.
M. Benjelloun a, en outre, souligné que ce complexe industrialo-portuaire sera un catalyseur pour attirer un certain nombre d’industries manufacturières et activités logistiques et permettra, notamment, de créer entre 100.000 à 115.000 emplois directs, indirects et induits à l’horizon 2034, générer environ 70 milliards de dirhams (MMDH) d’investissements publics et privés et engendrer une valeur ajoutée additionnelle estimée entre 25 et 29 MMDH à l’horizon 2034.
Il a, aussi, ajouté que le montant du prêt de la BERD, qui constitue la plus grande part du financement du projet, témoigne de la confiance de la banque dans le Maroc et confirme également sa confiance dans l’importance, l’intérêt et la viabilité du projet.
Le complexe « Nador West Med » sera composé d’un nouveau port en eau profonde doté de capacités importantes pour le développement d’un pôle énergétique, le transbordement des conteneurs et le traitement des produits vrac, ainsi d’une plateforme industrielle intégrée ouverte aux investisseurs de renommée, destinée à abriter les métiers mondiaux au Maroc et sera développée sur une zone franche adossée au port.
LNT
Ces contrats ont été signés par la directrice générale de la Région Sud Est de la Méditerranée (SEMED) à la BERD, Hildegard Gacek, et le directeur général de Nador West Med (NWM), Mohamed Jamal Benjelloun, lors d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Economie et des finances, Mohamed Boussaid.
M. Boussaid a souligné, à cette occasion, l’importance de ce financement qui contribuera à mettre en œuvre un projet structurant ayant pour objectif le développement d’un hub énergétique et d’une plateforme logistique leader en Méditerranée, ainsi que le renforcement du positionnement du Royaume dans les flux du commerce mondial.
Dans ce cadre, le ministre a relevé que ce « grand projet prioritaire pour le Maroc permet de compléter l’ensemble des projets réalisés dans la région du Nord et d’améliorer sa compétitivité ».
Pour sa part, Mme Hildegard Gacek a affirmé que cette signature, qui constitue la transaction la plus importante de la BERD et un jalon important dans les relations entre les deux parties, ouvre les activités de la banque sur un nouveau secteur, qui est le transport.
Ce port servira de catalyseur pour la croissance économique régional, non seulement en créant de nombreux emplois directs mais aussi en facilitant le développement des autres activités industrielles dans la Zone franche et en encourageant l’implantation des investissements étrangers qui renforceront le potentiel de croissance de la région, a-t-elle précisé.
« C’est le premier projet de la BERD co-financé avec la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) », a-t-elle fait savoir, notant la mobilisation d’un million d’euros de fonds assistance technique, qui contribueront à l’exécution du projet, notamment pour les aspects environnementaux.
Dans une déclaration à la presse, la responsable de la banque a indiqué que « le financement des infrastructures de ce nouveau port est la base pour la création et l’encouragement des industries à s’installer à Nador et dans la région ».
Pour le directeur général de Nador West Med (NWM), « ce projet est très structurant pour le Royaume » à trois niveaux, car il contribuera au développement économique et social de la région de l’Oriental, renforcera le rôle maritime et portuaire du Maroc dans la région de la Méditerranée occidentale et permettra d’assurer l’approvisionnement du Maroc en produits énergétiques, notamment la charbon pour la future centrale thermique programmée dans la zone.
M. Benjelloun a, en outre, souligné que ce complexe industrialo-portuaire sera un catalyseur pour attirer un certain nombre d’industries manufacturières et activités logistiques et permettra, notamment, de créer entre 100.000 à 115.000 emplois directs, indirects et induits à l’horizon 2034, générer environ 70 milliards de dirhams (MMDH) d’investissements publics et privés et engendrer une valeur ajoutée additionnelle estimée entre 25 et 29 MMDH à l’horizon 2034.
Il a, aussi, ajouté que le montant du prêt de la BERD, qui constitue la plus grande part du financement du projet, témoigne de la confiance de la banque dans le Maroc et confirme également sa confiance dans l’importance, l’intérêt et la viabilité du projet.
Le complexe « Nador West Med » sera composé d’un nouveau port en eau profonde doté de capacités importantes pour le développement d’un pôle énergétique, le transbordement des conteneurs et le traitement des produits vrac, ainsi d’une plateforme industrielle intégrée ouverte aux investisseurs de renommée, destinée à abriter les métiers mondiaux au Maroc et sera développée sur une zone franche adossée au port.
LNT
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