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Le sommet sur la Syrie menacé par les hostilités entre Riyad et Téhéran?

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  • Le sommet sur la Syrie menacé par les hostilités entre Riyad et Téhéran?

    Le plus gros défi des pourparlers de Vienne semble être de réconcilier l’Iran et l’Arabie saoudite.

    Vendredi 30 octobre, à Vienne, l’Iran a participé pour la première fois à des pourparlers avec une vingtaine de pays pour une transition politique en Syrie. Or, explique le New York Times, «la rancœur entre l’Arabie saoudite et l’Iran menace ces discussions».
    Le journal américain a interrogé un ancien diplomatique suédois qui a participé aux négociations pour mettre fin à la guerre Iran-Irak. Il se dit frappé par la profondeur de la division entre l’Arabie saoudite et l’Iran. Ces deux pays s’affrontent de façon régulière par joutes verbales, comme ce fut le cas à la suite de la bousculade de la Mecque qui a provoqué des centaines de morts le 24 septembre, ou par guerres interposées, comme au Yémen ou en Irak.


    Relations privilégiées

    Dans la guerre en Syrie, les Iraniens soutiennent militairement et politiquement Bachar el-Assad, tandis que les Saoudiens dotent les rebelles sunnites d’armes sophistiquées. Depuis le début de l’intervention russe, il y a environ un mois, Riyad a même accéléré l’acheminement d’armes par le sud de la Turquie. Le plus gros défi semble donc de réconcilier ces deux pays et de les faire s’asseoir autour d’une même table.

    Or, souligne le New York Times, à la suite de l’accord sur le nucléaire iranien conclu en juillet dernier, John Kerry et son homologue iranien Mohammad Javad Zarif ont «un fort intérêt à construire une relation qui répond à des questions plus larges, particulièrement la guerre en Syrie, la crise des réfugiés et le futur du Moyen-Orient». Pour autant, le secrétaire d’État américain ne semble pas prêt à sacrifier ses relations privilégiées avec Riyad, et se garde bien par exemple de formuler la moindre remarque concernant une guerre au Yémen où les civils, le patrimoine et les hopitaux semblent délibérement visés par les bombardements

    Slate

  • #2
    Idiomatie...

    au matin de cette rencontre sur la Syrie , Monsieur Laurent Fabius , a déclaré je cite :

    " j'ai convoqué une réunion non pas pour tous les acteurs mais pour ceux qui disent que Bachar doit partir" fin de citation

    Excusez du peu....du ridicule aussi...

    .... et c'est la que la diplomatie française se casse la gueule... je crois même que ce ministre ne court pas dans l’intérêt de son pays mais pour des intérêts occultes pour ne pas dire personnels...

    Laissons uriner le Mérinos !!!

    si tayeb...
    "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

    Commentaire


    • #3
      il faut juste lui rappeler que la justice américaine a émis un mandat d'arrêt international contre son fils, non pas pour qu'il parte mais pour bien le garder au chaud

      tout ce qui croit pouvoir creuser une tombe aux autres, leurs désir seront exaucer par la main du tout puissant, pour que leur souhait s'abat sur eux

      Commentaire

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