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Ces oiseaux de mauvais augure qui noircissent le tableau pour faire peur aux Algériens

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  • Ces oiseaux de mauvais augure qui noircissent le tableau pour faire peur aux Algériens

    les contradicteurs réduisent à sa plus simple expression la gestion des finances du pays.
    Le pays va au-devant d'une crise que certains tentent d'en faire la dernière de la courte histoire de l'Algérie indépendante. Le tableau dépeint est noir et à les entendre, l'actuel gouvernement fait tout pour conduire la société droit dans le mur. Le président de la République, qui suit certainement ce qui se dit sur la gestion de ladite crise, n'a pas manqué de relever le caractère «exagéré» de certains commentaires, sur la situation économique du pays et les moyens mis en oeuvre par l'Exécutif pour gérer au mieux cette période qui s'annonce, pour le moins, délicate. Délicate oui, mais pas désespérée, semble dire le chef de l'Etat dans son message à la nation. Pour le président de la République, les exagérations sont destinées à «effrayer le peuple». Plus que cela, il est même question de «le faire douter (le peuple, Ndlr) de ses capacités et d'ébranler sa confiance en ses dirigeants et ses cadres», affirme le président Bouteflika. En effet, lorsque le doute s'installe et la confiance se perd, toutes les initiatives de l'Etat pour redresser n'importe quelle situation sont vouées à l'échec. Cela se traduit, sur le terrain, par un moral en berne et tous les économistes s'accordent sur le fait qu'une société défaitiste construit elle-même les facteurs de sa destruction. Dans le contexte actuel, notamment depuis la baisse des prix du pétrole, les voix qui s'élèvent pour annoncer l'entrée de l'Algérie dans la crise, se font de plus en plus insistantes et bénéficient, il faut bien l'admettre, d'une «bonne» médiatisation. Les contradicteurs du président s'emploient à démolir toute initiative du gouvernement, en réduisant à sa plus simple expression la gestion des finances du pays, durant la période faste. Ainsi, on ne parle pas du Fonds de régulation des recettes, comme facteur ayant mis le pays à l'abri des effets de la crise, mais on insiste sur le fait que cette réserve financière fondra en quelques années. Le discours anti-gouvernement a tendance à minimiser d'importantes réalisations, dans les secteurs de l'hydraulique, du bâtiment et des travaux publics, en voulant faire croire que les 800 milliards de dollars d'investissements publics n'ont servi à rien et au pire, ont été détournés. La mauvaise foi de certains contradicteurs va jusqu'à faire dire aux médias que le projet de la Grande mosquée d'Alger n'est rien d'autre que de l'argent jeté par les fenêtres. En un mot comme en mille, les critiques infondées sont principalement destinés à démolir le moral des Algériens et altérer sérieusement la confiance qu'ils peuvent avoir en leurs dirigeants. Cette façon de faire a pour objectif la fragilisation de la société algérienne, à travers l'installation d'un doute sérieux, ce qui rendrait l'Algérie candidate à une «révolution», comme d'autres pays l'ont vécue. Le président de la République qui n'a réservé qu'une demi-phrase à ces attaques, en exhortant «toutes les Algériennes et tous les Algériens à bien considérer les enjeux de l'étape, de garder leur sang-froid devant les défis», connaît parfaitement les dangers qui sous-tendent les campagnes de dénigrement dont fait l'objet l'Algérie, à l'intérieur comme à l'extérieur, fomentés par des ONG très intéressées par l'écroulement du pays. On voit, en effet, mal le chef de l'Etat s'étaler sur le sujet, au risque d'être accusé de paranoïa et de voir des ennemis partout. Bouteflika a répondu aux détracteurs par les mesures de démocratisation de la vie politique, non sans afficher sa confiance en les Algériens. «Je suis persuadé que notre peuple, exercé à affronter les difficultés et à relever les défis, saura dépasser cette étape porteuse de crises, en puisant dans ses vertus innées que sont la patience et la détermination, l'amour de la patrie, la défense de ce qu'il a de sacré et ses richesses, la sauvegarde de sa liberté et de la souveraineté de sa décision, quels que soient la difficulté de la situation et le danger encouru», rappelle le président de la République dans son message.
    Par Saïd MEKKI
    L'Expréssion dz
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Il faut tout simplement rester vigilants devant ceux qui cherchent du mal à notre pays , nous devons être bien armés du nord au sud et de l'est à l'ouest pour parer à toute éventualité car tant que le monde est incertain avec le problème palestinien , polisario, ...il faut être en alerte mais sans le montrer.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      Ce pseudo journaliste Said Mekki est à l'évidence un valet indigne au service de ses maîtres au pouvoir!

      Absolument aucune dignité chez ce minable valet. Des millions de ses compatriotes souffrent quotidiennement à cause de l'incompétence pathétique des maffieux corrompus au pouvoir, mais ce valet pleure et se plaint que ses maîtres soient critiqués!

      Ses maîtres maffieux au pouvoir ne devraient pas seulement être critiqués, ils devraient normalement être chassés du pouvoir. C'est un honte qu'un zombie incompétent qui ne fait que végéter à El Mouradia soit encore considéré "président de la république". Même dans les royaumes les plus absolus, le roi local daigne s'adresser personnellement à son peuple pour lui expliquer sa politique.

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      • #4
        Bonjour,

        Envoyé par Nassim
        Ce pseudo journaliste Said Mekki est à l'évidence un valet indigne au service de ses maîtres au pouvoir!
        On n'a meme pas besoin d'aller parcourir ses écris pour s'en rendre compte, ce passage est flagrant:
        Le président de la République, qui suit certainement ce qui se dit sur la gestion de ladite crise

        Ainsi, on ne parle pas du Fonds de régulation des recettes, comme facteur ayant mis le pays à l'abri des effets de la crise, mais on insiste sur le fait que cette réserve financière fondra en quelques années
        Même la pension de retraite de ma défunte grande mère était plus pérenne que ce fond de régulation des recettes à 3 ans!

        Non Monsieur, on ne s'en contente pas, on veux comprendre pourquoi on n'a pas un fond souverain comme celui de la Norvège ? qui a doublé de taille en ... 3 ans tenez ! Qui est alimenté par les rentrés du Pétrole et investit ailleurs que dans ce secteur pour équilibrer les risques et optimiser les rendements, tout en devenant le plus grand fond souverain du monde !

        Le fonds public norvégien a rapporté 7,6% l'an dernier, ce qui a fait doubler sa valeur en trois ans. Il vaut désormais 745,1 milliards d'euros.
        Le fonds de pension public norvégien, le plus gros fonds souverain au monde, a affiché l'an dernier un rendement de 7,6%, sa valeur ayant quasiment doublé en trois ans, a annoncé vendredi la Banque de Norvège, chargée de sa gestion.

        Placé en actions, en obligations et dans l'immobilier un peu partout dans le monde, le fonds pesait 6.431 milliards de couronnes (745,1 milliards d'euros) fin 2014, faisant de chacun des 5,2 millions de Norvégiens des millionnaires, en tout cas sur le papier. Fin 2011, le fonds valait 3.312 milliards.

        Hausse du marché des actions
        L'an dernier, le fonds a encore grossi de 544 milliards de couronnes grâce à ses investissements, profitant en particulier de la hausse du marché des actions, qui représentent 61,3% de son portefeuille et dont le rendement a atteint 7,9%. Celui des obligations (36,5% du portefeuille) s'est élevé à 6,9% et celui de l'immobilier (2,2% des placements) 10,4%.

        Pour financer les futures dépenses de son État-providence, la Norvège met traditionnellement de côté l'intégralité de ses importants revenus pétroliers publics et ne s'autorise à utiliser qu'un maximum de 4%, chiffre arbitraire correspondant à leur rendement estimé, pour équilibrer ses comptes publics sinon déficitaires. Depuis qu'il a été abondé pour la première fois en 1996, le fonds a dégagé un rendement réel (corrigé de l'inflation) de 3,8%.

        "Nous devons être prêts à ce que ces rendements soient moins élevés à l'avenir", a répété lors d'un point de presse le gouverneur de la Banque de Norvège Øystein Olsen, qui préconise depuis quelques années une retenue accrue dans les ponctions réalisées dans le fonds par le gouvernement.
        Mais bon.. je crois que ce n'est pas du genre de discours auquel s’intéresse les lecteurs de ce Journaliste Chayat.
        Dernière modification par GLP, 07 novembre 2015, 14h45.
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        • #5
          Ce pseudo journaliste Said Mekki est à l'évidence un valet indigne au service de ses maîtres au pouvoir!
          T'inquiète!
          Le jour de la disgrâce des maîtres du moment, il sera le premier à les discréditer!... C'est comme ça que font les rois de la chitta!
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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