Les tarifs de l’électricité et les prix des carburants seront revus à la hausse dès 2016, a déclaré, ce lundi 2 novembre, le ministre des Finances, Aberrahmane Benkhalfa. « Il y a un aménagement faible et supportable des tarifs proposés dans le projet de Loi de finances 2016.
C’est le cas pour les carburants. Le gazole sera vendu à 19 DA le litre, l’essence super sera vendu à 25 DA le litre. Concernant l’électricité et le gaz, tous les ménages moyens et petits ne seront pas touchés. Les agriculteurs et les petits métiers vont avoir une compensation en ce qui concerne le gazole », a affirmé M. Benkhlafa au Forum de la radio nationale Chaîne I, anticipant ainsi un vote positif du Parlement sur les hausses des prix de l’électricité et des carburants. Le projet de Loi de finances 2016 n’a pas encore été adopté par les députés et les sénateurs.
Le ministre a expliqué que ces mesures visent à « rationaliser la consommation des énergies, sans toucher au budget d’investissement, et surtout un retour à la valeur des biens et des services ». Il a ajouté que « toutes les entreprises qui investissent dans des filières prioritaires qui se substituent à l’importation vont bénéficier d’une fiscalité adaptée, et ne payeront ni l’IRG, ni la TAP, ni l’IBS pendant cinq ans ».
Endettement extérieur
M. Benkhalfa a assuré que l’État continuera à subventionner les produits de large consommation comme le lait, le pain… « La politique de subvention n’a pas changé, et pour preuve : le budget des subventions a dépassé les 1 840 milliards de dinars. Toutefois, il faut rationaliser les dépenses, dès lors que le budget de fonctionnement et de d’équipement a atteint les 8 000 milliards de dinars », a-t-il dit.
M. Benkhalfa a confirmé le retour de l’Algérie à l’endettement extérieur. « Il ne s’agit pas de l’endettement classique, mais du crédit concessionnel qui sera destiné à l’investissement. Autrement dit, c’est de l’Investissement direct étranger (IDE). C’est le retour aux méthodes alternatives de financement de nos projets », a-t-il dit.
À une question sur l’entrée en vigueur du crédit à la consommation, le ministre, a dit que la balle était dans le camp des ministères du Commerce et de l’Industrie. « Les banques sont prêtes, en attendant la promulgation de la liste des produits éligibles à ce crédit, par le ministre de l’Industrie et celui du Commerce ».
source: TSA
C’est le cas pour les carburants. Le gazole sera vendu à 19 DA le litre, l’essence super sera vendu à 25 DA le litre. Concernant l’électricité et le gaz, tous les ménages moyens et petits ne seront pas touchés. Les agriculteurs et les petits métiers vont avoir une compensation en ce qui concerne le gazole », a affirmé M. Benkhlafa au Forum de la radio nationale Chaîne I, anticipant ainsi un vote positif du Parlement sur les hausses des prix de l’électricité et des carburants. Le projet de Loi de finances 2016 n’a pas encore été adopté par les députés et les sénateurs.
Le ministre a expliqué que ces mesures visent à « rationaliser la consommation des énergies, sans toucher au budget d’investissement, et surtout un retour à la valeur des biens et des services ». Il a ajouté que « toutes les entreprises qui investissent dans des filières prioritaires qui se substituent à l’importation vont bénéficier d’une fiscalité adaptée, et ne payeront ni l’IRG, ni la TAP, ni l’IBS pendant cinq ans ».
Endettement extérieur
M. Benkhalfa a assuré que l’État continuera à subventionner les produits de large consommation comme le lait, le pain… « La politique de subvention n’a pas changé, et pour preuve : le budget des subventions a dépassé les 1 840 milliards de dinars. Toutefois, il faut rationaliser les dépenses, dès lors que le budget de fonctionnement et de d’équipement a atteint les 8 000 milliards de dinars », a-t-il dit.
M. Benkhalfa a confirmé le retour de l’Algérie à l’endettement extérieur. « Il ne s’agit pas de l’endettement classique, mais du crédit concessionnel qui sera destiné à l’investissement. Autrement dit, c’est de l’Investissement direct étranger (IDE). C’est le retour aux méthodes alternatives de financement de nos projets », a-t-il dit.
À une question sur l’entrée en vigueur du crédit à la consommation, le ministre, a dit que la balle était dans le camp des ministères du Commerce et de l’Industrie. « Les banques sont prêtes, en attendant la promulgation de la liste des produits éligibles à ce crédit, par le ministre de l’Industrie et celui du Commerce ».
source: TSA
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