…. Elle est partie
Il plane autour de moi des souvenirs
Si grands
Par une une triste nuit
Sans lumière
Mon cœur erre
Alourdi
Ce cœur flétri, débris de mon émotion
Ce cœur pour vous muet
Porte le plus lourd fardeau
Elle est partie
Celle que j’ai tant chérie ; puisque dieu me la prise
Demain est un jour naissant, où aucun espoir ne se fera croire
En quelques reflets, il s’est perdu
De ta perte, la vie sans gêne a ciselé mes entailles
Comme des consciences étranges
Depuis le temps jusqu’à l'horizon
Malheur à toi, mon cœur
Qui avec tant de tons
Et au gré du temps
De grâce tu tiens encore debout
Et tes ailes entrouvertes
Font surgir d’amères douleurs
Se sont à jamais refermées
Et mon esprit bouillonne
Se laissant errer sur un jour sans lendemain
Et sur mon visage à nouveau se creuse souci
Je ne cesse d’écrire
Des proses à l'encre de mon chagrin
Une encre sombre et triste qui m’afflige
Où je narre mon plus grand malheur
La perte de ma mère
Mon besoin d’elle
La détresse de voir déchoir mes plus beaux espoirs
DE la voir à nouveau
Alors je dessine de mes mots son doux visage
Qui s’ouvre avec mes pensées
Sur des espaces de larmes parsemés de cris de douleur
Et où je me sens seule,
Je rêve alors de te sentir près de moi
Et des larmes perlent dans mes yeux
Et mon cœur est saisi de violents spasmes
Où la raison et la morale ne se tiennent plus
J'ai de la tristesse alors
Et que je me demande d’où elle me vient
Ma mère qui dessinait mon chemin
Et qui console
J’ai compris qu’elle n’est plus là
,............fleur d'iris,novembre 2015
Il plane autour de moi des souvenirs
Si grands
Par une une triste nuit
Sans lumière
Mon cœur erre
Alourdi
Ce cœur flétri, débris de mon émotion
Ce cœur pour vous muet
Porte le plus lourd fardeau
Elle est partie
Celle que j’ai tant chérie ; puisque dieu me la prise
Demain est un jour naissant, où aucun espoir ne se fera croire
En quelques reflets, il s’est perdu
De ta perte, la vie sans gêne a ciselé mes entailles
Comme des consciences étranges
Depuis le temps jusqu’à l'horizon
Malheur à toi, mon cœur
Qui avec tant de tons
Et au gré du temps
De grâce tu tiens encore debout
Et tes ailes entrouvertes
Font surgir d’amères douleurs
Se sont à jamais refermées
Et mon esprit bouillonne
Se laissant errer sur un jour sans lendemain
Et sur mon visage à nouveau se creuse souci
Je ne cesse d’écrire
Des proses à l'encre de mon chagrin
Une encre sombre et triste qui m’afflige
Où je narre mon plus grand malheur
La perte de ma mère
Mon besoin d’elle
La détresse de voir déchoir mes plus beaux espoirs
DE la voir à nouveau
Alors je dessine de mes mots son doux visage
Qui s’ouvre avec mes pensées
Sur des espaces de larmes parsemés de cris de douleur
Et où je me sens seule,
Je rêve alors de te sentir près de moi
Et des larmes perlent dans mes yeux
Et mon cœur est saisi de violents spasmes
Où la raison et la morale ne se tiennent plus
J'ai de la tristesse alors
Et que je me demande d’où elle me vient
Ma mère qui dessinait mon chemin
Et qui console
J’ai compris qu’elle n’est plus là
,............fleur d'iris,novembre 2015
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