salam
Cette année le ministère de l’intérieur mobilise tous ses moyens pour fêter ladite marche verte
Au fait la marche verte était une initiative du roi feu Hassan II par laquelle il a récupéré le Sahara occidental selon ses convictions le 6 novembre 1975, alors que le mouvement Polisario avait revendiqué son droit à l’autodétermination tel qu’il est reconnu par l’ONU. Chose que le Maroc évite faute de l’impuissance du régime de changer son style de gouvernance. Cela est prouvé après 15 ans de règne du roi Mohammed VI qui pourtant fait de son mieux pour restituer la situation… ou du moins apparemment il n’épargne pas d’effort en se déplaçant dans le royaume avec l’esprit de proximité de réconciliation…
Rien n’avance si ce n'est les chiffre de croissance d'un patronat qui se permet le plaisir d'aller la chercher dans quatre pays d’Afrique si respectueux et dérangés par leur engagement depuis le roi Hassan II .
Une culture de favoritisme totémiste qui s'impose dans toutes les institutions dont même celles de l’enseignement… oblige !!!
C’est un conditionnement devenu la raison d’être de l’institution marocaine.
Ainsi, aujourd’hui que le Maroc perd du terrain sur tous les fronts au point où l’emportement devient la signature de la marque déposée diplomatique marocaine. La gouvernance a fait du Sahara occidental un émirat à l’avantage d’un économisme de favoritisme soutenu en plein jour par l’approche sécuritaire délinquant vu l’entassement des erreurs au point où la traitrise devient monnaie courante débordant les coulisses ! Seul le patronat qui en profite avec comme preuve la reconnaissance du roi même de l’enrichissement des riches et l’appauvrissement des pauvres.
Alors que le Polisario avance à petits pas mais assurés légalement à tous les niveaux :
- Reconnu comme le seul représentant des Sahraouis.
- Reconnaissance de l’état (RASD) parmi les fondateurs de l’Union Africaine et soutenu par des états de l’Amérique du Sud.
- Sujet débat Scandinave en vu de la reconnaissance de l’état Sahraoui RASD
- Droit de protection des Sahraouis indépendantistes reconnu par l’ONU, voir même par les grands états tel les Etats Unis d’Amérique…
- reconnaissance de l’opposition contre l’exploitation des richesses Sahraouies par le Maroc….
Récapitulons :
Vu ces avantages et d’autres le Maroc a perdu de son sang froid au point où il a critiqué l’ONU qui pourtant, elle gère correctement sa mission au Sahara occidental telle qu’elle a été avancée par les commissions concernées …
Aujourd’hui, emportés par un certain zèle il semble que les diplomates marocains , les conseillers et le ministère de l’intérieur travaillent enivrement sur la momification d’une marche qui perd de sa verdure depuis l’extinction de l’âme de son révélateur le roi Hassan II dans l’impuissance d’avancer quelques millimètre sur la scène internationale où les Etats amis du roi défunt tournent leur dos en se débarrassant de cette problématique qui ne mérite pas d’être un plaisir de sadomasochistes .
Boujemaa Kharraj : Un des architecte de la reconstruction du Liban et la paix d’Oslo
Cette année le ministère de l’intérieur mobilise tous ses moyens pour fêter ladite marche verte
Au fait la marche verte était une initiative du roi feu Hassan II par laquelle il a récupéré le Sahara occidental selon ses convictions le 6 novembre 1975, alors que le mouvement Polisario avait revendiqué son droit à l’autodétermination tel qu’il est reconnu par l’ONU. Chose que le Maroc évite faute de l’impuissance du régime de changer son style de gouvernance. Cela est prouvé après 15 ans de règne du roi Mohammed VI qui pourtant fait de son mieux pour restituer la situation… ou du moins apparemment il n’épargne pas d’effort en se déplaçant dans le royaume avec l’esprit de proximité de réconciliation…
Rien n’avance si ce n'est les chiffre de croissance d'un patronat qui se permet le plaisir d'aller la chercher dans quatre pays d’Afrique si respectueux et dérangés par leur engagement depuis le roi Hassan II .
Une culture de favoritisme totémiste qui s'impose dans toutes les institutions dont même celles de l’enseignement… oblige !!!
C’est un conditionnement devenu la raison d’être de l’institution marocaine.
Ainsi, aujourd’hui que le Maroc perd du terrain sur tous les fronts au point où l’emportement devient la signature de la marque déposée diplomatique marocaine. La gouvernance a fait du Sahara occidental un émirat à l’avantage d’un économisme de favoritisme soutenu en plein jour par l’approche sécuritaire délinquant vu l’entassement des erreurs au point où la traitrise devient monnaie courante débordant les coulisses ! Seul le patronat qui en profite avec comme preuve la reconnaissance du roi même de l’enrichissement des riches et l’appauvrissement des pauvres.
Alors que le Polisario avance à petits pas mais assurés légalement à tous les niveaux :
- Reconnu comme le seul représentant des Sahraouis.
- Reconnaissance de l’état (RASD) parmi les fondateurs de l’Union Africaine et soutenu par des états de l’Amérique du Sud.
- Sujet débat Scandinave en vu de la reconnaissance de l’état Sahraoui RASD
- Droit de protection des Sahraouis indépendantistes reconnu par l’ONU, voir même par les grands états tel les Etats Unis d’Amérique…
- reconnaissance de l’opposition contre l’exploitation des richesses Sahraouies par le Maroc….
Récapitulons :
Vu ces avantages et d’autres le Maroc a perdu de son sang froid au point où il a critiqué l’ONU qui pourtant, elle gère correctement sa mission au Sahara occidental telle qu’elle a été avancée par les commissions concernées …
Aujourd’hui, emportés par un certain zèle il semble que les diplomates marocains , les conseillers et le ministère de l’intérieur travaillent enivrement sur la momification d’une marche qui perd de sa verdure depuis l’extinction de l’âme de son révélateur le roi Hassan II dans l’impuissance d’avancer quelques millimètre sur la scène internationale où les Etats amis du roi défunt tournent leur dos en se débarrassant de cette problématique qui ne mérite pas d’être un plaisir de sadomasochistes .
Boujemaa Kharraj : Un des architecte de la reconstruction du Liban et la paix d’Oslo
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