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Rose morose pétale de joie

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  • Rose morose pétale de joie

    Rose morose pétale de joie
    Rose je n’ose t’effeuiller
    Un peu beaucoup ou pas du tout
    Instant de vie caresse d’une nuit
    Parfum de songe je n’ose me prononcer
    Douceur odeur
    Douleur épine
    Caresse étale toute ta tendresse
    Rose fatale

    Et puis soudain vient l’instant
    De ton parfum
    Toujours divin
    Un peu de clarté
    Beaucoup d’amour
    Et de volupté

    Instant de songe
    Et de candeur
    Doux pétale
    Fleur de rocaille
    Epine divine
    Je veux te goûter
    Instant magique
    De tes baisers
    Instant piquants
    Si envoûtants
    Instant d’oubli
    Et d’abandon
    Instant magique
    Fais moi rêver

    Rose morose pétale de toi
    Caresse de rêves
    Oui prends moi
    Magie des mots
    Et des senteurs
    Pétale de rose
    Parfois je n’ose
    T’effeuiller

    Et quand le soleil
    Vient à passer
    De ses rayons
    Vient te caresser
    Tu te rétractes
    Un peu émue
    Et puis tu te laisses
    Tout à ses pieds
    Et ton parfum
    Revient la nuit
    Me posséder
    Rose ma rose
    Tu es en moi
    Et je renais

    Morjane
    10/08/03

  • #2
    Le symbole d'un grand Amour
    Revit dans cette Rose.
    Chaque nuit, chaque jour,
    La vie nous paraît rose.

    Pourtant tout comme cette fleur,
    L'Amour bien vite se fane,
    Et ramène bien des pleurs,
    Et le désespoir dans notre âme.

    Que reste t'il de tout cela?
    Lorsque la rose est fanée.
    Que reste t'il au fond de soi?
    Lorsque notre coeur est brisé.

    L'arbre au grand jour, peu à peu se meurt.
    Tout comme l'Amour, au fond de notre coeur.

    Mon coeur est devenu, triste et morose.
    Et mon amour mourut, tout comme cette Rose...

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    • #3
      La rose mourut mais le parfum resta
      Une rose toute nue sans ses pétales
      Pétales fanées devinrent séchées
      Parfum resta dans l'air flotta
      Et Mon amour continua
      Rose morose une autre fois....

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      • #4
        Ah! La rose suscite un étrange mystère
        Exhibant sa beauté sous sa peau épineuse,
        Infligeant sa morsure à la main curieuse
        Qui voudrait profaner cette douceur austère.

        S'éveillant au matin, timide et renfermée,
        Elle avoue sa splendeur par-delà la savane
        Telle une femme qui s'exhibe et se pavane
        Devant une flamme qu'elle a déjà charmée.

        Malgré ses épines, elle est très recherchée.
        Paradant telle une reine dans son foyer,
        Elle offre des plaisirs, encore à octroyer,
        Et qui subsisteront sur la main écorchée.

        L'amour est une rose délicate et fine
        Étalant devant nous sa beauté écarlate
        Qui rougit notre âme, la pourfend et l'éclate
        En laissant dans nos coeurs une profonde épine. :P

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        • #5


          Merci Ben c'est magnifique tout ce que tu écris


          bonne nuit :wink:

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          • #6
            Ce soir ma plume et moi écrivons sur un papier blanc
            Pour toi mon petit cœur, voilà ce poème
            Des mots d’amour, des mots d’émotions
            Toi qui fait mon malheur, tu es celle que j’aime


            Tu me fais vibrer intensément
            Tes regards font naître en moi un courant électrisant
            Pourquoi, comment es-tu entrée dans ma vie
            Tu es une chanson, une musique, une mélodie


            Ce soir ma plume me permet d’écrire mon malheur
            «Injuste», raisonnables sentiments venant de mon cœur
            Comment quelques jours peuvent-ils me troubler si profondément
            Tu m’attires vers toi comme un aimant


            Cette nuit, la pluie tombait, un vent d’amour soufflait
            Dans ma solitude, je le dis simplement que je pense à toi
            L’amour est une belle, horrible chose à la fois
            Aimer est-il un péché, j’ai su que j’allais t’aimer


            Ce soir, comme tous les soirs, ma raison chante avec passion
            Je veux que tu saches … Non je veux que tu comprennes
            Tes yeux, ton visage, tes cheveux, mon cœur s’affole
            Et c’est vers toi que mon doux petit cœur s’envole !

            Le Fou du Village ...:P

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            • #7
              Une fois tu m'as laissée
              Et le temps est passé,
              J'ai voulu t'offenser
              Mais ma douleur m'a brisée ;

              Mon amour s'est consumé
              D'un feu sans pitié,
              J'ai vainement voulu rallumer
              Une flamme éteinte à jamais ;

              Je cours après mon rêve,
              Un silence puis vient la trêve,
              Tu me murmures des mots si doux
              Que mon cœur en devient fou…

              Tu pourrais m'offrir des roses
              Mais ce que je préfère c'est ta prose,
              Prends donc ta plume pour me dire
              Que tu m'aimes et que tu me désires… :P

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              • #8
                une nuit un songe est venus
                une rose était là toute émue
                Où es tu toi mon coeur fidèle?
                moi rose j'erre éternelle
                De ton parfum j'en fais ma robe
                et mes pétales cisèlent mon âme
                Le soir j'erre au gré du vent
                je respire ton odeur un court instant
                et je te cherche et je t'attend
                Et où es tu mon doux tourment?
                A ta recherche je suis tout le temps
                malgré la peine et la douleur
                où es tu héros de mon coeur?

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                • #9
                  Je ne suis pas le vaincu

                  Et je ne suis point le vainqueur

                  Je ne suis point les débris d’une carafe de mots

                  Je ne rivalise pas pour mettre les points sur les i

                  Point fasciné par un dictionnaire de sable

                  Je ne fonds pas sous ma propre langue

                  Et je ne dors pas au bord d’un cercle au centre perdu

                  Je ne frappe point à une porte de pierre faisant crier mes illusions

                  Ou démembrer les souvenirs des morts pour avouer que je suis l’amant

                  Je ne suis point un dieu chassé d’un paradis illusoire

                  incapable de t’avoir pour Muse

                  Je ne suis pas le désespéré d’un soleil qui s’évapore dans mes eaux

                  Et pas l’oiseau dont les ailes vont vers le royaume de l’or dépouillé

                  Mon mal ne guérit pas quand je demeure seul avec toi

                  Je ne vis pas dans l’ombre pour creuser une ombre dans ta terre et me disperser en îlots dans la bouche de tes anges

                  Je ne suis point le soutien

                  Car je suis suspendu par le fétu de mon âme à ton épiderme

                  Je suis le contaminé par une lettre de ton nom

                  Je n’oriente point les voiles de ma fenêtre vers le désespoir

                  et vers le silence mort sous la porte

                  Je ne me cache pas honteusement

                  Mais je divulgue secrètement mon secret

                  J’ai choisi le moment

                  Me dirigeant vers la clef

                  Peut-être saurais-je qui m’a dépouillé de moi-même qui fit émigrer ma langue en toi qui a volé les rêves nocturnes

                  Je ne suis point celui que ta mémoire dédaigne oublié même sur le miroir de tes mains pour devenir le lieu le dernier maillon de la chaîne si fragile de ta durée

                  Je ne marche pas dans les ténèbres de ma lumière

                  Point celui qui foule sous ses pas des cailloux simple lettre ajoutée

                  Je ne suis pas un mot invariable mais mon nom habite tes gestes

                  On ne m’a point coupé comme une figue d’un cactus qui frotte ses yeux à la musique de l’aurore qui pleure le sol d’où on l’a arrachée

                  Je n’affronte pas une lune de roc qui m’a perdu perdant mes repères dans le temps

                  Je ne dors pas dans une pluie qui ne vient jamais

                  Mais je suis — prudemment — le nuage de ton âme

                  Alors prends mon cœur

                  Je remettrai ma tombe pour quelques heures

                  Pour vivre en toi

                  Je n’aime pas l’abandon

                  Et n’éprouve pour l’exil aucune nostalgie

                  J’ai imploré Dieu pour pouvoir marcher sur l’eau sans mouiller mes vêtements pour me draper de toi

                  Je ne suis point le faucon aveugle alors bande mes yeux de la fragrance de ton parfum laisse-moi me disperser sous le ciel d'Alger
                  abandonné d’une histoire perdue

                  Je ne suis qu’un vent inactif qui rumine sa solitude alors comment baiser le sol de ton navire cependant que tu te replies en toi-même comme un oiseau dans le temps égaré :?:

                  .

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