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Le 31 octobre 2015, Il y a un peu plus d'une semaine, Charlie Hebdo s'est cruellement et honteusement moqué des touristes russes qui ont été échiquetés en plein ciel par des sauvages barbus sur le Sinaï. Ces sauvages étaient,bien sûr, du même acabit que qui ont massacré les employés de la publication eux-mêmes en Janvier 2014.
Le porte-parole russe Dmitri Peskov a déclaré: «Dans notre pays, ce serait appelé blasphème. Cela n'a rien à voir avec la démocratie ou de la libre expression c''est est juste un blasphème.
Le rédacteur en chef de Charlie Hebdo, Gerard Briar n'a pas tardé à défendre en déclarant: «Nous sommes un journal laïque, démocratique et athée. Le terme blasphème n'a pas de sens pour nous. Le Kremlin se sert de cela pour détourner l'attention d'autres problèmes ».
Charlie Hebdo n'accepte pas que son extrémise par le billet de la caricature est aussi violent que les actes terroristes.
Le porte-parole russe Dmitri Peskov a déclaré: «Dans notre pays, ce serait appelé blasphème. Cela n'a rien à voir avec la démocratie ou de la libre expression c''est est juste un blasphème.
Le rédacteur en chef de Charlie Hebdo, Gerard Briar n'a pas tardé à défendre en déclarant: «Nous sommes un journal laïque, démocratique et athée. Le terme blasphème n'a pas de sens pour nous. Le Kremlin se sert de cela pour détourner l'attention d'autres problèmes ».
Charlie Hebdo n'accepte pas que son extrémise par le billet de la caricature est aussi violent que les actes terroristes.
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