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    Il s'agit d'un texte dans journal. Connaissant bien l'oiseau, il donne son sentiment sur les attentats de Paris. Ceux qui s'intéressent au surréalisme, Boudj en use et abuse.
    ps : je n'ai pas la suite du texte


    Les peuples arabes n’ont jamais su établir une relation objective et équilibrée avec l’Histoire depuis la chute de Grenade en 1492. Il n’y a dans cette approche aucune nostalgie pour le passé » en or « , mais juste l’affirmation d’une réalité sociopolitique intraitable.


    Déjà dans les années 70, le philosophe libanais Hocine Maroua écrivait à ce sujet : » Surtout que les Arabes , depuis la défaite de Grenade sont restés hésitants et dubitatifs entre le passéisme qui s’auto-célèbre et la modernité qui commençait à les fasciner. »


    Effectivement la question posée, actuellement, au sujet de la façon dont les Arabes font la lecture de l’Histoire, aujourd’hui, oppose deux visions opposées et contradictoires. L’une négative, le passéisme, et l’autre positive, la modernité, qu’ils envient et qu’ils moquent en même temps. Ceci parce que la méthodologie politique arabe pour l’appréhension du réel, passé comme présent, reste floue et fonctionne dans une conscience douloureuse très flottante. À qui il manque un élément décisif : la rationalité.


    Les Arabes, en général, ont tous vécu l’Histoire à travers la lorgnette du colonialisme franco-anglais qui les a complexés et complexifiés pour toujours, les menant à accumuler les contradictions fondamentales et les ruptures irrationnelles. Ainsi, ils ont vécu la situation coloniale dans une sorte d’hébétude historique et d’instabilité proche de l’hystérie et de la logorrhée qui leur permettaient de « survivre » et d’avoir raison.En effet depuis Grenade, ils ont vécu cette aliénation d’une façon névrotique et d’une manière dépressive. Ainsi s’est constituée chez eux une sorte de schizophrénie qui les faisait mépriser le colonisateur et tomber dans la superstition religieuse.


    Fanon insiste sur le fait que sur le complexe du colonisé est venu se greffer un sentiment de supériorité, d’ordre religieux et moral, en fait, vis-à-vis du colonialiste renégat et dont la civilisation est inférieure à la sienne. Ce fut le début de l’autodestruction et de l’amnésie.


    Robert Dreyfus, le politologue américain qui détint longtemps la chaire de psycho-politologie à Harvard, écrit : » Il faut dire que Les États-Unis ont joué un rôle essentiel dans la fabrication de l’extrémisme musulman, à partir des pays arabes qui essayaient d’installer, chez eux, l’État national et une sorte de laïcité primitive, telle l’Égypte de Nasser et l’Irak et la Syrie du « BAAS ».


    Les USA ont parfaitement réussi leur plan machiavélique qui a mené à la formation d’un extrémisme musulman opposé au nationalisme arabe.
    C’est ainsi qu’est né l’EI qui ravage, aujourd’hui et le monde musulman et le monde occidental.

  • #2
    Il a oublié une chose très importante:
    la perte de repères identitaires à travers l'occultation et la falsification de l'histoire en ce qui concerne l'Afrique du nord.

    Ce n'est pas un hasard si l’obscurantisme islamiste avait trouvé un terrain fertile en Algérie.

    Des jeunes ignorants, sans histoire, sans culture, sans identité à qui on peut faire croire ce que l'on veut.
    Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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    • #3
      Meg,

      Ta critique montre que tu connais parfaitement Boudjedra.

      Moi non plus je ne suis pas d accord avecce côté de son idéologie.

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      • #4
        En quelques heures, Paris fut ravagée d’une façon sauvage par des attentats fulgurants organisés et planifiés par des jeunes français se revendiquant de l’État islamique (EI), cette pieuvre fanatique et impitoyable dont la cruauté est implacable et les arguments, aussi. Un désastre planifié d’une façon rigoureuse et scientifique ; avec un sang-froid qui prouve des capacités organisationnelles peu banales et une progression dans le savoir-faire de la mort qu’a développé l’État islamique.
        Cette Organisation-État qui sévit d’une façon abominable en Irak et en Syrie, pays détruits par les Américains d’abord, et dont la responsabilité est indiscutable malgré les tentatives de camouflages, d’embrouillages et de propagande grotesque qui ne trompent personne, ni les Américains eux-mêmes.
        Après l’Irak saccagée par la famille Bush, sans remords ni repentance, vint le tour de la Syrie.
        Sous prétexte d’émeutes réprimées dans le sang par le président syrien (Mais dans les pays arabes les émeutes sont toujours réprimées dans le sang, et le cas du Marechal El Sissi qui réprime toujours dans le sang, en est la preuve notoire ; ce qui ne l’empêche pas d’être « adulé » par l’Occident ), les Américains sous couvert des Saoudiens et des Quataris firent le sale boulot.
        Entre un État, autoritaire mais semi laïc et protecteur de toutes les confessions qui prolifèrent dans le pays, et une horde d’Islamistes, de gauchistes et d’anciens oligarques qui remâchaient leur échec d’avoir perdu le pouvoir dans les années soixante au profit du parti Baas tenu par El Assad père, les Occidentaux choisirent l’horreur islamiste. Certes le Baas a souvent réprimé violemment toute velléité de lui disputer le pouvoir, mais il était un parti laïc qui avait en son sein des courants progressistes obsédés par la modernité. À ce moment-là, c’était Al Qaida qui a été chargée de faire la sale boulot. Sous la férule des pays occidentaux et avec le financement de l’Arabie saoudite et du minuscule Qatar.


        Mais très vite, en ce qui concerne la Syrie, les alliances furent vite bouleversées et on créa peu à peu, l’Organisation de l’État islamique.
        Formés pendant la guerre d’Afghanistan et même pendant la décennie noire algérienne, ces « combattants » de plus en plus aguerris et passés par les camps d’entrainement US au Pakistan et en Afghanistan, vont acquérir un autre savoir-faire : gérer les villes irakiennes et syriennes qu’ils occupaient et ensuite des pans entiers de pays, membres de l’ONU.
        L’histoire est trop longue, parce que le calvaire des peuples arabes dure depuis une trentaine d’années. Mais la question qui se pose ici est pourquoi la France qui avait refusé de faire la guerre en Irak et qui avait bien compris l’astuce américaine de la fameuse « Fiole » contenant un produit qui allait détruire l’univers dans son ensemble, sous l’égide du président Jacques Chirac, s’est-elle engouffrée dans la guerre syrienne d’une façon irrationnelle et hystérique, sous l’égide du président François Hollande ? La réponse est simple. Chirac était un gaulliste, adepte de la politique pro-arabe et Hollande est un socialiste attiré par le sionisme israélien.
        De tout temps, la droite française a été beaucoup moins guerrière et va-t’en guerre que la gauche. En 1830, Victor Hugo, homme de gauche et poète de talent, voulait la guerre d’Algérie. Bugeaud, officier militaire et monarchiste ne voulait pas faire la guerre d’Algérie. Paradoxes de l’Histoire et perversion de la politique. On sait aussi que la SFIO a mené une guerre terrifiante et abjecte en Algérie avec les Guy Mollet, les André Lacoste et… les François Mitterrand.
        Le courant socialiste, en France, a, de tout temps été belliqueux et teigneux. Et François Hollande en est aujourd’hui non seulement l’exemple type, mais la caricature toujours dressée sur ses ergots, chef d’une armée, en déliquescence, il est fondamentalement un réactionnaire hâbleur et de mauvaise foi. Il se trouve toujours à rebours et à contre-courant de l’Histoire qui le dépasse largement. Il est donc et quelque part responsable des malheurs du peuple français qui est malmené dans son économie, sa démocratie et son pacifisme.
        Il n’y a pas de hasard en Histoire, il n’y a que des constantes. Et le malheur qui a frappé la France ce vendredi 13 novembre n’est qu’une constante et une conséquence de l’Histoire.

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        • #5
          Une exception pour la droite :Sarkozy ,un va-t'en guerre et pro-sioniste notoire .
          L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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          • #6
            Beaucoup de médias continuent à parler de « Révolution tunisienne », alors que les jeunes émeutiers de janvier 2011 ont souvent rejoint les partis islamistes ou partis faire la guerre au Moyen-Orient. Et ce n’est pas un hasard si le contingent étranger le plus important qui combat actuellement en Syrie, aux côtés de l’EI, est le contingent tunisien qui compte environ 3 000 jeunes.
            Après quatre années qui ont servi à organiser une « entourloupette » politique pour réinstaller l’ancien régime de Ben Ali, sans Ben Ali, créer des bases solides pour le terrorisme salafiste et mettre le pays à genoux, devenu exsangue, aujourd’hui, avec des grèves interminables, une grande partie du pays en insurrection permanente et une énorme frustration qui s’est emparée de la classe intellectuelle ; le bilan est vraiment désastreux.
            La Tunisie d’aujourd’hui est un pays chamboulé de fond en comble, où la pauvreté, le chômage et le complexe de l’échec se sont installés durablement. Même cette « trouvaille » qu’a été le parti « Nida Tounes » créé de toutes pièces par les partisans de l’ancien régime, s’est avérée très vite un gros canular qui a permis au parti islamiste d’Ennahda de revenir – encore une fois ! – au premier plan et de jouer les pompiers et les sauveteurs. Ce parti a joué d’une façon intelligente avec toutes les contradictions de la situation chaotique qui a succédé à la faillite de l’ancien régime, reste, en fait, le vrai et le seul parti du pays.


            Ainsi la rupture supposée et qui aurait eu lieu en janvier 2011, n’en est pas une ! Ainsi le citoyen tunisien se trouve diffracté et pris au piège, bégayant entre la haine et le désir de violence, entre la résignation et la révolte, entre la réconciliation et la réfutation. Aussi ce citoyen vit-il en permanence une conscience douloureuse et instable et s’enfonce-t-il à l’intérieur d’une crise permanente envers « l’autre » qui ne cesse de lui renvoyer une image positive et « encourageante » de lui-même qui le flatte et dont il se méfie, tout à la fois.
            Mais en réalité l’Homme tunisien « fragmenté » refuse sa marginalisation objective, ce qui est, en soi, un signe de bonne santé sociopolitique, mais il donne l’impression – en même temps – de vouloir s’y enfermer, voire s’y vautrer. D’autant plus que la gauche incarnée pendant un certain temps par l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) donne l’impression de s’essouffler, à son tour.
            Il reste les grandes manœuvres du « Benalisme », avec le retour des vautours de l’ancien système qui ont été libérés de prison ou « pardonnés », à la grande joie de l’Europe qui a toujours cru en cette solution-là.
            viscéralement contre le printemps arabe..

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            • #7
              l'Arabie Saoudite...

              Envoyé par rachid Boudjedra
              Aucun pays dans l’histoire de l’humanité n’a été aussi complexe, compliqué, contradictoire, et donc pervers. Peuple nomade vivant dans une région où s’est forgée la langue arabe, grâce aux poètes prestigieux de ce qu’on a appelé « la jahilia« , tels Imrouou El Kai¨ss, Al Khanssaa et surtout Echanfara, le poète gueux et voyou, et grâce à la beauté de certains de ses sites,tel que le nord de cette presqu’île où se trouve la ville d’Aden et qui a donné le mot « Eden » au monde entier et à ce jour.


              L’Arabie saoudite n’a jamais été une entité jusqu’à la chute totale de l’Empire Ottoman vers les débuts du 20e siècle et l’invasion anglaise qui sentait (puait ?) déjà le pétrole. Et ce ne sont pas les Ibn Saoud, comme on le croit souvent, qui composaient la plus grande tribu mais les Ibn Wahab dont le chef développa la doctrine wahabite implacable et inhumaine qui va devenir la Constitution de l’Arabie Saoudite dès que les Anglais installèrent les Ibn Saoud à la tête de cet état créé de toutes pièces par eux; et -aussi- la constitution du Qatar, un siècle plus tard, presque.


              À la limite, le pétrole n’est pas la première priorité de ce royaume qui fait l’admiration unanime de l’Occident qui le parraine et le couve. De tout temps, ce pays a travaillé en bonne entente et en totale complicité avec les USA, d’abord et avec l’Europe, ensuite. Avec le pétrole, l’Arabie saoudite a formé des cadres hors pair qui ont étudié dans les plus grandes universités américaines mais il y a chez ces intellectuels saoudiens un dédoublement de la personnalité et à partir de là une fracture endogène de la conscience du monde qu’ils ont.


              Entre l’habit traditionnel souvent de mise et l’habit européen qu’on ne se gêne pas de porter dès qu’on quitte le pays, l’homme saoudien vit deux vies en même temps : une vie monastique selon l’idéologie-Constitution wahabite et une vie dépravée dans les grandes villes américaines et européennes.




              L’Occident ne pouvait trouver un meilleur gendarme arabo-musulman pour gérer et protéger ses intérêts économiques et financiers. Depuis la guerre d’Afghanistan, La décennie islamo-terroriste en Algérie, l’invasion de l’Irak en deux fois et l’écrasement de la Syrie, cet Occident là a fait son sale boulot avec l’argent saoudien st sous la houlette de Ryadh. Le moucheron quatari, lui, ne jouant en fait qu’un rôle de hall d’exposition pour la sainte alliance occidentalo-saoudienne.


              Mais l’Arabie a comme règle absolue et définitive : le déni total.
              Même le calvaire de Raef El Badaoui est un non-événement pour cet État!
              Mais le déni politique n’est pas l’apanage du régime wahabi car l’Occident le pratique d’une façon obsessive et obsédante.


              Les Etats-Unis fournissent des missiles Tow aux islamistes en Syrie : un Afghanistan bis ?

              Article |20. novembre 2015 -

              En Syrie, nous sommes bel et bien dans un Afghanistan bis ! Hier comme aujourd'hui, les Russes sont face à des islamistes armés par les Américains. L'armée américaine a fourni des missiles Tow (antichar) aux terroristes en Syrie comme elle avait fourni des missiles Stinger (sol-air) aux islamistes afghans contre les Russes. Le sénateur américain Richard Black l’a révélé en dénonçant «l’envoi par les Etats-Unis de cargaisons de missiles Tow antichar aux terroristes en vue de riposter à l’aide qu’apporte la Russie à la Syrie». La présence de ces missiles entre les mains des terroristes en Syrie a été confirmée par certains médias étrangers. Il y a un mois, le site d’information russe Spoutnika rapporté qu’«à la mi-octobre, le New York Timesaméricain déclarait que juste après le début de l'opération russe en Syrie, début octobre, plusieurs commandants des groupes insurrectionnels avaient adressé à l'Occident une demande de leur fournir des lance-missiles. Ils avaient transmis cette demande via le centre opérationnel en Turquie, où on leur a promis de transmettre leur requête au gouvernement des pays membres de la coalition menée par les Etats-Unis». Il s’agit, souligne cette source, de «lance-missiles sol-air américains à courte portée destinés à abattre les hélicoptères russes, dont les tirs d'appui permettent à l'armée syrienne de mener son offensive». A ce jour, la même source précise que «les Etats-Unis n'ont pas encore donné leur autorisation, craignant que les missiles ne se retrouvent entre les mains de terroristes». Mais plus récemment, un porte-parole de la base aérienne syrienne de Hama a révélé, toujours d’après le site d’information Spoutnik, que «les terroristes en Syrie ont des lance-missiles américains Stinger». Ces systèmes antiaériens, a-t-il ajouté, «leur permettent d'atteindre les hélicoptères et les avions à une altitude de 4,5 km ». Les missiles américains aux mains des terroristes sont dirigés contre l’aviation russe qui effectue, depuis le 30 septembre, des frappes aériennes sur les positions des groupes terroristes, Daech et Front Al-Nosra, branche d’Al-Qaïda en Syrie, ciblant surtout les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à Daech. On ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec les Stinger en Afghanistan. Le FIM-92 Stinger, rappelle-t-on, est un lance-missile sol-air américain à courte portée utilisé pour atteindre les hélicoptères ou les avions de combat à basse altitude. Il avait été livré, à l’époque, aux «moudjahidine» en Afghanistan pour abattre les hélicoptères utilisés par l’armée soviétique. Dans l’immédiat, Richard Black attire l’attention surtout sur le fait que les missiles Tow sont une menace pour l’aviation civile, en particulier pour les avions qui se préparent à décoller. Et si, un jour, interroge-t-il, ces missiles reviennent aux Etats-Unis et arrivent dans des zones jouxtant l’aéroport national Reagan, l’aéroport international Dallas et autres ? L’effet boomerang serait catastrophique. «Je sens, en tant que sénateur de l’Etat de Virginie, de l’inquiétude», écrit-il. Dans un message envoyé au président Bachar Al-Assad, rendu public par l’agence syrienne Sana, Richard Black dit avoir contacté le président des Etats-Unis pour lui faire part de ces préoccupations.

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              • #8
                Envoyé par boudjedra

                RACHID BOUDJEDRA
                La chute de Constantine

                09:33 jeudi 14 avril 2016 | Par Rachid Boudjedra

                Constantine, capitale de la culture arabe, c’est fini ! Bilan ou pas bilan, quel intérêt ? Il y a eu du bon (la restauration du palais Beylical, l’érection du musée d’art moderne, la rénovation de la vielle ville, etc) et du mauvais (beaucoup de bavures et de maladresses, voire de règlements de comptes mesquins et loufoques) ; mais la chute finale est douloureuse.


                Clore cette année en invitant Majda Roumi et ses 70 musiciens, au lieu d’inviter Houria Aïchi et ses 4 musiciens, est une erreur inexplicable mais catastrophique sur le plan symbolique. Car Majda Roumi vient de Beyrouth et le cachet qu’elle va toucher est libellé en dizaine de milliers de dollars. Houria Aïchi, elle vient de… Constantine et son cachet auraient été libellés en dinar.


                Pourquoi cette entourloupette ? Pourquoi cette mascarade ? Et le ministre de la Culture qui va accueillir cette vieille chanteuse à l’aéroport, en grande pompe ? C’est quoi ça ! C’est de la schizophrénie politique et de l’entêtement bureaucratique, avec une once de haine de soi et quelques grammes de fascination morbide pour l’autre.


                Le pays va mal et tous les Algériens le savent, mais quand la Culture en arrive à draguer les bas-fonds les plus sordides et les plus nauséabonds, c’est qu’il y a le feu dans la maison Algérie.
                étude ..

                1- la chute de constantine
                2- érection du musée d'art moderne
                3- once de haine de soi et fascination morbide pour l'autre

                conclusion : il n'aime pas le festival, n'aime pas l'art moderne, prévoit la chute du sinistre de la culture (mihoubi)..
                Dernière modification par tawenza, 14 avril 2016, 18h42.

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