Voici un poème dont je souhaiterai partager qui m a profondément ému :
"Si t'étais là mon enfant, je te prendrai dans mes bras
Ta tête sur la paume de ma main, ton corps contre moi
Je te psalmodierais la chahada doucement à ton oreille
Puis demanderais à Dieu que si tout ceci est un rêve alors que
jamais on ne me réveille.
Si t'étais là mon enfant, je compterais le nombre de tes doigts
Te présenterais à tes grands parents, des algériens de Maghnia
Je serais pour toi comme la forteresse de Hassan Sabah
Et t'écrirais mon amour comme la lettre du martyr Zabana.
Si t'étais là, je lèverais la tête vers le ciel
Pour pleurer mes larmes coulant de mes yeux couleurs miel
Je remercie le créateur de t'avoir donné la vie
Puis je poserais mon front, un serviteur sur un tapis.
Si t'étais là, j'embrasserais ta mère jusqu'à en devenir ivre
Mon premier amour est parti se remarier après m'avoir quitté
Mais celle qui m'a manqué, ne m'était pas destiné
Je suis ton père, guérit par celle qu'on appelle la mère du livre.
Si t'étais là, je te donnerais le nom de ma mère
Myriam, la seule femme que j'aimerai plus que toi
Mon âme est à Dieu, mon coeur est à la femme de mon père
Tu sais mon enfant, c'est elle qui m'a donné la vie deux fois.
Si t'étais là, je te nommerais Zakaria
Comme le prophète dont la femme était stérile
Dieu lui donna un fils appelé Yahya
Voilà une créature comme la belle Selsébil.
Si t'étais là je parlerais de notre maître bien aimé
De son voyage sur le dos d'une bête mi-âne mi-mulet
Je chanterais mon amour comme un joueur de ney
Et crierais ton nom comme le muezzin sur son minaret.
Si t'étais là, je te dirais que tu es un rêve
ton père est stérile, ils ont dit qu'il n'y avait rien à faire
Mais qui donne la vie, comme l'arbre donne sa sève
Dieu ne me laisse pas les mains vides, exauce mes prières."
Mohamed
"Si t'étais là mon enfant, je te prendrai dans mes bras
Ta tête sur la paume de ma main, ton corps contre moi
Je te psalmodierais la chahada doucement à ton oreille
Puis demanderais à Dieu que si tout ceci est un rêve alors que
jamais on ne me réveille.
Si t'étais là mon enfant, je compterais le nombre de tes doigts
Te présenterais à tes grands parents, des algériens de Maghnia
Je serais pour toi comme la forteresse de Hassan Sabah
Et t'écrirais mon amour comme la lettre du martyr Zabana.
Si t'étais là, je lèverais la tête vers le ciel
Pour pleurer mes larmes coulant de mes yeux couleurs miel
Je remercie le créateur de t'avoir donné la vie
Puis je poserais mon front, un serviteur sur un tapis.
Si t'étais là, j'embrasserais ta mère jusqu'à en devenir ivre
Mon premier amour est parti se remarier après m'avoir quitté
Mais celle qui m'a manqué, ne m'était pas destiné
Je suis ton père, guérit par celle qu'on appelle la mère du livre.
Si t'étais là, je te donnerais le nom de ma mère
Myriam, la seule femme que j'aimerai plus que toi
Mon âme est à Dieu, mon coeur est à la femme de mon père
Tu sais mon enfant, c'est elle qui m'a donné la vie deux fois.
Si t'étais là, je te nommerais Zakaria
Comme le prophète dont la femme était stérile
Dieu lui donna un fils appelé Yahya
Voilà une créature comme la belle Selsébil.
Si t'étais là je parlerais de notre maître bien aimé
De son voyage sur le dos d'une bête mi-âne mi-mulet
Je chanterais mon amour comme un joueur de ney
Et crierais ton nom comme le muezzin sur son minaret.
Si t'étais là, je te dirais que tu es un rêve
ton père est stérile, ils ont dit qu'il n'y avait rien à faire
Mais qui donne la vie, comme l'arbre donne sa sève
Dieu ne me laisse pas les mains vides, exauce mes prières."
Mohamed
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