…........En souvenir
De mes jours de tourments
Des questions me taraudent
Aux quelles, je n’ai de réponses
Comment puis je vivre sans ma maman ?
Comment accepter un pareil malheur
Quand je parais froide et mécontente
J'ai beau faire semblant
J’ai essayé de revivre
Je n'arrive pas à avoir envie
Mes angoisses restent là comme hypnotisées
Je suis vide de tout
La souffrance et le manque de toi sont mes seuls sentiments
Aujourd’hui c’est le 19
Comment ne pas s’en souvenir ?
Je me sens esseulée...
Ma muse s’est affaiblie
J’écris pour parler de cette douce maman
Qui est dans mon cœur et mes pensées
Sans trop déranger
C'est la montagne russe en émotions
Tout me revient en pleine face
Si court mais si long à la fois
Chaque soir vers les 18h.
Je regarde encore l'heure
Comme si j’ allais t’appeler
Les yeux hagards
Un regard se pose
Qui suggère la douleur
La peine de la perte de celle qu’on aime
Pour que ma tristesse cesse
Je murmure encore
Pour guérir mes blessures et mes peines
Je ne fredonne plus que le déchirement
Je me console
Mais je me dessèche en même temps
Ma voix n’a plus rien de tendre
Étouffée de sanglots
Pour épancher mon chagrin
Je voulais dans tes derniers adieux
Attacher mes yeux
T’enlacer pour ressusciter
Mais le temps d’une vie ne m’a pas suffit
Dans ce moment chacun oublie
De prêter attention, tendre l’oreille
S’en va dans la nuit éternelle
Sans avoir tout dit
On perds les mots d’émotions
Le cœur et l’âme
Les rêves ont le goût amer
Nous mourons sans savoir comment
Chacun est parti
Nostalgie du temps passé
Quand tu nous prends
Morne et blême, on s’en va
Pardon, maman
Car sur toi étaient fondés tous les plans de ma vie
Pardon pour mon égoïsme
C’est que je t’aime tant
Mon cœur pleure ton silence
Il se désole
Je passe des heures à te chercher dans ma tête
Je donnerais toute ma vie pour un instant passé avec ma maman
Repose en paix ma petite maman
Tes petit enfants entendront toujours parler de leur formidable mima
Une promesse que je me fais
Je fus ton rêve
Désormais, tu seras le mien
Mon souvenir
J’ai la volonté ferme de rester digne de toi, maman
Les mots me manquent.
Je veux tout croire, car autrement, que deviendrais-je ?
B,ch===>19 novembre 2015
De mes jours de tourments
Des questions me taraudent
Aux quelles, je n’ai de réponses
Comment puis je vivre sans ma maman ?
Comment accepter un pareil malheur
Quand je parais froide et mécontente
J'ai beau faire semblant
J’ai essayé de revivre
Je n'arrive pas à avoir envie
Mes angoisses restent là comme hypnotisées
Je suis vide de tout
La souffrance et le manque de toi sont mes seuls sentiments
Aujourd’hui c’est le 19
Comment ne pas s’en souvenir ?
Je me sens esseulée...
Ma muse s’est affaiblie
J’écris pour parler de cette douce maman
Qui est dans mon cœur et mes pensées
Sans trop déranger
C'est la montagne russe en émotions
Tout me revient en pleine face
Si court mais si long à la fois
Chaque soir vers les 18h.
Je regarde encore l'heure
Comme si j’ allais t’appeler
Les yeux hagards
Un regard se pose
Qui suggère la douleur
La peine de la perte de celle qu’on aime
Pour que ma tristesse cesse
Je murmure encore
Pour guérir mes blessures et mes peines
Je ne fredonne plus que le déchirement
Je me console
Mais je me dessèche en même temps
Ma voix n’a plus rien de tendre
Étouffée de sanglots
Pour épancher mon chagrin
Je voulais dans tes derniers adieux
Attacher mes yeux
T’enlacer pour ressusciter
Mais le temps d’une vie ne m’a pas suffit
Dans ce moment chacun oublie
De prêter attention, tendre l’oreille
S’en va dans la nuit éternelle
Sans avoir tout dit
On perds les mots d’émotions
Le cœur et l’âme
Les rêves ont le goût amer
Nous mourons sans savoir comment
Chacun est parti
Nostalgie du temps passé
Quand tu nous prends
Morne et blême, on s’en va
Pardon, maman
Car sur toi étaient fondés tous les plans de ma vie
Pardon pour mon égoïsme
C’est que je t’aime tant
Mon cœur pleure ton silence
Il se désole
Je passe des heures à te chercher dans ma tête
Je donnerais toute ma vie pour un instant passé avec ma maman
Repose en paix ma petite maman
Tes petit enfants entendront toujours parler de leur formidable mima
Une promesse que je me fais
Je fus ton rêve
Désormais, tu seras le mien
Mon souvenir
J’ai la volonté ferme de rester digne de toi, maman
Les mots me manquent.
Je veux tout croire, car autrement, que deviendrais-je ?
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