Tweet
CHASSE À L’OUTARDE
Un Émirati, un Qatari et deux Algériens arrêtés à Taghit
Deux braconniers originaires du Qatar et des Émirat arabes unis, ainsi que deux Algériens ont été arrêtés, dimanche dernier, en flagrant délit de braconnage de l’outarde, dans la localité de Taghit, distante de 80 km du chef-lieu de la wilaya de Béchar. Selon les enquêteurs de la Gendarmerie nationale, les deux ressortissants des pays du Golfe avaient établi des connexions via le réseau social facebook avec deux Algériens, originaires de Laghouat et de Béchar, pour s’adonner au braconnage de l’outarde en Algérie.
Lors de leur interpellation à bord d’un véhicule de type Volkswagen Amarok 4X4, ces individus étaient en possession de deux outardes, d’un fusil, d’une paire de jumelles et de grosses sommes d’argent en dinars algérien et en devises.
Placés sous contrôle judiciaire, les quatre mis en cause comparaîtront bientôt devant le tribunal local et répondront à plusieurs chefs d’inculpation, dont association de malfaiteurs, détention d’arme à feu, de jumelles (considérées comme une arme de guerre en Algérie depuis 1994), fausses déclaration et braconnage. Quant au Libyen en fuite, il est activement recherché dans la localité d’El-Oued, d’autant que les enquêteurs comptent opérer une réquisition afin de localiser ses appels téléphoniques avec l’Émirati.
F. B.
Liberté
Un Émirati, un Qatari et deux Algériens arrêtés à Taghit
Deux braconniers originaires du Qatar et des Émirat arabes unis, ainsi que deux Algériens ont été arrêtés, dimanche dernier, en flagrant délit de braconnage de l’outarde, dans la localité de Taghit, distante de 80 km du chef-lieu de la wilaya de Béchar. Selon les enquêteurs de la Gendarmerie nationale, les deux ressortissants des pays du Golfe avaient établi des connexions via le réseau social facebook avec deux Algériens, originaires de Laghouat et de Béchar, pour s’adonner au braconnage de l’outarde en Algérie.
Lors de leur interpellation à bord d’un véhicule de type Volkswagen Amarok 4X4, ces individus étaient en possession de deux outardes, d’un fusil, d’une paire de jumelles et de grosses sommes d’argent en dinars algérien et en devises.
Placés sous contrôle judiciaire, les quatre mis en cause comparaîtront bientôt devant le tribunal local et répondront à plusieurs chefs d’inculpation, dont association de malfaiteurs, détention d’arme à feu, de jumelles (considérées comme une arme de guerre en Algérie depuis 1994), fausses déclaration et braconnage. Quant au Libyen en fuite, il est activement recherché dans la localité d’El-Oued, d’autant que les enquêteurs comptent opérer une réquisition afin de localiser ses appels téléphoniques avec l’Émirati.
F. B.
Liberté
Commentaire