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Remède contre la schizophrénie: Les malades iront vivre en Algérie où cela est un état ordinaire de l’individu
Remède contre la schizophrénie: Les malades iront vivre en Algérie où cela est un état ordinaire de l’individu
Une équipe de chercheurs allemands vient de faire état, dans la revue Psychological Review, d’une découverte capitale dans le champ de la maladie mentale: la schizophrénie, trouble que l’on considérait comme incurable, a en fait un remède.
L’expérience a été conduite en envoyant des schizophrènes de plusieurs nationalités vivre plusieurs mois en Algérie. Durant cette période, il a été impossible aux chercheurs de distinguer une différence de comportement entre leur échantillon et le reste de la population. Les malades, quelle que soit leur origine, s’étaient parfaitement adapté à leur nouvel environnement, leur état ne nécessitant plus aucune médication.
L’expérience a été reconduite dans différentes régions du territoire et les même résultats ont pu être obtenus, même aux confins les plus reculés du Sahara. Le Dr. Hans Jekkyl, chef de l’équipe scientifique, a fait état de sa fascination pour ces résultats: « C’est une expérience réellement extraordinaire. Comme si le monde cauchemardesque et fantasmé de ces schizophrènes s’était instantanément matérialisé dans la réalité de la vie algérienne. Nous en avons déduit que les frontières du normal et du pathologique n’existaient plus sur ce territoire et qu’il pouvait accueillir non seulement tous les schizophrènes de la planète, mais également les paranoïaques, les psychotiques et les malades atteints de bien d’autres syndromes ».
Par El Manchar
Une équipe de chercheurs allemands vient de faire état, dans la revue Psychological Review, d’une découverte capitale dans le champ de la maladie mentale: la schizophrénie, trouble que l’on considérait comme incurable, a en fait un remède.
L’expérience a été conduite en envoyant des schizophrènes de plusieurs nationalités vivre plusieurs mois en Algérie. Durant cette période, il a été impossible aux chercheurs de distinguer une différence de comportement entre leur échantillon et le reste de la population. Les malades, quelle que soit leur origine, s’étaient parfaitement adapté à leur nouvel environnement, leur état ne nécessitant plus aucune médication.
L’expérience a été reconduite dans différentes régions du territoire et les même résultats ont pu être obtenus, même aux confins les plus reculés du Sahara. Le Dr. Hans Jekkyl, chef de l’équipe scientifique, a fait état de sa fascination pour ces résultats: « C’est une expérience réellement extraordinaire. Comme si le monde cauchemardesque et fantasmé de ces schizophrènes s’était instantanément matérialisé dans la réalité de la vie algérienne. Nous en avons déduit que les frontières du normal et du pathologique n’existaient plus sur ce territoire et qu’il pouvait accueillir non seulement tous les schizophrènes de la planète, mais également les paranoïaques, les psychotiques et les malades atteints de bien d’autres syndromes ».
Par El Manchar
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