Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Bagarre à l'APN

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Bagarre à l'APN

    30 NOV. 2015 11:17

    La séance plénière consacrée au vote sur le projet de loi de finances 2016 a été fortement perturbée par les députés. Une bagarre vient d'éclater à l’intérieur de l’hémicycle de l'Assemblée populaire nationale

    Leconews

  • #2
    C'est, parait-il, à cause de l'abrogation de l'article 66.

    Commentaire


    • #3
      La toute première bagarre dans une assemblée a eu lieu en russie ou en ukraine , depuis ce jour ,zaama ils veulent copier même les bêtises des européens :22:
      Dernière modification par ACAPULCO, 30 novembre 2015, 13h24.
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

      Commentaire


      • #4
        Il dit quoi l'article 66?

        Commentaire


        • #5
          C'est pas une bagarre, c'est une dispute ou une protestation des députés communiste du PT. L'article 66 parle de l'ouverture du capital des entreprises publiques.

          ∑ (1/i²) = π²/6
          i=1

          Commentaire


          • #6
            Il y eu un baiser volé par un deputé sur la joue d’Une deputé a la minute 4:23
            .
            .
            ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
            Napoléon III

            Commentaire


            • #7
              Samybey
              -Merci.Mais le budget c'est le conseil des ministres présidé par le président de la république qui le défini et après le parlement l'approuve ou non.
              -Comme Bouteflika n'est plus en état de présidé un conseil des ministres,ils sont entrain de mettre la main sur le nerf de la guerre.Donc la révolte est justifie.

              Commentaire


              • #8
                Les deputés , surtout ceux fln , depuis qu'ils se la coulaient douce , avec la majorité automatique ,auront desormais à faire face à la realité à l'instart du citoyen de la ruelle .Le bricolage ,c'est du passé ?
                une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

                Commentaire


                • #9
                  Il y eu un baiser volé par un deputé sur la joue d’Une deputé a la minute 4:23
                  C'est peut etre ce que prevoyait l'article 66 ,non ? Le vol !!!
                  une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

                  Commentaire


                  • #10
                    habiban
                    T...c

                    Commentaire


                    • #11
                      Samybey
                      Un jeune pays dirigé par des géronthopolitiques. Parodoxal n'est pas Algérien.

                      Commentaire


                      • #12
                        ZAAMA ils veule nous faire croire qu'il ya une vétrine de démocratie en Algérie.....ya khiiii blad mékiiii
                        Dernière modification par katiaret, 30 novembre 2015, 18h07.
                        dz(0000/1111)dz

                        Commentaire


                        • #13
                          @awtil
                          -Merci.Mais le budget c'est le conseil des ministres présidé par le président de la république qui le défini et après le parlement l'approuve ou non.
                          ce qui est préparé par l’exécutif c'est juste le projet de loi de finance qui est constitué de plusieurs articles...chaque article est voté séparément..les députés ont théoriquement le pouvoir d'amender tout les articles ou de les rejeter...et il va sans dire que quand tu dispose d'une majorité obéissante, le parlement se transforme en chambre d'enregistrement..

                          Commentaire


                          • #14
                            rodmaroc
                            Mais là l'entourage de boutef veut mettre la main sur le trésor et assurer l'avenir du remplacent.

                            Commentaire


                            • #15
                              Le parisien 30 11 2015

                              "Algérie; une général en prison, des députés qui se battent à l'assemblée.

                              Même l'ancien ministre de la Défense Khaled Nezzar, qui fut l'homme fort du pays de 1992 à 1994 au début de l'insurrection islamiste qui voulait abattre le régime, y est allé de son commentaire. «C'est une condamnation criminelle et infamante qui jette l'opprobre sur le général Hassan et sa famille», a t-il dit.


                              Agé de 68 ans, le général Hassan, de son vrai nom Abdelkader Ait-Ouarabi, est l'ex-patron du Service de coordination opérationnelle et de renseignement antiterroriste (Scorat), spécialisé dans l'infiltration des groupes terroristes. Il a été jugé par le tribunal militaire d’Oran dans un strict huis clos qui rend impossible la connaissance du fond de l'affaire. Sa condamnation, une première pour un haut responsable des services secrets, est aussi le signe d'«une épuration politique pour crime de non-allégeance» au président Abdelaziz Bouteflika et à ses proches, a estimé le chef du Parti Avant-gardes des Libertés, Ali Benflis, ex-Premier ministre et ex-ministre de la Justice.

                              Selon cet adversaire du clan Bouteflika, dont il fut d'abord un proche, «l'opacité totale qui entoure cette affaire et l'absence de toute communication officielle à son sujet» suggèrent «des arrières pensées et des manipulations de la part du régime». Le général Hassan avait été admis à la retraite en 2013, et immédiatement placé sous contrôle judiciaire, avant son arrestation en août dernier.

                              La tension politique s'est transformée en bagarre à l'Assemblée

                              Son départ avait donné le signal d'une reprise en main du tout-puissant Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) qui a culminé en septembre avec le départ de son chef, le général Mohamed Mediene dit Toufik, mais appelé par les Algériens, qui le craignent sans l'avoir jamais vu, «rab dzaïr (dieu de l'Algérie)». Il a surtout payé son opposition à un quatrième mandat de Bouteflika, très affaibli par la maladie.

                              En juillet, c'est le chef de la garde présidentielle qui est limogé ainsi que plusieurs de ses subordonnés, en raison de surprenants coups de feu au sein de la résidence d'Etat de Zéralda, à l'est de la capitale, où Bouteflika quasi invisible en public reçoit quelques personnalités étrangères depuis son retour de l'hôpital en 2013.

                              Début novembre, meme des proches de Bouteflika ont émis, pour la première fois, des doutes sur ses capacités à diriger l'Algérie, confrontée, selon eux, à un "climat général dégradé". Dans une lettre rendue publique, ils ont demandé à le rencontrer pour s'en assurer malgré les assurances du gouvernement affirmant que Bouteflika même malade travaille et donne ses directives. En vain.

                              Ce lundi matin, alors que l'Assemblée nationale devait examiner le projet de loi de finances 2016, des députés de l'opposition ont montré leurs forces afin d'empêcher le début des travaux. Des bagarres ont eu lieu entre opposants et élus de la majorité présidentielle dominée par le vieux parti FLN. Des images violentes captées par la chaîne privée Ennahar font le tour du net depuis la mi-journée. On y voit le président de l'Assemblée entouré par des gardes de la sécurité, des députés levant des pancartes pour dire non à cette loi, mais surtout des scènes de bousculades et de coups... mêlant des femmes et des hommes dans une assemblée algérienne gagnée par l'effervescence que connait bien la rue depuis la réélection de Bouteflika sur un fauteuil en 2014. "


                              Commentaire

                              Chargement...
                              X