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Louisa Hanoune continue son offensive contre le chef de l’Etat, en se posant comme son (mauvais) avocat en multipliant son délire permanent par des déclarations sur la soi-disant incapacité et le soi-disant isolement du président par son entourage.
Revenant sur la honteuse image donnée par ses députés et ceux de l’opposition lors le vote du projet de loi de finances, elle affirme dans une déclaration à al-Watan que « Ce qui s’est passé au Parlement est très grave. C’est l’arrêt de mort de l’Algérie qui vient d’être validé. Le Président ne peut pas accepter de se faire hara-kiri en se délestant de ses prérogatives en faveur d’un ministre des Finances dont on connaît le profil, pour qu’il puisse disposer de tous les budgets de l’Etat. Nous sommes face à un coup d’Etat en bonne et due forme ». Rien que ça !
Menaçante, la troskiste avertit que « Nous n’allons pas nous taire sur ce coup de force, cette déclaration de guerre contre le peuple algérien. Le Président avait bel et bien déclaré, lors du dernier Conseil des ministres, qu’il n’était pas question de revenir à l’endettement, qu’il a qualifié de mortel pour le pays ».
Revenant sur ses fantasmes qu’elle ne cesse de distribuer quotidiennement, l’indéboulonnable chef du PT depuis 26 ans, ajoute « Aujourd’hui, le cercle occulte qui l’entoure a non seulement autorisé l’endettement des entreprises, mais assuré qu’il sera garanti par le Trésor public. N’est-ce pas la mort de l’Algérie qu’ils veulent ? Le Président ne peut pas signer une loi de finances qui valide la dissolution de l’Etat algérien. Aujourd’hui (hier), nous avons vu à l’APN des bandits et des gangsters offensifs contre l’Etat et le peuple algérien au profit d’une oligarchie. Cette loi de finances, que le clan veut faire passer par un coup de force, est anticonstitutionnelle » ajoute t-elle..
« Nous allons taper sur ce clan jusqu’à ce que le Président nous entende. (…) Pour moi, ce sont des «Dawaech»(en référence à Daech) dit-elle faignant d’oublier ses très bonnes relations dans les années 90 avec les responsables du front islamique du salut (FIS) et sa participation aux honteuses négociations sous la houlette de la communauté catholique de Sant’Egidio en compagnie du FIS dont la délégation était présidée par Rabah Kébir et Anour Hadam celui là même qui a revendiqué le terrible attentat à la voiture piégée qui a explosé boulevard Amirouche à Alger et qui a fait 44 morts et 300 blessés.
Sortant du cadre de chef immuable du PT pour celui d’avocat du DRS et de son ex chef, elle affirme qu’ « Après les graves accusations lancées par le secrétaire général du FLN contre le DRS, j’avais interpellé le Président sur les propos gravissimes tenus de surcroît par un chef de parti. Le Président m’a reçue. C’était en février 2014. Je lui ai dit : «Monsieur le Président, arrêtez ces dérives. Des secrets d’Etat sont en train d’être révélés. Est-ce que ce général Hassan a trahi ? A-t-il fait quelque chose de grave ?» Il a répondu : «Non. L’affaire a été réglée. Il n’a commis aucun méfait. Soyez rassurée.» Je me limite à ces propos parce que la discussion était longue et beaucoup de choses m’ont été dites. Je ne peux violer le secret de la rencontre » (???).
Dans la même interview, elle dit avoir rencontré également le chef d’état-major Gaid Salah qui lui a répondu sèchement «C’est une opération secrète.» Je lui ai dit : «Dans ce cas, elle doit rester secrète. Mais, ce n’est pas le cas. Elle a pris une dimension anormale du fait qu’elle porte atteinte à la colonne vertébrale de l’armée et du pays. Il faut mettre de l’ordre.» Et en tant que militaire qui se respecte, le chef d’état-major lui a tout simplement fait comprendre de s’occuper de ses oignons lui signifiant ainsi « circulez il n’ y a rien à voir ».
L’état-major en charge de la lutte anti-terroriste
Concernant le général Hassan elle n’a pas cessé de lui jeter des fleurs « c’est un héros de la lutte anti terroriste, il est craint par les services secrets de nombreux pays », sans dire de quoi avaient-il peur ces services étrangers qui devaient faire dans leur froc dès qu’ils entendaient le nom de Hassan selon cette dame.
Hanoune oublie que seul le peuple a été le héros de la lutte contre le terrorisme avec les éléments de l’armée nationale populaire, les patriotes, les GLD, les gardiens communaux, les éléments de la police et de la gendarmerie et effectivement les officiers du DRS et en particulier les généraux Bachir Tartag et M’henna Djebbar qui ont été les fers de lance dans cette lutte. A cette époque le général Abdelkader Ait Ouarabi dit Hassan était un illustre inconnu. Il n’a pris son envol qu’une fois que les vrais patriotes qui ont défait le terrorisme ont été limogés de leurs postes, que lui est arrivé et pour quel résultat ? Insignifiant, puisqu’il n’a pu empêché l’attaque suivie de prise d’otages de Tiguentourine ni les éliminations de Abdelmalek Droukdel le chef de l’Aqmi ni celle de Moktar Ben Mokhtar Lahouar…
Devant ces manquements et ce laxisme, le président de la république a ordonné en février 2011 que la lutte anti terroriste relèverait dorénavant de l’état-major de l’ANP dans un décret qui stipule que « la conduite et la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sont prises en charge par l’Etat-major de l’ANP ». Le décret sur la lutte contre le terrorisme, publié dans le JO n°12, stipule ainsi en son article 1er que « les unités et formations de l’Armée nationale populaire sont mises en œuvre et engagées dans le cadre des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion », alors que l’article 2 précise que « le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire est chargé du commandement, de la conduite et de la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sur toute l’étendue du territoire national ».
algerie1
Revenant sur la honteuse image donnée par ses députés et ceux de l’opposition lors le vote du projet de loi de finances, elle affirme dans une déclaration à al-Watan que « Ce qui s’est passé au Parlement est très grave. C’est l’arrêt de mort de l’Algérie qui vient d’être validé. Le Président ne peut pas accepter de se faire hara-kiri en se délestant de ses prérogatives en faveur d’un ministre des Finances dont on connaît le profil, pour qu’il puisse disposer de tous les budgets de l’Etat. Nous sommes face à un coup d’Etat en bonne et due forme ». Rien que ça !
Menaçante, la troskiste avertit que « Nous n’allons pas nous taire sur ce coup de force, cette déclaration de guerre contre le peuple algérien. Le Président avait bel et bien déclaré, lors du dernier Conseil des ministres, qu’il n’était pas question de revenir à l’endettement, qu’il a qualifié de mortel pour le pays ».
Revenant sur ses fantasmes qu’elle ne cesse de distribuer quotidiennement, l’indéboulonnable chef du PT depuis 26 ans, ajoute « Aujourd’hui, le cercle occulte qui l’entoure a non seulement autorisé l’endettement des entreprises, mais assuré qu’il sera garanti par le Trésor public. N’est-ce pas la mort de l’Algérie qu’ils veulent ? Le Président ne peut pas signer une loi de finances qui valide la dissolution de l’Etat algérien. Aujourd’hui (hier), nous avons vu à l’APN des bandits et des gangsters offensifs contre l’Etat et le peuple algérien au profit d’une oligarchie. Cette loi de finances, que le clan veut faire passer par un coup de force, est anticonstitutionnelle » ajoute t-elle..
« Nous allons taper sur ce clan jusqu’à ce que le Président nous entende. (…) Pour moi, ce sont des «Dawaech»(en référence à Daech) dit-elle faignant d’oublier ses très bonnes relations dans les années 90 avec les responsables du front islamique du salut (FIS) et sa participation aux honteuses négociations sous la houlette de la communauté catholique de Sant’Egidio en compagnie du FIS dont la délégation était présidée par Rabah Kébir et Anour Hadam celui là même qui a revendiqué le terrible attentat à la voiture piégée qui a explosé boulevard Amirouche à Alger et qui a fait 44 morts et 300 blessés.
Sortant du cadre de chef immuable du PT pour celui d’avocat du DRS et de son ex chef, elle affirme qu’ « Après les graves accusations lancées par le secrétaire général du FLN contre le DRS, j’avais interpellé le Président sur les propos gravissimes tenus de surcroît par un chef de parti. Le Président m’a reçue. C’était en février 2014. Je lui ai dit : «Monsieur le Président, arrêtez ces dérives. Des secrets d’Etat sont en train d’être révélés. Est-ce que ce général Hassan a trahi ? A-t-il fait quelque chose de grave ?» Il a répondu : «Non. L’affaire a été réglée. Il n’a commis aucun méfait. Soyez rassurée.» Je me limite à ces propos parce que la discussion était longue et beaucoup de choses m’ont été dites. Je ne peux violer le secret de la rencontre » (???).
Dans la même interview, elle dit avoir rencontré également le chef d’état-major Gaid Salah qui lui a répondu sèchement «C’est une opération secrète.» Je lui ai dit : «Dans ce cas, elle doit rester secrète. Mais, ce n’est pas le cas. Elle a pris une dimension anormale du fait qu’elle porte atteinte à la colonne vertébrale de l’armée et du pays. Il faut mettre de l’ordre.» Et en tant que militaire qui se respecte, le chef d’état-major lui a tout simplement fait comprendre de s’occuper de ses oignons lui signifiant ainsi « circulez il n’ y a rien à voir ».
L’état-major en charge de la lutte anti-terroriste
Concernant le général Hassan elle n’a pas cessé de lui jeter des fleurs « c’est un héros de la lutte anti terroriste, il est craint par les services secrets de nombreux pays », sans dire de quoi avaient-il peur ces services étrangers qui devaient faire dans leur froc dès qu’ils entendaient le nom de Hassan selon cette dame.
Hanoune oublie que seul le peuple a été le héros de la lutte contre le terrorisme avec les éléments de l’armée nationale populaire, les patriotes, les GLD, les gardiens communaux, les éléments de la police et de la gendarmerie et effectivement les officiers du DRS et en particulier les généraux Bachir Tartag et M’henna Djebbar qui ont été les fers de lance dans cette lutte. A cette époque le général Abdelkader Ait Ouarabi dit Hassan était un illustre inconnu. Il n’a pris son envol qu’une fois que les vrais patriotes qui ont défait le terrorisme ont été limogés de leurs postes, que lui est arrivé et pour quel résultat ? Insignifiant, puisqu’il n’a pu empêché l’attaque suivie de prise d’otages de Tiguentourine ni les éliminations de Abdelmalek Droukdel le chef de l’Aqmi ni celle de Moktar Ben Mokhtar Lahouar…
Devant ces manquements et ce laxisme, le président de la république a ordonné en février 2011 que la lutte anti terroriste relèverait dorénavant de l’état-major de l’ANP dans un décret qui stipule que « la conduite et la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sont prises en charge par l’Etat-major de l’ANP ». Le décret sur la lutte contre le terrorisme, publié dans le JO n°12, stipule ainsi en son article 1er que « les unités et formations de l’Armée nationale populaire sont mises en œuvre et engagées dans le cadre des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion », alors que l’article 2 précise que « le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire est chargé du commandement, de la conduite et de la coordination des opérations de lutte contre le terrorisme et la subversion sur toute l’étendue du territoire national ».
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