Les sources de mes larmes sont taries d'avoir tant pleurer,
Et je n'ai plus de forces dans les bras, mon dos est vouté,
Mon esprit est vidé d'avoir cru les menteurs, par toi aidé,
Et j'ai perdu la vue à force de vouloir embellir mes pensées.
Et j'ai tellement cru en toi que je me suis de moi détourné,
Je n'ai pas voulu écouter les parents, les amis rassemblés,
Et je voulais oublié la triste vie de tous mes frères damnés,
Je me croyais hors les murs de la réalité, la triste fatalité.
Je croyais en la fougue d'une jeunesse folle, vive et égarée,
Je croyais aux idées qui veulent, crient le bien de l'humanité,
Avant, pleurer me soulageait de toutes les peines données,
Avant, je disais les fleurs, le meilleur du bleu, mes pensées.
Et je n'ai plus de forces dans les bras, mon dos est vouté,
Mon esprit est vidé d'avoir cru les menteurs, par toi aidé,
Et j'ai perdu la vue à force de vouloir embellir mes pensées.
Et j'ai tellement cru en toi que je me suis de moi détourné,
Je n'ai pas voulu écouter les parents, les amis rassemblés,
Et je voulais oublié la triste vie de tous mes frères damnés,
Je me croyais hors les murs de la réalité, la triste fatalité.
Je croyais en la fougue d'une jeunesse folle, vive et égarée,
Je croyais aux idées qui veulent, crient le bien de l'humanité,
Avant, pleurer me soulageait de toutes les peines données,
Avant, je disais les fleurs, le meilleur du bleu, mes pensées.
décembre 2015
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