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Mirou
Jamais deux sans trois !
Alors que le général Benhadid croupit en prison en attente de son procès et que le général Hassen vient de se voir infliger une peine à 5 ans de prison fermes à l'issue d'un procès rondement mené, c'est aujourd'hui au tour de L'ex chef de la Direction de la sécurité et de la protection présidentielle, le général Djamel Kehal Mejdoub de subir l'épée de Damoclès. Il vient d'être condamné à une peine de 3 ans de prison fermes pour, laisse-t-on entendre, une pétarde survenue dans la nuit du 16 juillet dernier dans la résidence d'État, alors que plusieurs hauts gradés ont été relevés de leurs fonctions.
Mais, que cache-t-ils ces tirs énigmatiques en pleine nuit du 16 juillet ? Selon un lieutenant en faction ce soir là, aujourd'hui lui aussi derrière les barreaux, il s'agirait d'une tentative d'intrusion à l'intérieur de la résidence du Chef de l'État. C'était lui qui aurait usé de son arme pour repousser les intrus. Mais, il semble que cette version a été réfutée par les enquêteurs
S'agissait-il d'une conspiration ? Peut-être que oui, peut-être que non, mais, tout plaide à la faveur d'un scénario du complot fomenté par une poignée de rebelles contre l'ordre établi.
Enfin, le ministère de la Défense ne semble pas disposé à satisfaire la curiosité des algériens. Il a estimé à ce que le procès soit gardé au secret à l'abri des 'étrangers'. Pour l'armée, le droit de savoir et le droit d'être informé, cela fait partie d'un slogan creux et rien de plus. Alors, nous, les pauvres paumés, on a le droit de dire que c'est une tentative de coup d'État avortée et tant pis !
Jamais deux sans trois !
Alors que le général Benhadid croupit en prison en attente de son procès et que le général Hassen vient de se voir infliger une peine à 5 ans de prison fermes à l'issue d'un procès rondement mené, c'est aujourd'hui au tour de L'ex chef de la Direction de la sécurité et de la protection présidentielle, le général Djamel Kehal Mejdoub de subir l'épée de Damoclès. Il vient d'être condamné à une peine de 3 ans de prison fermes pour, laisse-t-on entendre, une pétarde survenue dans la nuit du 16 juillet dernier dans la résidence d'État, alors que plusieurs hauts gradés ont été relevés de leurs fonctions.
Mais, que cache-t-ils ces tirs énigmatiques en pleine nuit du 16 juillet ? Selon un lieutenant en faction ce soir là, aujourd'hui lui aussi derrière les barreaux, il s'agirait d'une tentative d'intrusion à l'intérieur de la résidence du Chef de l'État. C'était lui qui aurait usé de son arme pour repousser les intrus. Mais, il semble que cette version a été réfutée par les enquêteurs
S'agissait-il d'une conspiration ? Peut-être que oui, peut-être que non, mais, tout plaide à la faveur d'un scénario du complot fomenté par une poignée de rebelles contre l'ordre établi.
Enfin, le ministère de la Défense ne semble pas disposé à satisfaire la curiosité des algériens. Il a estimé à ce que le procès soit gardé au secret à l'abri des 'étrangers'. Pour l'armée, le droit de savoir et le droit d'être informé, cela fait partie d'un slogan creux et rien de plus. Alors, nous, les pauvres paumés, on a le droit de dire que c'est une tentative de coup d'État avortée et tant pis !
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