IRIB – Les Bahreïnis sont descendus dans la rue ce vendredi, dans la foulée des protestations contre la poursuite de la détention des prisonniers politiques et l’arrestation d’envergure des opposants.
Ce vendredi 4 décembre, les habitants de Manama, capitale de Bahreïn, ont bravé les mesures de sécurité draconiennes établies dans la ville, sont descendus dans la rue et ont réclamé la libération de tous les prisonniers et personnalités politiques incarcérés par le régime.
D’autres régions bahreïnies aussi comme Al-Bilad al-Qadim, Jad Hafas et Sitra ont été ce vendredi le théâtre de manifestations en condamnation de la vaste arrestation des opposants et de l’arrestation prolongée des prisonniers politiques.
L’interdiction des rassemblements n’est pas en fait la seule restriction que le régime de Manama a imposée aux citoyens bahreïnis ; ils sont également privés de tous leurs droits dont la liberté d’expressions et le droit à la formation des groupes ou partis politiques.
La nouvelle vague de contestations de rue montre, pourtant, que les Bahreïnis, malgré les actes de répression du régime au pouvoir et de ses alliés, sont déterminés à poursuivre leur révolution, jusqu’à ce qu’ils puissent apporter des changements radicaux dans leur pays que le régime des Âl-e Khalifa a transformé en une grande prison avec la répression d’envergure des opposants et la vaste violation des droits de l’Homme.
Les rapports statistiques estiment à environ 10.000 le nombre des activistes politiques incarcérés à Bahreïn ; ce qui place ce pays parmi ceux à compter le plus grand nombre des prisonniers politiques parmi les pays du monde, or, l’attitude du gouvernement de Manama a révélé plus qu’en tout autre temps la nature despotique de ce régime qui ne pense qu’à la répression et la violence, faisant fi des principes des droits et des lois internationaux.
Alors que les prisons de Bahreïn débordent d’activistes politiques, le régime des Âl-e Khalifa, par sa violente politique policière, tente d’empêcher le peuple de poursuivre son soulèvement ; mais la répression et la violence d’Etat ont échoué jusqu’ici à affaiblir la ferme volonté des Bahreïnis sur le chemin de la révolution contre le gouvernement despote de ce pays. L’intensification, au cours de ces derniers mois, des protestations populaires à Bahreïn en est la preuve.
Dec 04, 2015
Ce vendredi 4 décembre, les habitants de Manama, capitale de Bahreïn, ont bravé les mesures de sécurité draconiennes établies dans la ville, sont descendus dans la rue et ont réclamé la libération de tous les prisonniers et personnalités politiques incarcérés par le régime.
D’autres régions bahreïnies aussi comme Al-Bilad al-Qadim, Jad Hafas et Sitra ont été ce vendredi le théâtre de manifestations en condamnation de la vaste arrestation des opposants et de l’arrestation prolongée des prisonniers politiques.
L’interdiction des rassemblements n’est pas en fait la seule restriction que le régime de Manama a imposée aux citoyens bahreïnis ; ils sont également privés de tous leurs droits dont la liberté d’expressions et le droit à la formation des groupes ou partis politiques.
La nouvelle vague de contestations de rue montre, pourtant, que les Bahreïnis, malgré les actes de répression du régime au pouvoir et de ses alliés, sont déterminés à poursuivre leur révolution, jusqu’à ce qu’ils puissent apporter des changements radicaux dans leur pays que le régime des Âl-e Khalifa a transformé en une grande prison avec la répression d’envergure des opposants et la vaste violation des droits de l’Homme.
Les rapports statistiques estiment à environ 10.000 le nombre des activistes politiques incarcérés à Bahreïn ; ce qui place ce pays parmi ceux à compter le plus grand nombre des prisonniers politiques parmi les pays du monde, or, l’attitude du gouvernement de Manama a révélé plus qu’en tout autre temps la nature despotique de ce régime qui ne pense qu’à la répression et la violence, faisant fi des principes des droits et des lois internationaux.
Alors que les prisons de Bahreïn débordent d’activistes politiques, le régime des Âl-e Khalifa, par sa violente politique policière, tente d’empêcher le peuple de poursuivre son soulèvement ; mais la répression et la violence d’Etat ont échoué jusqu’ici à affaiblir la ferme volonté des Bahreïnis sur le chemin de la révolution contre le gouvernement despote de ce pays. L’intensification, au cours de ces derniers mois, des protestations populaires à Bahreïn en est la preuve.
Dec 04, 2015
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