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es prix des produits flambent face à la demande excessive d’Algériens aux abois : Poussée de fièvre… acheteuse

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  • es prix des produits flambent face à la demande excessive d’Algériens aux abois : Poussée de fièvre… acheteuse

    Les prix de produits de large de consommation commencent déjà à brûler les poches des Algériens. Si depuis quelques mois, l’on nous prépare » psychologiquement » pour ce qui en adviendra de notre vie en 2016, le mois de décembre qui sonne la fin de 2015 est du moins synonyme de » pratique « .

    Le consommateur ressent déjà des hausses dans certains produits, qui sont parfois » insignifiantes » mais qui poussent à s’interroger sur l’au delà.

    Très vite, c’est les commerçants qui sont pointés du doigt. Force est de le rappeler, le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, qui est sur la défensive depuis son arrivée au gouvernement en raison des nouvelles mesures prévues, avait évoqué récemment, l’anticipation de certains commerçants à vouloir indépendamment augmenter les prix de produits avant même l’adoption finale de la loi de Finances 2016. » Il y a des gens qui profitent de la situation » avait-il précisé. Des propos à qui ont tenu à démentir certains commerçants activant principalement dans l’alimentation générale. « Il est de l’impossible à ce que l’on augmente volontairement les prix des produits.
    Quand on achète nos produits avec des hausses, il est du logique à ce que nous le vendons avec des hausses nous devons quand même sauvegarder notre marge bénéficiaire » a souligné un gérant d’une superette à Alger-centre. « Nous n’anticipons sur rien. Les hausses de prix ne relèvent pas de notre responsabilité.
    Il n’est pas dans notre intérêt à ce qu’un tel ou tel consommateur ne puisse pas acheter nos produits » commente un autre commerçant. Contacté par nos soins, hier, Hadj Tahar Boulenouar qui vient fraîchement d’être à la tête de l’Association des commerçants et artisans algériens, affirme une hausse de prix allant de 5DA à 10DA dans certains produits mais dégage toute responsabilité du commerçant. « Les commerçants ressentent eux aussi des hausses, sur les produits détergents, les jus, les pattes, les couches pour bébés, le lait, les gâteaux… mais je le dis et je persiste ils sont nullement responsables de la hausse de prix. L’augmentation dépend des importateurs et producteurs, c’est de ceux-là que les commerçants s’approvisionnent » souligne-til. L’interlocuteur, évoque également la chute de la valeur du dinar depuis quelques mois et la hausse des prix de la matière première qui ont engagé une révision des prix sur l’ensemble des produits. Une seule question se pose actuellement : qu’en sera-til de la vie des petites bourses en 2016 ? Chose est certaine, la réalité du terrain rattrapera vite les assurances du gouvernement, qui, n’hésite pas depuis quelques temps à lancer des discours optimistes tout en piochant dans les poches des algériens.


    Par Nabila. A :
    Tribune des lecteurs
    Dernière modification par katiaret, 17 décembre 2015, 11h49.
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    si on augmente le diesel et l'essence et l'electricité et l'assurance des vehicules il est logique que les prix grimpent surtout si ils sont importés avec des devises et que la devise vaut plus cher chaque jour.
    Tout les prix vont exploser ce n'est que le debut ,heureusement que les prix des produits alimentaires sont en bas de cycle autrement il sera impossible de se nourrir.

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