Le pétrole continue sa descente aux enfers.
Ce lundi, premier jour de cotation dans les bourses, le Brent (référence pour le pétrole algérien) se maintenait difficilement au-dessus des 36 dollars, son plus bas niveau depuis 2004.
En juin 2014, le Brent cotait 115 dollars. Depuis, il a perdu deux tiers de sa valeur.
Selon le FMI, le manque à gagner pour les pays de l’Opep, dont fait partie l’Algérie, est de 275 milliards.
L’Algérie a vu ses recettes fondre de moitié entre 2014 et 2015. L’année 2016 s’annonce chaotique.
Les analystes du secteur estiment que les risques de poursuite de la baisse sont de plus en plus élevés.
« L’espoir d’un rééquilibrage en 2016 continue de subir de sérieux revers », écrit la banque Morgan Stanley dans une note diffusée lundi, citée par l’agence Reuters.
La banque évoque la production américaine qui s’avère « plus résistante que ne le prévoyaient la plupart des modèles », le retour de l’Iran avec une production d’au moins 500 000 barils par jour anticipée au premier trimestre 2016, l’augmentation de la production en Libye.
Autre élément qui pèse sur les cours : le Congrès américain a décidé de lever l’interdiction pesant depuis 40 ans sur les exportations de pétrole américain.
Les cours subissent également les effets de la politique de l’Opep, menée sous l’égide de l’Arabie saoudite.
Le Cartel pétrolier refuse de baisser sa production pour enrayer la chute des prix.
Depuis le 4 décembre, lorsque l’Opep a refusé de limiter ses niveaux de production en dépit de l’offre excessive, les cours ont perdu près d’un cinquième de leur valeur.
TSA
Ce lundi, premier jour de cotation dans les bourses, le Brent (référence pour le pétrole algérien) se maintenait difficilement au-dessus des 36 dollars, son plus bas niveau depuis 2004.
En juin 2014, le Brent cotait 115 dollars. Depuis, il a perdu deux tiers de sa valeur.
Selon le FMI, le manque à gagner pour les pays de l’Opep, dont fait partie l’Algérie, est de 275 milliards.
L’Algérie a vu ses recettes fondre de moitié entre 2014 et 2015. L’année 2016 s’annonce chaotique.
Les analystes du secteur estiment que les risques de poursuite de la baisse sont de plus en plus élevés.
« L’espoir d’un rééquilibrage en 2016 continue de subir de sérieux revers », écrit la banque Morgan Stanley dans une note diffusée lundi, citée par l’agence Reuters.
La banque évoque la production américaine qui s’avère « plus résistante que ne le prévoyaient la plupart des modèles », le retour de l’Iran avec une production d’au moins 500 000 barils par jour anticipée au premier trimestre 2016, l’augmentation de la production en Libye.
Autre élément qui pèse sur les cours : le Congrès américain a décidé de lever l’interdiction pesant depuis 40 ans sur les exportations de pétrole américain.
Les cours subissent également les effets de la politique de l’Opep, menée sous l’égide de l’Arabie saoudite.
Le Cartel pétrolier refuse de baisser sa production pour enrayer la chute des prix.
Depuis le 4 décembre, lorsque l’Opep a refusé de limiter ses niveaux de production en dépit de l’offre excessive, les cours ont perdu près d’un cinquième de leur valeur.
TSA
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