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L’Algérie va s’alimenter du fleuve Congo

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  • #31
    La plus grosse partie de notre eau va dans des conduits construits à la va vite et mal faits, beaucoup de fuites en consequence.

    L'Algerie comme le Maroc et la tunisie ont tout interet a travailler ensemble dans un projet de dessalement d'eau de mer a grande echelle.

    A la rigueure si on veut ramener de l'eau d'ailleur, il serait plus interessant de voir avec les espagnols, c'est plus pret et ca coutera beaucoup moins d'argents, ca aidera les regions espagnols du sud, le maroc et l'Algerie, et ca recevra donc assurement des aides europeenes et ca nous evitera que 70% de l'eau parte en fumée (en vapeur).

    Et surtout que nos pays arretent de vouloir produire a tout prix des denrées qui coutent trop d'eau alors qu'on n'a pas vocation a en produire...

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    • #32
      L'Algerie comme le Maroc et la tunisie ont tout interet a travailler ensemble dans un projet de dessalement d'eau de mer a grande echelle.
      le maroc possède une importante nappe souterraine au sahara , sa pourrait servir .
      Le maroc et la tunisie sont moins menacé par la secheresse que l'algerie grâce à la position geographique des 2 pays .

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      • #33
        le maroc possède une importante nappe souterraine au sahara , sa pourrait servir .
        Le maroc et la tunisie sont moins menacé par la secheresse que l'algerie grâce à la position geographique des 2 pays ..
        La nappe dont dispose le Maroc est commune a toute la region saharienne et nous n'en avons pas l'exclusivité d'usage et elle ne sera pas suffisante pour epancher les besoins du pays a moyen terme, il faut regler le probleme a la source.

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        • #34
          A la rigueure si on veut ramener de l'eau d'ailleur, il serait plus interessant de voir avec les espagnols, c'est plus pret et ca coutera beaucoup moins d'argents
          Sauf qu'eux aussi manquent d'eau. Un projet d'eau venant du Rhône avait été projetée http://www.futura-sciences.com/compr...ssier622-8.php
          Il y a déjà pas mal de gâchis à arrêter, fuites, et irrigation, avant de se lancer dans de tels projets pharaoniques.

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          • #35
            Bien sur alain
            Un reseau de distribution commun en electricité existe, a terme on trouvera un moyen de le faire pour l'eau, mais avant il faut eliminer les gachis.

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            • #36
              un canal d'irrigation-navigation entre le fleuve congo et l'algerie est tout simplement utopique, c'est un canal du nil à la puissance 1000. moi je vais vous dire de suite la recette à l'eau de boudin : ils vont budgetiser 1 milliard de dollars, ils vont lancer les travaux, au bout de deux semaines ils vont dire qu'ils sont tombés sur du granit et que poursuivre ce serai un massacre, résultat, 990 millions dans la poche de 3 ingenieurs et 100 administratifs

              un canal ocean atlantique-tindouf serai plus réaliste, à tindouf on fait une grosse usine de desalement d'eau de mer et là on fait des canaux pour irriguer le nord du pays et le sahara ! l'ocean atlantique on peut pomper tant qu'on veut il n' arrete pas d'augmenter (fonte des grands glaciers )
              Dernière modification par absent, 22 décembre 2006, 23h53.

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              • #37
                Il y a aussi la solution qui consiste à traiter les eaux d’égout et les réutiliser pour l’agriculture et l’industrie qui en consomment beaucoup plus que les ménages.
                Cela se fait partout et il n’y a qu’en Algérie où on utilise de l’eau potable pour les usines et l’irrigation.
                On règlerait à la fois le problème des eaux d’égouts, (actuellement non traitées et rejetées dans la nature ou dans la mer) et de l’alimentation en eau.

                un canal ocean atlantique tindouf serai plus réaliste

                L'eau salée ne manque pas en Algérie. Nous avons plus de 1000 km de littoral, des milliers de lacs salés et, dans certaines régions sahariennes telles que El Oued et Ouargla, des nappes phréatiques d'eau salée qui posent d'énormes problèmes.
                Il est possible également de réaliser le projet cher à Rabah Benchérif (ex-PNSD) qui consiste à creuser un canal pour créer la mer intérieure à El Menghir, immense dépression située au sud de Biskra.

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                • #38
                  le desert est la + grande reserve...question de technologie

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                  • #39
                    Il serait plus aisé de faire des travaux par l'Est . En effet, si une coopération Tuniso-Algérienne s'établissait elle pourrait faire entrer la mer par le desert. les chotts y sont nombreux , elle se remplirait et le surplus glisserais comme le veut la topographie de ces régions, du sud au nord , jusque dans les régions du littoral ( Skigda ) par exemple.

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                    • #40
                      Il y a aussi la solution qui consiste à traiter les eaux d’égout et les réutiliser pour l’agriculture et l’industrie qui en consomment beaucoup plus que les ménages.
                      Cela se fait partout et il n’y a qu’en Algérie où on utilise de l’eau potable pour les usines et l’irrigation.
                      On règlerait à la fois le problème des eaux d’égouts, (actuellement non traitées et rejetées dans la nature ou dans la mer) et de l’alimentation en eau.


                      trés bonne idée effectivement, faut equiper tout le pays de stations d'épuration, ce sera 1 milliard de fois moins cher que leur canal utopique

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                      • #41
                        Le projet d'établissement d'une mer intérieure africaine.
                        On sait qu'au sud de l'Algérie et de la Tunisie, au pied de l'Aures et aux abords du Sahara, s'étend, sur une longueur de près de quatre cents kilomètres, une vaste dépression dont le fond est couvert de sel cristallisé et qui se divise en plusieurs cuvettes secondaires désignées par les Arabes sous le nom de chotts.
                        Les principaux de ces chotts sont, en partant de l'est, c'est-à-dire de la mer, le chott.El-Djerid, le chott Rharsa et le chott Melrir. Le premier, le plus rapproché du golfe de Gabès, est en Tunisie; le second, partie en Algérie et partie en Tunisie, et le troisième en Algérie. Ces lacs sont tellement fangeux qu'il faut toujours craindre de s'y aventurer. Que de caravanes y ont péri
                        sans laisser aucune trace! Il serait téméraire de les traverser sans guide, car le chemin n'est jalonné que par des troncs de palmiers ou de simples pierres, et il est accidenté, étroit comme un cheveu, tranchant comme un rasoir; les bêtes de somme ne peuvent y marcher qu'à la file, une à une, doucement et avec mille précautions ; et malheur au chameau assez imprudent ou assez osé pour s'écarter, ne fut-ce que de quelques pas, du sentier tracé! La croûte saline s'ouvre aussitôt, comme une trappe invisible, et l'engloutit.
                        Les vieillards de la région racontent que, vers la fin du siècle dernier, on trouva près de Nefta les clous et les débris d'un navire de forme antique. Ce fait semblerait indiquer que les eaux de la mer occupaient jadis les bassins des chotts, alors complètement inondés et navigables. On n'en saurait douter, après avoir lu le passage suivant, d'une exactitude et d'une précision en quelque, sorte topiques: " On assure, dit Pomponius Mêlas, qu'à une assez grande distance du rivage, vers l'intérieur du pays, il y a des campagnes stériles où l'on rencontre, s'il est permis de le croire, des arêtes de poissons, des coquillages, des écailles d'huîtres, des pierres polies comme celles qu'on relire de la mer, des ancres qui tiennent aux rochers."
                        Dans ces campagnes stériles situées vers l'intérieur du pays, au sud de l'ancienne Cirta (Constantine), qui ne reconnaît le Sahara algérien ? Ces cailloux arrondis par les flots, ces ancres, ces coquillages, ne sont-ils pas des témoins irrécusables de la présence de la mer dans ces lieux?
                        Maintenant quel était le nom de celte vaste mer intérieure? Les savants sont d'accord pour voir dans les chotts tunisiens le fameux golfe de Triton dont il est parlé eu maints endroits et notamment dans le voyage fabuleux des Argonautes. A une époque indéterminée, le niveau des. eaux aurait graduellement baissé par l'évaporation et les flots se seraient, peu a peu retirés, laissant à sec les lieux précédemment submergés.
                        Serait-il possible de les inonder de nouveau?
                        L'auteur du projet d'établissement d'une mer intérieure africaine, le commandant Roudaire, après avoir étudié la question sur les lieux, après avoir visité les chotts depuis l'embouchure de l'oued Melah jusqu'à Biskra et s'être rendu compte de la nature des terrains environnants n'hésite pas à répondre affirmativement.
                        Les chotts Melrir et Rharsa étant au-dessous du niveau de la mer, il suffirait, d'après lui, de les mettre en communication avec le golfe de Gabès au moyen d'un canal assez large et assez profond ; les eaux de la Méditerranée se précipiteraient aussitôt dans ces cavités gigantesques et les rempliraient.
                        La superficie submersible du chott Melrir étant de 6,000 kilomètres carrés, celle du chott Rharsa de 1,300 kilomètres carrés, la mer projetée présenterait une surface totale de 8,200 kilomètres carrés, égale par conséquent à quatorze ou quinze fois celle du lac de Genève, qui n'est que de 577 kilomètres carrés.
                        Sans compter que cette surface pourrait bien un jour s'accroître de toute la surface du chott El-Djerid. Ce chott, il est vrai, se trouve au-dessus du niveau de la mer, mais il est occupé, du moins dans sa partie centrale, par des masses considérables d'eau stagnante et de vases fluides. N'est-il pas permis de supposer qu'en le mettant en communication par une ou plusieurs tranchées soit avec la Méditerranée, soit avec le chott Rharsa, on obtiendrait, à la longue par le drainage un affaissement qui donnerait naissance à une nouvelle dépression inondable?
                        Dans tous les cas, ce drainage aurait pour résultat de rendre à la culture une surface considérable de terrains composés d'un limon excessivement fertile.
                        Voilà dans ses lignes principales la conception vraiment grandiose du commandant Roudaire.
                        Est-elle réalisable?
                        Là-dessus les avis sont partagés, mais M. Ferdinand de Lesseps, dont nul ne saurait contester la compétence en matière de travaux, croît à la possibilité et au succès de l'entreprise.
                        Quels avantages n'en résulterait-il pas pour l'Algérie et la Tunisie, dont les conditions physiques, agricoles, politiques et commerciales se trouveraient transformées de la façon la plus merveilleuse!
                        Les chotts seraient assainis et il n'y aurait plus à redouter leurs bas-fonds boueux, marécageux, imprégnés de sel, qui sont, à certains, moments de l'année, de véritables foyers d'insalubrité palustre.
                        Le climat deviendrait immédiatement plus tempéré, les régions avoisinants d'un meilleur rapport.
                        L'énorme évaporation produite par le soleil saharien, poussée par les vents du sud vers les crêtes élevées de l'Aurès, irait s'y résoudre en pluies, y créer des sources, y ramener la fertilité qui faisait jadis des plateaux de Sétif le "grenier de Rome".
                        Le sirocco, qui dessèche les moissons en fleur, arriverait inoffensif, bienfaisant même.
                        Les vastes plaines incultes situées entre les chotts et l'Aurès, désormais régulièrement irriguées par les ruisseaux descendus de la montagne, seraient rendues à la culture.
                        La fraîcheur, l'humidité, les pluies permettraient de tirer parti de la fécondité naturelle d'un sol qui est recouvert d'une couche profonde de terre végétale et qui reste vierge depuis des siècles.
                        Les faits historiques viennent confirmer ces prévisions.
                        En effet, du temps des Romains, lorsque la mer remplissait ces cavités, le sud de l'Algérie et de la Tunisie était incomparablement plus fertile que de nos jours. "Les bords du lac Triton, dit Scylax, habités tout autour par les peuples de la Libye, sont extrêmement riches et fertiles." La stérilité actuelle de ces régions a été la conséquence du dessèchement des chotts.
                        Au point de vue politique, la mer intérieure dont la clef serait entre nos mains, nous donnerait une frontière maritime d'une étendue de 400 kilomètres et absolument infranchissable pour les tribus nomades du désert.
                        Cette barrière aquatique nous permettrait de réduire dans de fortes proportions, sans compromettre en rien la sécurité de nos possessions, l'effectif du corps d'occupation et d'alléger ainsi d'une façon notable les charges du Trésor.
                        De plus, ce magnifique bassin intérieur pourrait au besoin offrir à notre flotte, dans. le cas où elle serait jamais menacée par des forces supérieures, un abri sûr qu'elle ne saurait trouver ni dans le port de Bône, ni dans celui d'Alger, ni dans celui d'Oran.
                        Au point de vue économique et commercial les avantages résultant de la réalisation du projet seraient incalculables. Nos navires pénétrant par le golfe de Gabes jusqu'auprès de Biskra viendraient recueillir tout le commerce du Soudan dévié des ports marocains et tripolitains par la perspective de débouchés plus rapprochés, partant plus faciles. Et quelle haute idée les peuplades
                        africaines n'auraient-elles pas de notre puissance et de notre grandeur, le jour où on pourrait leur dire: " A la place de ces flots, qui ont apporté ici la fraîcheur et la vie, et dont vous admirez l'immensité, hier encore il n'y avait que de la boue, des sables, des marécages insalubres. C'est la France qui a fait cela". Rien, en effet, n'est plus capable de frapper l'homme du désert, l'homme des sables brûlants et arides, que le spectacle de la mer.
                        "II y a quelques années, dit le commandant Roudaire, trois chefs touaregs vinrent à Philippeville ; ils regardèrent avec indifférence nos routes, nos maisons, nos chemins de fer eux-mêmes ; mais arrivés au port, ils restèrent saisis d'étonnement à la vue de la mer, de cette immense nappe d'eau dont leurs regards ne pouvaient sonder ni les limites ni la profondeur."
                        C'est par de telles réformes, en développant l'agriculture et le commerce, en créant des voies de communication, en ouvrant des chemins pour l'exploitation des forêts, des carrières et des mines, en améliorant les ports existants ou en creusant des ports nouveaux, en éclairant
                        le littoral, en ramenant les eaux de la Méditerranée dans les chotts, c'est par de telles entreprises, disons-nous, qu'on fera reculer la barbarie et qu'une ère nouvelle commencera pour la Tunisie, pays vierge qui semble s'être endormi depuis les Carthaginois et les Romains, mais qui ne demande qu'à sortir de son long assoupissement.
                        La France sera la fée qui le réveillera.
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #42
                          L'énorme évaporation produite par le soleil saharien, poussée par les vents du sud vers les crêtes élevées de l'Aurès, irait s'y résoudre en pluies, y créer des sources, y ramener la fertilité qui faisait jadis des plateaux de Sétif le "grenier de Rome".
                          ces theories farfelues ne se basent sur rien et ca pourrait meme creer des deluges qui creeront des marées de boues ou au contraire ils iront noyer un pays avoisinant et vous aurez foutu en l'air des quantité d'eau astronomique pour rien.

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                          • #43
                            ca n a rien de farfelue ou de loufoque
                            la montee des eaux n est pas une theorie farfelue
                            les maldives vont disparaitre dans vingt ans(cacul reactualise)
                            les grolandais dans vingt ans leurs ecluses seront caduques
                            ces depressions sont un temps soit peu un moyen de freiner les montees des eaux de notre planete bleue
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                            • #44
                              Je parlais de l'effet d'evaporation et de la maitrise des aleas climatiques, c'est du délire complet.
                              La fonte des oceans on connait son effet, et ce n'est pas ta petite mere microscopique a l'echelle planetaire qui sauvera les iles qui seront noyé suite à la fonte des poles.

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                              • #45
                                mais c toujours ca
                                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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