Anti-inflammatoires, diurétiques, produits amincissants... De nombreux médicaments peuvent détruire les reins silencieusement, sans qu'aucune douleur n'apparaisse. Les conseils de Médisite pour garder des reins en parfaite santé
Ibuprofène, acéclofénac, naproxène : pas d'automédication
Les médicaments de la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont particulièrement nocifs pour les reins. "Ils agissent en inhibant la synthèse des prostaglandines à l’origine d’une vasoconstriction des vaisseaux rénaux et une diminution de la perfusion du rein pouvant conduire à une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois, ils provoquent une néphropathie tubulo-interstitielle d’origine immuno-allergique grave", explique le Dr Brigitte Lantz, néphrologue.
Les molécule concernées sont notamment : ibuprofène, acéclofénac, naproxène… Si certains peuvent être vendus sans ordonnance, ils ne sont pas anodins pour autant et sont contre-indiqués en cas d'insuffisance rénale grave.
"L'automédication est à bannir d'une façon générale, et en particulier avec les AINS. Ils ne doivent être pris que sous contrôle médical. Rappelons qu'ils sont responsables de 7% des insuffisances rénales aiguës, soit une proportion très importante", indique le Dr Brigitte Lantz.
Médisite
Ibuprofène, acéclofénac, naproxène : pas d'automédication
Les médicaments de la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont particulièrement nocifs pour les reins. "Ils agissent en inhibant la synthèse des prostaglandines à l’origine d’une vasoconstriction des vaisseaux rénaux et une diminution de la perfusion du rein pouvant conduire à une insuffisance rénale fonctionnelle. Parfois, ils provoquent une néphropathie tubulo-interstitielle d’origine immuno-allergique grave", explique le Dr Brigitte Lantz, néphrologue.
Les molécule concernées sont notamment : ibuprofène, acéclofénac, naproxène… Si certains peuvent être vendus sans ordonnance, ils ne sont pas anodins pour autant et sont contre-indiqués en cas d'insuffisance rénale grave.
"L'automédication est à bannir d'une façon générale, et en particulier avec les AINS. Ils ne doivent être pris que sous contrôle médical. Rappelons qu'ils sont responsables de 7% des insuffisances rénales aiguës, soit une proportion très importante", indique le Dr Brigitte Lantz.
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