Rédaction du HuffPost Algérie
"À aucun moment, récent ou passé, Hocine Aït Ahmed n’a apporté sa caution ou son soutien à quelque clan que ce fût du Pouvoir"» lit-on dans un communiqué en forme de mise au point publié, dimanche, le Front des Forces Socialistes (FFS) sur son site électronique.
Le FFS a réagi avec vigueur aux tentatives de récupération politique de l’émotion suscitée par le décès de Hocine Aït Ahmed dans un communiqué intitulé "à propos des témoignages et des hommages rendus à Hocine Ait Ahmed."
"L’extraordinaire flux d’informations et de communication sur tous types de supports qui accompagne le décès de Hocine Aït Ahmed charrie un nombre impressionnant de témoignages sur sa vie et d’innombrables hommages à sa stature exceptionnelle de père fondateur de la nation algérienne et de militant infatigable de la lutte pour la liberté, l’Etat de droit et la démocratie" note le FFS.
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Hocine Aït Ahmed : l'homme qui aimait les militants et les Algériens
Le FFS a salué ceux, "les plus nombreux, journalistes, historiens, acteurs politiques et sociaux ou simples citoyens qui ont contribué à mieux faire connaitre l’homme et ses idées" mais il a tenu à apporter une mise au point à ceux qui se livrent à des "racontars" sur le parcours de Hocine Aït Ahmed.
"Le FFS s’il se refuse à toute polémique, en ces jours de deuil et de recueillement, et s’il remet à plus tard la correction des approximations sur le parcours de Si l’Hocine appelle néanmoins à la retenue les colporteurs de racontars sans aucun fondement de vérité sur ses pratiques et ses idées politiques."
"À aucun moment, récent ou passé, Hocine Aït Ahmed n’a apporté sa caution ou son soutien à quelque clan que ce fût du Pouvoir." souligne le communiqué.
"Son combat, dès les premiers jours de son engagement patriotique et jusqu’à ses derniers instants, est toujours allé de pair avec un sens élevé de l’éthique politique qui interdit les grenouillages et ce qu’il appelait "les fourbilatérales" souligne le communiqué qui demande à "ceux qui furent sourds à ses idées de son vivant aient au moins la décence de mettre une sourdine en ces jours de deuil".
"À aucun moment, récent ou passé, Hocine Aït Ahmed n’a apporté sa caution ou son soutien à quelque clan que ce fût du Pouvoir"» lit-on dans un communiqué en forme de mise au point publié, dimanche, le Front des Forces Socialistes (FFS) sur son site électronique.
Le FFS a réagi avec vigueur aux tentatives de récupération politique de l’émotion suscitée par le décès de Hocine Aït Ahmed dans un communiqué intitulé "à propos des témoignages et des hommages rendus à Hocine Ait Ahmed."
"L’extraordinaire flux d’informations et de communication sur tous types de supports qui accompagne le décès de Hocine Aït Ahmed charrie un nombre impressionnant de témoignages sur sa vie et d’innombrables hommages à sa stature exceptionnelle de père fondateur de la nation algérienne et de militant infatigable de la lutte pour la liberté, l’Etat de droit et la démocratie" note le FFS.
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Le FFS a salué ceux, "les plus nombreux, journalistes, historiens, acteurs politiques et sociaux ou simples citoyens qui ont contribué à mieux faire connaitre l’homme et ses idées" mais il a tenu à apporter une mise au point à ceux qui se livrent à des "racontars" sur le parcours de Hocine Aït Ahmed.
"Le FFS s’il se refuse à toute polémique, en ces jours de deuil et de recueillement, et s’il remet à plus tard la correction des approximations sur le parcours de Si l’Hocine appelle néanmoins à la retenue les colporteurs de racontars sans aucun fondement de vérité sur ses pratiques et ses idées politiques."
"À aucun moment, récent ou passé, Hocine Aït Ahmed n’a apporté sa caution ou son soutien à quelque clan que ce fût du Pouvoir." souligne le communiqué.
"Son combat, dès les premiers jours de son engagement patriotique et jusqu’à ses derniers instants, est toujours allé de pair avec un sens élevé de l’éthique politique qui interdit les grenouillages et ce qu’il appelait "les fourbilatérales" souligne le communiqué qui demande à "ceux qui furent sourds à ses idées de son vivant aient au moins la décence de mettre une sourdine en ces jours de deuil".
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