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Allahu Akbar! – Point de vue après 2018

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  • Allahu Akbar! – Point de vue après 2018

    28 décembre 2015 Pas de commentaires Humour Réseau International
    Allahu Akbar! – Point de vue après 2018
    En mai 2018, durant la deuxième année de l’administration de Mme Clinton, la perplexité nationale était à son comble au sujet de la vague continue d’assassinats de masse. Une semaine plus tôt, dix-neuf enfants étaient morts dans le massacre de la maternelle Blaintree à San Francisco quand Mohammed Shah Massoud, Faisal ibn Saud, et Hussein Rashid ont fait irruption dans l’école et ont commencé à tirer.

    Comme dans la fusillade trois mois auparavant de treize autres à Washington par Mohammed Faisal et Sala al Din Hussein, et dans l’attentat qui a précédé à Hancock Tower à Chicago par Farouk ibn Mohammed, les experts ont du mal à donner un sens à ces événements. Le chef de la Sécurité intérieure, Chupamela Sanchez-Jones, a expliqué succinctement: « Il est presque impossible d’empêcher les attaques quand ils n’ont rien en commun. Que faire? Quel lien y a-t-il entre tuer des enfants, faire sauter un restaurant, et écraser des avions contre un building ? Il n’y en a pas. C’est déconcertant ».

    Tous ceux qui comptent, le New York Times, MSNBC, NPR, le Huffington Post, Mother Jones, et Salon – ont convenu qu’il n’y avait pas de motif évident. Maintes et maintes fois depuis de nombreuses années, des agresseurs étaient venus de nulle part et avaient tué sans raison. Il n’y avait rien de particulier, sinon, à chaque fois, ce cri étrange, « Allahu Akbar. »

    Le Secrétaire de la Défense de Mme Clinton, Wilhelmina « Creepy » Crawley, a avancé une explication.

    « Mon staff au Pentagone a déterminé que » Akbar « est une combinaison de » AK « , Kalachnikov Automatique, dont on m’a dit qu’il s’agirait d’une sorte de fusil, et BAR, de Browning Automatic Rifle. Cela montre une fascination malsaine avec les fusils. Nous sommes en train d’étudier les liens avec la NRA (NDT : National Rifle Association : lobby des armes à feu aux USA) ».

    La logique commandait, en effet, le contrôle des armes à feu. En Octobre de 2017, trois hommes armés-Mohammed Massouf, Mohammed Ali ibn Hussein, et Abou Bakr ibn Saud-avaient abattu quatorze personnes au Starbucks à Philadelphie. Eux aussi avaient crié quelque chose à propos de Browning Automatic Rifles.

    Priscilla Latvi-Germond, directrice du FBI, a suggéré une autre possibilité. « Nous pensons que les tueurs pourraient être des blancs-suprémacistes, peut-être liés au KKK ». Quand il a été souligné que quelques-uns des terroristes étaient de race blanche, elle a dit que c’était la preuve d’une dangereuse propagation du Suprématisme blanc chez les personnes de couleur.

    Certains ont suggéré que les tueurs étaient des jeunes en difficulté qui avaient subi le traumatisme de foyers brisés. D’autres personnes ont suspecté l’effet de l’accumulation de micro-agressions au fil des années.

    Désespérant de trouver un dénominateur commun, les chercheurs ont creusé du côté des événements historiques. Par exemple, le 12 Novembre, 2015, dans une école pour adultes déficients à San Bernardino, Syed Rezwan Farook et Tashfeen Malik ont abattu 14 personnes. Eux aussi avaient crié le mystérieux « Allahu AK-BAR. »

    Le président B. Hussein Obama avait alors été aussi perplexe que tous les autres au sujet de ce massacre.

    Il avait dit, « C’est possible que ce soit lié au terrorisme, mais nous ne savons pas; il est également possible que ce soit lié au milieu du travail », ajoutant : « nous ne savons pas pourquoi ils l’ont fait ».

    Mais il y avait des indices. Rachel Maddow l’avait résumé ainsi, « Qu’ont en commun tous ces tireurs ? Des armes à feu. Chaque fois que quelqu’un est tué, une arme à feu est impliquée. C’est à cent pour cent ».

    Cela était incontestable.

    Pourtant des incohérences persistent. Quand Omar ibn Oussama Mohammed avait soudainement coupé la gorge de la petite Marthe Clark, âge de neuf ans, dans les rues de Santa Cruz, ni AK ni BAR n’y étaient impliqués. Pourtant, il avait crié « Allahu Akbar! » Les autorités californiennes avaient suggéré que l’acte odieux pourrait avoir été le cri de désespoir d’un homme dans une telle situation de dénuement, à cause d’une société injuste, qu’il ne pouvait pas s’offrir un Browning Automatic Rifle.

    L’enquête a révélé que les jeunes hommes qui avaient tiré sur le Starbucks à Philadelphie faisaient partie des 150 000 réfugiés syriens et afghans amenés par l’ancien président B. Hussein Obama. Peut-être que le stress de l’immersion dans une société blanche raciste les avait trop marqués, a déclaré Salon. Peut-être que la lenteur du service chez Starbucks avait produit une frustration insupportable. Ils y répondaient de la seule manière qu’ils connaissaient.

    L’inexplicable effusion de sang a continué.

    A Paris, Ahmad Al Mohammad, Bilal Hadfi, et Brahim Abdeslam, entre autres ont mené une attaque meurtrière, mais encore une fois aucun motif, aucun point commun n’a pu être trouvé. Étaient-ils sans travail et plongés dans le désespoir? Avaient-ils divorcé récemment ?

    La Procureur général de Mme Clinton, Lasagna Woodley Park, a déclaré, « En tant que femme de couleur, je déplore ces meurtres, mais je pense que nous devons nous rappeler que certains de ces hommes souffraient de traumatisme récent reflétant l’insensibilité culturelle résultant du colonialisme, du Privilège des Blancs et du racisme institutionnel. «

    Elle faisait allusion à la mort de la fille d’Al Mohammad due à une septicémie suite à une mutilation génitale bâclé, et de la fille de Hadfi, qui avait été forcée de se noyer dans le cadre d’un crime d’honneur, après que la jeune fille de 17 ans ait été trouvée en train d’embrasser son petit ami.

    Les psychologues ont convenu que le fait de noyer sa fille pourrait provoquer le SSPT (NDT : Syndrome de Stress Post-Traumatique), mais la plupart des tueurs de ces dernières années n’avaient pas noyé leurs filles, ni ne les avaient mutilées. Encore une fois, il semblait n’y avoir aucun point commun.

    A Harvard, le sociologue Barbara Levin-Oslieber dit, « Certaines études suggèrent que c’est une question d’hyper-masculinité maligne causée par la dépendance aux jeux vidéo violents. »

    Ou peut-être, comme l’avait suggéré B. Hussein Obama, les meurtres étaient dus à des problèmes au travail. Des personnes ayant des soucis au boulot ayant souvent tiré dans des écoles et fait sauter des restaurants. Mais beaucoup estiment qu’il doit y avoir une autre cause sous-jacente, un certain modèle. Addiction à la drogue? Une utilisation prolongée des méthamphétamines déclenche parfois des violences. Mariages ratés? Schizophrénie? Tête de turc pendant la scolarité?

    Michelle Obama, la Première Dame, avait une nouvelle explication des Twin Towers qui a démontré la valeur d’une éducation de Princeton. « Je pense qu’ils ont essayé d’atterrir avec ces avions. Ils ne sont pas très bons pilotes, et ces gros avions doivent être très difficiles à manœuvrer ».

    Cela a, en effet, beaucoup de sens. Le Pentagone est proche de l’aéroport national. Un pilote terriblement inexpérimenté pouvait facilement passer à côté de la piste.

    Mme Clinton, qui n’était pas encore candidate, avait fait un plaidoyer passionné pour le contrôle des cutters. « Nous ne pouvons pas permettre à ces engins vicieux d’être utilisés pour tuer des milliers d’Américains innocents », avait-elle dit. L’Association of Department Store Managers avait alors fait remarquer que sans cutters ils ne seraient pas en mesure de déballer les colis et paquets provenant de Chine. Mme Clinton avait répondu avec une magistrale « des boîtes non ouvertes sont un petit prix à payer pour la sécurité nationale ».

    Le 5 Novembre 2009, à Fort Hood, le major Nidal Hasan avait abattu 13 personnes. Outré, le président B. Hussein Obama avait dit que cela montrait la stupidité du deuxième amendement et avait plaidé pour le désarmement de l’armée.

    Enfin, il y eut une pause. Roberta Prangle-Dinwiddie, chef de l’American Psychological Association, a déclaré dans une conférence de presse, « Nous continuons la recherche d’un dénominateur commun, mais il semble y en avoir un seul : les auteurs sont tous des hommes en dehors de ceux qui le ne sont pas. Dans une société post-colonialiste dans laquelle les hommes – heu… – ne peuvent plus battre les gens de couleur, leur agressivité innée semble l’alimenter ».

    Dans sa retraite à Jakarta, Hussein Obama revenait de la prière et a dit que l’incident était « regrettable, mais compréhensible à la lumière de l’histoire de l’oppression et du colonialisme, et que les armes doivent être mises hors la loi. »

    Cela, tout le monde peut l’admettre, car sinon, les tueurs n’auraient rien en commun.

    Fred Reed

    Traduction Avic – Réseau International
    Source : http://www.unz.com/freed/allahu-akba...iew-from-2018/
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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