28 décembre 2015
Henda
Un jour j’ai décidé de dire non à la soumission et OUI à la LIBERTÉ !
Après de longues années vécues dans la frustration et l’interdit et le noir Henda comme beaucoup d’autres que j’ai rencontré ont décidé de sortir de cette prison dont elles se sont trouvées piégées soit par contrainte soit par endoctrinement.
A 20 ans j’étais jeune et salafiste, j’avais tout à apprendre de la vie…A 39 ans, je suis une femme musulmane libre qui a beaucoup appris, grâce au chemin parcouru… il a été difficile mais il en valait la peine…Un jour j’ai décidé de dire non à la soumission et OUI à la LIBERTÉ !
J’ai réalisé qu’une femme n’est ni un objet de soumission qu’on doit cacher ni un objet de convoitise qu’on doit exhiber !
On doit respecter et aimer la femme pour ce qu’elle est : Un Être Humain à part entière ! Courage, force et honneur à toutes les femmes !
Le combat doit continuer !!! Henda
Ces dernières années la Tunisie vie une métamorphose dans sa société avec la libération des sectes wahabites qui ont amené des milliers de femmes à porter le voile (hidjab), cet étendard des terroristes de daech et de l’international islamisme. Beaucoup disent que c’est un choix personnel mais la réalité en est tout autre. La société tunisienne est une société machiste ou l’homme a toujours eu le dernier mot surtout quand il s’agit de contrôler la femme que l’on a contraint à porter ce torchon de la misère importer des fins fonds du Sahara des pays wahabites du Golfe. Ces pays ou l’on enveloppe les femmes dans des bâches de couleurs de leurs pays qui se limitent aux couleurs du sable saharien ou à la couleur noir de la nuit alors que la Tunisie est un pays dotée d’une multitude de couleurs que la nature lui a donné, ce pourquoi la femme tunisienne aiment les couleurs donc elle aime la vie et la liberté et non la mort et l’obscurité.
Sexisme et racisme n’en font qu’un , auquel on refuse l’égalité, en dignité ou en droits, le sexisme dirigé contre les femmes consiste en un ensemble de pratiques d’incivilité et de discrimination qui normalisent et banalisent la misogynie et le machisme. Le mépris de la femme assure aux islamistes un pouvoir renforcé dans la mesure où la moitié de la population est privée de ses droits et maintenue dans une position d’esclavage, une situation absurde où la population féminine alimente une foi qui l’opprime et cherche son salut dans sa soumission.
Rachid Ben Othman
Henda
Un jour j’ai décidé de dire non à la soumission et OUI à la LIBERTÉ !
Après de longues années vécues dans la frustration et l’interdit et le noir Henda comme beaucoup d’autres que j’ai rencontré ont décidé de sortir de cette prison dont elles se sont trouvées piégées soit par contrainte soit par endoctrinement.
A 20 ans j’étais jeune et salafiste, j’avais tout à apprendre de la vie…A 39 ans, je suis une femme musulmane libre qui a beaucoup appris, grâce au chemin parcouru… il a été difficile mais il en valait la peine…Un jour j’ai décidé de dire non à la soumission et OUI à la LIBERTÉ !
J’ai réalisé qu’une femme n’est ni un objet de soumission qu’on doit cacher ni un objet de convoitise qu’on doit exhiber !
On doit respecter et aimer la femme pour ce qu’elle est : Un Être Humain à part entière ! Courage, force et honneur à toutes les femmes !
Le combat doit continuer !!! Henda
Ces dernières années la Tunisie vie une métamorphose dans sa société avec la libération des sectes wahabites qui ont amené des milliers de femmes à porter le voile (hidjab), cet étendard des terroristes de daech et de l’international islamisme. Beaucoup disent que c’est un choix personnel mais la réalité en est tout autre. La société tunisienne est une société machiste ou l’homme a toujours eu le dernier mot surtout quand il s’agit de contrôler la femme que l’on a contraint à porter ce torchon de la misère importer des fins fonds du Sahara des pays wahabites du Golfe. Ces pays ou l’on enveloppe les femmes dans des bâches de couleurs de leurs pays qui se limitent aux couleurs du sable saharien ou à la couleur noir de la nuit alors que la Tunisie est un pays dotée d’une multitude de couleurs que la nature lui a donné, ce pourquoi la femme tunisienne aiment les couleurs donc elle aime la vie et la liberté et non la mort et l’obscurité.
Sexisme et racisme n’en font qu’un , auquel on refuse l’égalité, en dignité ou en droits, le sexisme dirigé contre les femmes consiste en un ensemble de pratiques d’incivilité et de discrimination qui normalisent et banalisent la misogynie et le machisme. Le mépris de la femme assure aux islamistes un pouvoir renforcé dans la mesure où la moitié de la population est privée de ses droits et maintenue dans une position d’esclavage, une situation absurde où la population féminine alimente une foi qui l’opprime et cherche son salut dans sa soumission.
Rachid Ben Othman
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