L'organisation des forces de l'ordre françaises était-elle optimale pour faire face aux attentats coordonnés qui ont frappé Paris le 13 novembre? C'est la question que pose le New York Times, six semaines après les attaques qui ont fait 130 morts dans la capitale et à Saint-Denis.
Le quotidien prend la précaution d'expliquer que, face à ce «scénario cauchemar», il n'y a «pas de doute que la police française a réagi avec bravoure», qu'«une réponse coordonnée et sans heurts aurait sans doute été impossible pour n'importe quelles forces de police» et que des interrogations avaient également émergé, après le 11-Septembre, sur les délais d'interventions des pompiers et de la police aux États-Unis. Mais il pointe néanmoins que «la chaîne de commandement très centralisée [...] a contribué à des retards» et que, selon plusieurs experts, «une plus grande présence de la police de proximité aurait pu limiter les massacres». «Il y a une question de rapidité de réaction», explique au quotidien Christian Mouhanna, chercheur spécialiste de la sécurité au CNRS. «Nous avons beaucoup d'officiers dans des bureaux, mais pas tant que cela sur le terrain.»
Source: slate.fr
Le quotidien prend la précaution d'expliquer que, face à ce «scénario cauchemar», il n'y a «pas de doute que la police française a réagi avec bravoure», qu'«une réponse coordonnée et sans heurts aurait sans doute été impossible pour n'importe quelles forces de police» et que des interrogations avaient également émergé, après le 11-Septembre, sur les délais d'interventions des pompiers et de la police aux États-Unis. Mais il pointe néanmoins que «la chaîne de commandement très centralisée [...] a contribué à des retards» et que, selon plusieurs experts, «une plus grande présence de la police de proximité aurait pu limiter les massacres». «Il y a une question de rapidité de réaction», explique au quotidien Christian Mouhanna, chercheur spécialiste de la sécurité au CNRS. «Nous avons beaucoup d'officiers dans des bureaux, mais pas tant que cela sur le terrain.»
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