Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Gouvernement, Sénat, présidence : des changements en perspective

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Gouvernement, Sénat, présidence : des changements en perspective

    Info Algérie1 : Le Président de la République a déjà constitué une ébauche de la liste des futurs membres du tiers présidentiel au sein du Conseil de la Nation a appris Algérie1 auprès de bonnes sources.

    Très peu des 24 membres sortants seront reconduits, « car ils ont déçu le Président par leur attitude négative sinon amorphe lors des campagnes médiatiques commanditées et dirigées par la frange scélérate du DRS et ses supplétifs contre le Président » précisent les mêmes sources.

    En effet, « nombreux ont été les membres FLN de ce tiers présidentiel, quant à eux, à soutenir l’odieuse campagne de sape et de dénigrement dirigée contre Amar Saâdani depuis qu’il a été adoubé par le Président puis élu légitimement secrétaire général du Parti du FLN au grand dam de rab Dzayer et sa faction malfaisante » ajoute t-on.

    Et nos interlocuteurs de citer notamment Djilali Affane Guezzane, Mohamed Boukhalfa et Brahim Boulahia « qui ont brillé par leur déloyauté commandée envers le Président qui a été par ailleurs superbement payé d’ingratitude par Yacef Saadi et Zohra Drif-Bitat, celle-là même qui a atteint le summum de l’ingratitude en se faisant la complice de deux mégères (Louisa Hanoune et Khalida Messaoudi NDLR) sans foi ni loi dans une infâme, ignoble et perfide mascarade qui n’a d’autre but que celui de nuire au Président et plaire à leur Farik déchu » dans une allusion à l’ancien général Mohamed Médiène.

    « Pour l’histoire, Zohra Bitat et Louisa Hanoune ont eu un aparté avec Ahmed Ouyahia, le 1er novembre 2015, au Palais du peuple, lors de la cérémonie de commémoration du déclenchement de la Révolution. C’est au cours de cet échange que l’actuel directeur de cabinet du président a encouragé ses interlocutrices à écrire une lettre au président, ne prenant manifestement pas conscience des dégâts qui seront occasionnés par sa maladroite initiative » confient nos sources.

    Zerhouni directeur de cabinet ?

    « D’autres changements sont attendus après l’adoption du projet de révision de la Constitution et qui toucheront en principe le premier ministre qui sera arrivé ainsi au bout de sa mission ainsi que l’actuel directeur de cabinet du président qui sera amené à prendre les rênes du parti RND, une fois élu par ses pairs au poste de secrétaire général, et de se contenter d’apporter un soutien sans faille au président de la république et à son programme » soulignent nos interlocuteurs. C’est la meilleure des choses qui puisse lui arriver d’autant qu’il avait, on s’en souvient, vendu la peau de l’ours… en mettant en avant sa proximité avec son « ami Toufik » croyant que son heure était arrivée.

    Pour son remplacement, ajoutent nos sources « le doyen des conseillers du président de la république, Mohamed Benamar Zerhouni, fidèle parmi les fidèles, est le plus indiqué pour devenir le prochain directeur de cabinet au palais d’El Mouradia. L’homme est connu pour sa proximité immédiate avec le président, pour ses compétences et sa maîtrise parfaite des langues et surtout sa connaissance des arcanes et des équilibres du pouvoir » précisent-ils.

    Sellal ambassadeur ?

    Ces derniers affirment également qu’ « Un nouveau gouvernement sera nommé, et plusieurs ministres, en particulier ceux qui ont créé la confusion par leurs bavardages incessants, seront débarqués » alors que « d’autres dont l’incompétence est avérée seront recalés ».

    Quant à Abdelmalek Sellal, il sera, « selon ses vœux désigné à la tête d’une ambassade, puisque lui même montrant des signes de lassitude et faisant dire autour de lui que plusieurs ministres ne lui rendent plus compte et se plaint d’interventions incessantes dans son agenda ».

    Cela étant, « l’homme manque effectivement d’envergure, ne possédant aucune vision stratégique, n’a pas su opérer le virage vers une économie diversifiée et ne maîtrisant pas la communication qui est son point faible, se contentant d’anecdotes et de blagues ce qui a laissé pantois certains et sidérés d’autres, surtout dans les forums internationaux, en particulier arabes, où l’handicap de la langue a été pour l’homme un véritable supplice » remarquent nos sources.

    Bouchouareb ou Ouali

    Interrogés sur l’identité du nouveau premier ministre, nos sources indiquent que « Le nouveau premier ministre sera à chercher du coté de Abdesslam Bouchouareb ou de Abdelkader Ouali, tant les deux hommes ont fait preuve de beaucoup de dynamisme dans leurs secteurs respectifs. Bouchouareb étant un membre du RND, il faudra attendre de voir si la nouvelle constitution ne prévoit-elle pas de désigner à ce poste un membre du parti majoritaire, dans ce cas de figure, Ouali qui est membre du comité central pourrait avoir ses chances, d’autant qu’il a une longue expérience dans les collectivités locales, maîtrisant parfaitement les deux langues, et proche du cercle présidentiel pour avoir été la cheville ouvrière de la campagne électorale du président. Cela dit, le président pourra comme à son habitude déjouer tous les pronostics et faire sortir de son chapeau celui ou celle qu’on attendait le moins » soulignent les mêmes sources qui ont insisté sur « l’extraordinaire sens tactique du président à même de prendre à contre pied toutes les analyses. »

    Nos interlocuteurs avancent que le nouveau premier ministre « aura la lourde tâche de mettre en place de nouveaux mécanismes pour un renouveau de la gouvernance ainsi qu’une nouvelle politique économique soutenue par de profondes réformes structurelles au moment où la baisse des cours des hydrocarbures fait courir au pays des risques multiformes d’où l’urgence de sortir de l’immobilisme et du blocage actuels, créer un nouveau climat des affaires, contribuer à la croissance du pays, créer des emplois productifs, atténuer les tensions sociales, libérer les énergies créatrices et réaliser la transition difficile vers une économie hors hydrocarbures » ajoutent nos sources.

    les hommes du président

    « Abdelakader Bensalah, Mohamed Larbi Ould Khelifa, Ahmed Gaid Salah, Amar Saâdani continueront à jouir de la confiance du président » soulignent-on tout en apportant une précision de taille concernant la polémique sur les soi-disant origines de Abdelkader Bensalah.

    Nos interlocuteurs affirment que « c’est le général Hassan qui a fait fuiter cette fausse information ». Interrogé sur le pourquoi et le bénéfice de cette « fuite », nos sources répliquent en affirmant « qu’à travers cette abomination, Bensalah devait d’abord payer pour sa proximité avec le président ensuite on voulait faire accroire que des algériens d’origine marocaine occupent des postes de responsabilité, un refrain éculé, et surtout l’obliger à se départir du perchoir du Sénat qui lui permet d’assurer l’intérim du pouvoir en cas d’une quelconque vacance ».

    « Bensalah est un algérien de souche, de père et de mère algériens, ses grands parents sont également algériens et toutes ces tentatives de bas étage, consistant à semer le trouble dans les esprits en faisant accroire que les algériens nés à l’étranger, ayant vécu ou étudié en dehors de l’Algérie ne sont pas des algériens, ont toujours servi d’épée de Damoclès pour l’ancien chef du DRS pour mettre au pas ses adversaires » assurent nos sources.

  • #2
    Avant même de terminer le premier paragraphe, je savais que l'article ne pouvait être signé que de Khidr Ali.

    Pour le reste, la "gorge profonde" qui lui sert de source semble jeter des ballons-sondes à la pelletée...
    كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

    Commentaire


    • #3
      J'ai lu de travers, ca donne envie de vomir, ca parle de promotion et de punition sur le seul critère de la baisse du pantalon ...

      Commentaire


      • #4
        c'est quoi le collège électoral pour les élections au sénat? Qui en fait partie?

        Commentaire

        Chargement...
        X