Les autorités marocaines ont procédé, ce lundi 4 janvier, au refoulement d’une ressortissante française d’origine algérienne pour apologie de l’organisation terroriste d’Abou Bakr Al Baghdadi, Daech.
Une ressortissante française d’origine algérienne a été refoulée ce lundi 4 janvier vers l’Hexagone. L’intéressée, qui répondait au nom de Khadija Benmihoub, a manifesté, dès son accès au royaume en décembre 2015, des signes de fanatisation extrême, révèle une source sécuritaire, dont le port du voile intégral et sa démission de son travail en tant qu’hôtesse d’accueil à l’aéroport Charles de Gaule à Paris.
Un changement qui n’a pas laissé indifférents les services nationaux, qui après investigations ont découvert que l’intéressée était alignée sur l’agenda belliqueux de Daech, acronyme arabe de «l’Etat islamique».
Un alignement qui s’est traduit par l’adoption d’un discours extrémiste, doublé de l’apologie du soi-disant «calife» de «l’Etat islamique» en Irak et en Syrie, Abou Bakr Al Baghdadi. En effet, la dénommée Benmihoub faisait l’éloge des «exploits» des combattants de la nébuleuse daech, tout en partageant des photographies et des vidéos à des fins propagandistes.
Le profil de cette extrémiste franco-algérienne rappelle curieusement celui de Hasna Aït Boulahcen, abattue le 18 novembre dernier, à Saint-Denis, au même titre que le commanditaire des attentats qui ont frappé plusieurs endroits de Paris le 13 novembre dernier.
Ziad Alami
Une ressortissante française d’origine algérienne a été refoulée ce lundi 4 janvier vers l’Hexagone. L’intéressée, qui répondait au nom de Khadija Benmihoub, a manifesté, dès son accès au royaume en décembre 2015, des signes de fanatisation extrême, révèle une source sécuritaire, dont le port du voile intégral et sa démission de son travail en tant qu’hôtesse d’accueil à l’aéroport Charles de Gaule à Paris.
Un changement qui n’a pas laissé indifférents les services nationaux, qui après investigations ont découvert que l’intéressée était alignée sur l’agenda belliqueux de Daech, acronyme arabe de «l’Etat islamique».
Un alignement qui s’est traduit par l’adoption d’un discours extrémiste, doublé de l’apologie du soi-disant «calife» de «l’Etat islamique» en Irak et en Syrie, Abou Bakr Al Baghdadi. En effet, la dénommée Benmihoub faisait l’éloge des «exploits» des combattants de la nébuleuse daech, tout en partageant des photographies et des vidéos à des fins propagandistes.
Le profil de cette extrémiste franco-algérienne rappelle curieusement celui de Hasna Aït Boulahcen, abattue le 18 novembre dernier, à Saint-Denis, au même titre que le commanditaire des attentats qui ont frappé plusieurs endroits de Paris le 13 novembre dernier.
Ziad Alami
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