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Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdeslem Bouchouareb, a réfuté l’idée d’être Premier ministre et de succéder à Abdelmalek Sellal à la tête du gouvernement.
En ajoutant qu’être Premier ministre, c’est, pour lui, un grand honneur, mais qu’il est heureux et s’investit pleinement dans la mission dont il a été chargée par le Président et que ce qui importe pour le moment c’est de mettre en place des mécanismes afin de hisser le secteur industriel en Algérie en cette période de crise au moyen de plusieurs projets dont celui de l’extraction du phosphate à Gar Djbilet, comme nouvelle source de revenus après la chute des prix du pétrole.
En outre, au Forum d’El-Moudjahid, il a révélé que l’Algérie est en négociations avec les constructeurs Peugeot, Fiat, Iveco et Hyundai-camions pour la mise en place d’unités de production.
En ajoutant que nous sommes également en discussions avec un partenaire iranien, tandis que Nissan a exprimé son souhait de s’installer aussi tout comme le constructeur allemand Volkswagen.
Quant aux importations de véhicules, il a précisé avoir fortement baissé en valeur et en volume en 2015 où la facture des importations des véhicules s’est établie à près de 4 milliards de dollars soit une baisse de 40% par rapport à 2014, tandis que le nombre de véhicules importés a baissé de l’ordre de 32%.
En valeur, la facture des importations a baissé de plus de 2 milliards de dollars et de 140.000 unités en 2015 par rapport à l’année 2014.
Pour le ministre, ces résultats sont les premiers effets de la mise en œuvre du nouveau cahier des charges des concessionnaires et que dorénavant il n’y aurait pas plus de 200 000 licences d’importations de véhicules.
Durant son intervention, le ministre a également évoqué une opération d’audit qui vise à évaluer la situation de cinquante entreprises privatisées auparavant pour vérifier si les repreneurs ont effectivement respecté leurs engagements et fait rentrer de l’argent au Trésor, sinon elles retourneront au giron de l’Etat, car on ne peut gérer aujourd’hui comme dans les années 80.
Echourouk
En ajoutant qu’être Premier ministre, c’est, pour lui, un grand honneur, mais qu’il est heureux et s’investit pleinement dans la mission dont il a été chargée par le Président et que ce qui importe pour le moment c’est de mettre en place des mécanismes afin de hisser le secteur industriel en Algérie en cette période de crise au moyen de plusieurs projets dont celui de l’extraction du phosphate à Gar Djbilet, comme nouvelle source de revenus après la chute des prix du pétrole.
En outre, au Forum d’El-Moudjahid, il a révélé que l’Algérie est en négociations avec les constructeurs Peugeot, Fiat, Iveco et Hyundai-camions pour la mise en place d’unités de production.
En ajoutant que nous sommes également en discussions avec un partenaire iranien, tandis que Nissan a exprimé son souhait de s’installer aussi tout comme le constructeur allemand Volkswagen.
Quant aux importations de véhicules, il a précisé avoir fortement baissé en valeur et en volume en 2015 où la facture des importations des véhicules s’est établie à près de 4 milliards de dollars soit une baisse de 40% par rapport à 2014, tandis que le nombre de véhicules importés a baissé de l’ordre de 32%.
En valeur, la facture des importations a baissé de plus de 2 milliards de dollars et de 140.000 unités en 2015 par rapport à l’année 2014.
Pour le ministre, ces résultats sont les premiers effets de la mise en œuvre du nouveau cahier des charges des concessionnaires et que dorénavant il n’y aurait pas plus de 200 000 licences d’importations de véhicules.
Durant son intervention, le ministre a également évoqué une opération d’audit qui vise à évaluer la situation de cinquante entreprises privatisées auparavant pour vérifier si les repreneurs ont effectivement respecté leurs engagements et fait rentrer de l’argent au Trésor, sinon elles retourneront au giron de l’Etat, car on ne peut gérer aujourd’hui comme dans les années 80.
Echourouk