Durant la soirée du vendredi 13 novembre 2015, nous avons assisté à des scènes insoutenables à Paris : des femmes enceintes étaient suspendues au balcon d'une salle de concert ; de jeunes hommes transportaient désespérément les blessés graves dans la rue pour sauver leurs vies ; des lieux publics ensanglantés; le chaos et la psychose dans les rues de Paris.
Les attentats de Paris et le massacre brutal de San Bernardino ainsi que les multiples assauts de cette année ont mis en évidence le danger mondial de l'extrémisme islamique.
Il est évident aussi que la grande majorité des musulmans est pacifique et malheureusement, la plupart des victimes de groupes ultra-violents comme Daech sont musulmanes.
Au milieu de l'indignation et des appels justifiés à l'action, nous devons prendre garde de ne pas faire d'amalgames entre la sauvagerie des islamistes d'un côté et de l'autre l'islam ou les musulmans dans leur ensemble.
Cela constituerait une énorme erreur, ferait le jeu des extrémistes, et compliquerait à terme une situation déjà fort compliquée à gérer.
Tandis qu'une minorité marginale et dangereuse essaye activement de corrompre l'image du deuxième culte le plus important du monde de façon à diviser l'humanité toute entière, il nous faut nous montrer fermes et unis pour défendre les accomplissements de notre civilisation commune, qui incluent les droits humains, la démocratie et les droits des femmes. Notre futur en dépend.
Les islamistes ne s'attaquent pas uniquement à la France, aux États-Unis ou à l'Europe. Ils visent l'ensemble des valeurs du monde libre et la survie du monde en général. Il est donc impératif d'afficher notre fermeté et d'agir rapidement contre l'État Islamique. Cette entité terroriste doit être totalement éradiquée.
Au cours des dernières années, les musulmans modérés ont été les principales victimes des extrémistes se revendiquant de l'Islam, des groupes extrémistes constitués de marginaux radicalisés, mais aussi des régimes extrémistes comme celui au pouvoir en Iran qui a été pendant les 35 dernières années l'épicentre mondial de l'islam radical.
Les extrémistes - que ce soit sous la bannière de Daech, le Hezbollah, Al-Qaïda, les Talibans, le Hamas, ou le régime iranien - ne croient en aucune religion. Ils sont les ennemis de l'humanité et de la civilisation.
Ne proposer aucune alternative est hors de question car dangereux et suicidaire pour l'avenir. Il est très risqué d'intervenir au Moyen-Orient et de se cantonner à lutter contre les islamistes sans s'appuyer sur l'appui des musulmans modérés largement majoritaires dans cette région.
En effet, ces derniers, notamment en Iran, ont contesté pendant plusieurs décennies toute interprétation trop rigoriste de leur religion. Ils ont un rôle prépondérant à jouer dans cette partie du monde.
Bien qu'ils semblent avoir des visées différentes, le régime iranien et les groupes comme Daech partagent une même interprétation rétrograde de l'Islam et emploient des moyens de dissuasion similaires.
Leur vision totalitaire et arriérée du monde les incite à user d'une violence systématique, à faire preuve de misogynie, à pervertir la religion et à agir à l'encontre des aspirations démocratiques des peuples.
Nous devons agir pour mettre fin à l'islam radical et au terrorisme se revendiquant de l'islam.
Autrement, l'inaction va entraîner davantage de violence et déboucher sur une catastrophe globale.
Bombarder les positions des groupes terroristes sans apporter un soutien politique aux forces libres et aux musulmans modérés dans la région risque à terme de créer un vide politique et de produire des situations de chaos comme celles vues en Libye, en Syrie et en Irak.
Comme l'a souligné Sun Tzu dans son livre intitulé l'art de la guerre, «Au milieu du chaos, il y a toujours des occasions à saisir. »
Au milieu du chaos actuel, nous devons priver les islamistes de la possibilité de mettre à exécution leur projet funeste qui nous mettrait dans une situation irréversible et catastrophique.
La marche de l'histoire contemporaine, la paix mondiale et l'avenir des générations futures dépendent de notre engagement face à l'extrémisme islamique.
HUFFPOST
Les attentats de Paris et le massacre brutal de San Bernardino ainsi que les multiples assauts de cette année ont mis en évidence le danger mondial de l'extrémisme islamique.
Il est évident aussi que la grande majorité des musulmans est pacifique et malheureusement, la plupart des victimes de groupes ultra-violents comme Daech sont musulmanes.
Au milieu de l'indignation et des appels justifiés à l'action, nous devons prendre garde de ne pas faire d'amalgames entre la sauvagerie des islamistes d'un côté et de l'autre l'islam ou les musulmans dans leur ensemble.
Cela constituerait une énorme erreur, ferait le jeu des extrémistes, et compliquerait à terme une situation déjà fort compliquée à gérer.
Tandis qu'une minorité marginale et dangereuse essaye activement de corrompre l'image du deuxième culte le plus important du monde de façon à diviser l'humanité toute entière, il nous faut nous montrer fermes et unis pour défendre les accomplissements de notre civilisation commune, qui incluent les droits humains, la démocratie et les droits des femmes. Notre futur en dépend.
Les islamistes ne s'attaquent pas uniquement à la France, aux États-Unis ou à l'Europe. Ils visent l'ensemble des valeurs du monde libre et la survie du monde en général. Il est donc impératif d'afficher notre fermeté et d'agir rapidement contre l'État Islamique. Cette entité terroriste doit être totalement éradiquée.
Au cours des dernières années, les musulmans modérés ont été les principales victimes des extrémistes se revendiquant de l'Islam, des groupes extrémistes constitués de marginaux radicalisés, mais aussi des régimes extrémistes comme celui au pouvoir en Iran qui a été pendant les 35 dernières années l'épicentre mondial de l'islam radical.
Les extrémistes - que ce soit sous la bannière de Daech, le Hezbollah, Al-Qaïda, les Talibans, le Hamas, ou le régime iranien - ne croient en aucune religion. Ils sont les ennemis de l'humanité et de la civilisation.
Ne proposer aucune alternative est hors de question car dangereux et suicidaire pour l'avenir. Il est très risqué d'intervenir au Moyen-Orient et de se cantonner à lutter contre les islamistes sans s'appuyer sur l'appui des musulmans modérés largement majoritaires dans cette région.
En effet, ces derniers, notamment en Iran, ont contesté pendant plusieurs décennies toute interprétation trop rigoriste de leur religion. Ils ont un rôle prépondérant à jouer dans cette partie du monde.
Bien qu'ils semblent avoir des visées différentes, le régime iranien et les groupes comme Daech partagent une même interprétation rétrograde de l'Islam et emploient des moyens de dissuasion similaires.
Leur vision totalitaire et arriérée du monde les incite à user d'une violence systématique, à faire preuve de misogynie, à pervertir la religion et à agir à l'encontre des aspirations démocratiques des peuples.
Nous devons agir pour mettre fin à l'islam radical et au terrorisme se revendiquant de l'islam.
Autrement, l'inaction va entraîner davantage de violence et déboucher sur une catastrophe globale.
Bombarder les positions des groupes terroristes sans apporter un soutien politique aux forces libres et aux musulmans modérés dans la région risque à terme de créer un vide politique et de produire des situations de chaos comme celles vues en Libye, en Syrie et en Irak.
Comme l'a souligné Sun Tzu dans son livre intitulé l'art de la guerre, «Au milieu du chaos, il y a toujours des occasions à saisir. »
Au milieu du chaos actuel, nous devons priver les islamistes de la possibilité de mettre à exécution leur projet funeste qui nous mettrait dans une situation irréversible et catastrophique.
La marche de l'histoire contemporaine, la paix mondiale et l'avenir des générations futures dépendent de notre engagement face à l'extrémisme islamique.
HUFFPOST
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