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Mystère autour de l’identité de l’agresseur tué devant un commissariat parisien

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  • Mystère autour de l’identité de l’agresseur tué devant un commissariat parisien

    Vendredi 8 janvier au matin, l’identité de l’homme tué jeudi par des policiers devant un commissariat du 18e arrondissement de Paris n’avait toujours pas été établie. Un an, heure pour heure, après l’attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo, il s’est présenté au 34 de la rue de la Goutte-d’Or et a menacé les policiers en faction avec une « feuille de boucher », a précisé le procureur de la République, François Molins. Six douilles ont été retrouvées au sol. L’autopsie permettra de déterminer combien de tirs ont atteint l’agresseur.

    Le quartier de Barbès a été rapidement bouclé, alors que de nombreuses interrogations perduraient sur le mode opératoire, l’identité et les motivations de l’assaillant. Un dispositif explosif factice – une pochette entourée de ruban adhésif dont dépassait un fil électrique – a été retrouvé dans le blouson de l’homme abattu par les forces de l’ordre, jetant le trouble sur la dimension terroriste de l’agression. La section antiterroriste du parquet de Paris a attendu près de quatre heures avant de se saisir de l’enquête en flagrance, requalifiée en « tentative d’assassinat sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste ».

    Dans un communiqué, le procureur de la République de Paris, François Molins, a détaillé les raisons qui l’ont amené à saisir la section antiterroriste : la découverte sur le corps de l’assaillant d’« un papier sur lequel figurent le drapeau de Daech [acronyme arabe de l’organisation Etat islamique], une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe », et le fait que l’homme ait « exhibé son arme et crié “Allah akbar !” » avant d’être abattu.

    « Je suis Abou… »
    Selon les informations du Monde, le texte de revendication commence par une phrase en français déclinant une kounya (surnom musulman) : « Je suis Abou… » A la ligne suivante, il est fait mention d’une identité commençant par « Tarek B. » et, à la troisième ligne, de la ville de « Tunis ». La suite, rédigée en arabe, contient une allégeance à Abou Bakr Al-Baghdadi, chef de l’organisation Etat islamique, et affirme que cette attaque est une réponse aux bombardements en Syrie.

    Entrées dans le fichier automatisé des empreintes digitales, les traces papillaires de l’assaillant correspondent à une autre identité : celle d’un homme, interpellé en 2013 pour une affaire de vol en réunion à Sainte-Maxime (Var), et qui faisait depuis cette date l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. L’individu s’était alors présenté devant les gendarmes comme « Sallah Ali », sans domicile fixe, né en 1995 à Casablanca, au Maroc. Son identité n’avait jamais pu être confirmée ; l’homme ne possédait pas de papier. Son état civil ainsi que son pays d’origine diffèrent des informations contenues dans le message de revendication.
    image: http://s1.lemde.fr/image/2016/01/08/...c021d030ba.jpg

    « Fragilités psychologiques »
    Des applications en arabe et des SMS envoyés d’Allemagne ont par ailleurs été retrouvés dans le téléphone de l’assaillant du commissariat, qui contient une carte SIM allemande, attestant du passage de son propriétaire outre-Rhin. La carte était toujours en cours d’analyse jeudi soir.

    Alors que l’enquête est ouverte pour « terrorisme » et que l’identité de l’individu est encore incertaine, la ministre de la justice, Christiane Taubira, a affirmé en fin de journée sur le plateau d’i-Télé qu’« aucun lien » n’apparaissait dans le profil de cet homme avec « la radicalisation violente », évoquant même des « signes de déséquilibre » : « Nous savons que c’est une ambiance extrêmement lourde et que des personnes qui ont des fragilités psychologiques, je n’ai pas dit que c’est le cas de cette personne, mais les personnes qui ont des fragilités psychologiques peuvent agir de cette façon (…). L’enquête fera la clarté de tout ça », a-t-elle indiqué.
    La propagande de l’organisation Etat islamique a ceci de particulièrement pernicieux qu’elle ne se contente pas de coordonner des attentats élaborés. Elle incite régulièrement, par la voix des nombreux djihadistes européens ayant rejoint ses rangs, n’importe quel « frère » à « tuer des mécréants », à l’aide d’un couteau s’il le faut. Un mot d’ordre susceptible de déclencher des passages à l’acte, y compris chez des personnes suicidaires souhaitant passer à la postérité.

    lemonde.fr

  • #2
    sur Itélé
    ils ont dit que dans le le 18ème ou cet personne vit en tant que SDF
    il se disait Algérien
    donc cette personne se fait passer par Marocain, Tunisien, Algérien
    suivant les circonstances !!!

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    • #3
      donc cette personne se fait passer par Marocain, Tunisien, Algérien
      Pas de problème pour les français. Si leurs services n'arrivent pas à l'identifier, ils inscriront sur sa fiche mortuaire:

      Nom et prénom: Mouloud
      Nationalité: bougnoule.

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      • #4
        Même si c'est un fous qui a fait ça il vont la coller a l'ISLAM. alors.....:18:

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        • #5
          Même si c'est un fous qui a fait ça il vont la coller a l'ISLAM.
          Pas fou tant que ça. Le type a des tendances suicidaires mais comme le suicide est interdit en Islam, il a cru qu'en se faisant tuer de cette manière, il mourra en martyr et montera directement au Paradis rejoindre les 72 vierges qu'on lui avait promis.

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          • #6
            il a cru qu'en se faisant tuer de cette manière, il mourra en martyr et montera directement au Paradis rejoindre les 72 vierges qu'on lui avait promis.

            OUI Disant qu'il est fous de croire ainsi. ne me dites pas que l'ISLAM est responsable comme même

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            • #7
              Quelque soit sa nationalité ,c'est un maghrébin

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              • #8
                La nouvelle a déjà fait le tour du monde. Il est Marocain de naissance, une fausse ceinture explosive, armé d'un simple couteau il a foncé dans un poste de police en criant Allahou akbar. Il a été abattu. Dans ses poches, un papier affirmant qu'il était sympathisant de daech.
                C'est curieux mais ca ressemble à un suicide plus qu'à un acte de terrorisme.

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                • #9
                  C'est incroyable la légerté avec laquelle la police Française traite les identés des délinquants
                  il suffisant que lors de la première arrestation suite au vol, la personne dirait que c'est un marocain que la police le croit sans faire les vérifications nécessaires !!
                  et quelques année plus tard cette identification est sortie des fichiers de la police comme une vérité

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                  • #10
                    Il serait plutôt tunisien, né en Tunisie. Il a été reconnu par un membre de la famille de sa mère (BFM), ce qui est confirmé par le papier manuscrit retrouvé sur lui. Il s'appellerais Tarek Belkacem et aurait une trentaine d'année.

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                    • #11
                      Il avait crié , devant un commissariat :Allah Akbar .Il avait un couteau et le visage d'un bougnole; alors ça prend la peine capitale sous l'etat d'urgence !!!!
                      une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

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                      • #12
                        C'est pour le moins ahurissant, on connaît l'identité de cet individu psychopathe et pas son origine?

                        Il est Marocain (sans pour autant décrier son peuple) et l'enquête le démontrera.

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                        • #13
                          Publié le 07 janvier 2016

                          Presse CA


                          L'homme abattu par les policiers à Paris serait un itinérant marocain



                          L'homme armé d'un couteau qui a été abattu par des policiers parisiens, jeudi, a été identifié pour l'instant comme étant Ali Sallah, un itinérant marocain de 20 ans.

                          Un responsable des services de sécurité français a indiqué, sous le couvert de l'anonymat, que les autorités travaillaient «sur l'hypothèse» que l'assaillant est Ali Sallah, puisque ses empreintes digitales correspondent à celles d'un homme impliqué dans un vol survenu dans le sud de la France, en 2013.

                          Des doutes persistent parce que l'assaillant semblait avoir plus de 20 ans.

                          Ali Sallah, de Casablanca, avait dit aux autorités à l'époque qu'il était un itinérant entré en France illégalement. Les enquêteurs tentent maintenant de déterminer quand l'homme serait arrivé à Paris et s'il était hébergé quelque part.

                          Le suspect, armé d'un couteau, était à l'extérieur d'un commissariat du nord de la capitale française lorsqu'il est tombé sous les balles des policiers. L'homme, qui portait aussi une fausse veste explosive, aurait crié «Allahu Akbar» (Dieu est grand) lorsqu'il s'est approché des agents à l'entrée de l'établissement.

                          Cette attaque a été perpétrée exactement un an après qu'une tuerie dans les locaux de l'hebdomadaire «Charlie Hebdo» eut marqué le coup d'envoi d'une année sanglante dans la Ville Lumière.

                          Quelques minutes plus tôt, le président français François Hollande avait rendu hommage aux policiers morts en service, dont les trois qui ont perdu la vie lors des attentats terroristes de janvier dernier. M. Hollande se trouvait lui aussi à Paris.

                          Un représentant de la police parisienne a indiqué que l'attaque contre le commissariat était «plus probablement du terrorisme» qu'un simple geste criminel. Le bureau du procureur de Paris a d'ailleurs annoncé l'ouverture d'une enquête pour terrorisme.

                          Un téléphone cellulaire et un bout de papier portant l'emblème du groupe armé État islamique et sur lequel l'attaque était revendiquée en arabe auraient été retrouvés sur le corps de l'homme.

                          La police a bouclé le quartier de la Goutte d'Or du 18e arrondissement, dans le nord de la ville, après l'attaque. La vie a toutefois repris son cours normal quelques heures plus tard, quand le métro et les autobus ont recommencé à circuler dans le secteur. Le ministère de l'Intérieur a dit croire que l'homme avait agi seul.

                          M. Hollande avait précédemment déclaré qu'une «menace terroriste» continuerait de peser sur la France.

                          Le 7 janvier 2015, deux frères nés en France ont abattu 11 personnes dans les locaux de «Charlie Hebdo», ainsi qu'un policier musulman à l'extérieur. Au cours des deux jours suivants, un complice a abattu une policière et attaqué une épicerie casher, tuant quatre otages. Les trois individus ont éventuellement été tués.

                          Lors d'un discours prononcé devant la police, M. Hollande a rappelé que la menace demeurait élevée, même si son gouvernement adopte de nouvelles lois et rehausse la sécurité. Il a notamment appelé à une surveillance accrue des citoyens «radicalisés» qui ont rejoint les rangs du groupe armé État islamique ou d'autres organisations en Syrie ou en Irak avant de rentrer au pays.

                          «(Nous devons pouvoir) astreindre ceux-là et seulement ceux-là à certaines obligations et envisager, si nécessaire, une assignation à résidence pour une durée limitée, car ils sont par définition dangereux», a dit le président français.

                          M. Hollande a ajouté que les policiers qui meurent en devoir le font afin que «nous puissions vivre libres».

                          Après les attaques de janvier, le gouvernement avait annoncé son intention de fournir un meilleur équipement aux policiers et d'embaucher davantage d'agents du renseignement.

                          La France est sur le qui-vive depuis qu'elle a de nouveau été frappée le 13 novembre, quand des extrémistes apparemment associés au groupe État islamique ont tué 130 personnes dans une salle de spectacles, des bars et des restaurants.





                          ................................................

                          Commentaire


                          • #14
                            Publié le 07 janvier 2016

                            Presse CA


                            L'homme abattu par les policiers à Paris serait un itinérant marocain


                            L'homme armé d'un couteau qui a été abattu par des policiers parisiens, jeudi, a été identifié pour l'instant comme étant Ali Sallah, un itinérant marocain de 20 ans.
                            Ça c'était le 07 janvier, c'est à dire HIER. Aujourd'hui, on est le 08 janvier:



                            Nouvelle piste

                            Publié le 8 Janvier 2016

                            Attaque du commissariat de Paris : l'assaillant s’appellerait finalement Tarek Belkacem

                            L'homme serait de nationalité tunisienne et aurait immigré en France, selon une de ses cousines vivant en Tunisie qui aurait reconnu l’assaillant. Elle aurait 'elle même contacté la police judiciaire parisienne.


                            Atlantico.fr

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                            • #15
                              il s appellerait tarek belgacem selon ses proches qui l on reconnu
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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