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L'Algérie de Boumediène était-elle mieux que l'actuelle?

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  • L'Algérie de Boumediène était-elle mieux que l'actuelle?

    Il s'agit d'une question dont les chibanis (valeureux au demeurant) se doivent nous renseigner en mal ou en bien.

    Et merci à eux.

  • #2
    perso nous mangeions bien nous nous amusions bien

    et pendant le ramadan les bars restos etaient ouverts les filles etaient en mini jupes les gars en pas deph et nous sentions le ploum ploum sous l oeil bienveillant des vieux
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      " perso nous mangeions bien nous nous amusions bien" (SOLAS)

      Donc, vous aviez connu cette époque? Alors contez-nous?

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      • #4
        a sa mort je n avais que 18 ans .. meme si les grands au salon y avait des pour et des contre beaucoup de contre je crois mais ca ne durer que le temps de la fin des effluves de pelure d oignons ..
        Dernière modification par nacer-eddine06, 08 janvier 2016, 21h14.
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #5
          " a sa mort je n avais que 14 ans .." (Solas)

          C'est-à-dire trop jeune pour témoigner?

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          • #6
            a 18 ans je passais comme meme mon bac pas si jeune que ca
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #7
              L'Algérie de Boumédiène était un enfer de creve-faim, une vaste prison en plein air.
              Allah la yroudha !
              La seule chose de positif, les villes n'étaient pas surpeuplées et la circulation automobile plus que fluide.
              Dernière modification par Bachi, 08 janvier 2016, 21h33.

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              • #8
                "
                L'Algérie de Boumédiène était un enfer de creve-faim, une vaste prison en plain air.
                Allah la yroudha !
                La seule chose de positif, les villes n'étaient pas surpeuplées et la circulation automobile plus que fluide." Bachi.

                Merci à vous et, secrètement, j'attendais votre implication dans le sujet.

                Avec l'impression, sans doute erronée certainement, en 1977, j'avais découvert, apparemment une Algérie joyeuse où la Madrague (Aïn-Benian) il régnait un bon "vent" faisait plaisir à vivre.
                Dernière modification par rago, 08 janvier 2016, 21h32.

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                • #9
                  L'Algérie de Boumediène était-elle mieux que l'actuelle?
                  Les mêmes causes engendrent logiquement les mêmes effets, sans différence aucune. Choisir avec quoi mourir, ne change rien à la mort !
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                  • #10
                    " a 18 ans je passais comme meme mon bac pas si jeune que ca" (SOLAS)

                    C'est tout à votre honneur.

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                    • #11
                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=310347

                      Billet de Maamar Farah:
                      Je respecte le docteur Saïd Sadi et je trouve hardie son entreprise de vouloir réhabiliter la mémoire du lion du Djurdjura. Rendre sa véritable place à Amirouche relève de la légitime récupération de notre mémoire collective. Mais faut-il que cela passe par l’atteinte à la mémoire d’autres patriotes qui ont laissé leur empreinte dans l’œuvre d’édification du pays ?
                      «Boumediene est derrière la mort symbolique d’Amirouche» : je n’ai rien pu tirer de cette sentence qui frise l’absurde. Amirouche est tombé au champ d’honneur. Comment peut-il mourir alors symboliquement, par la faute d’un homme qui n’a pas voulu passer par les armes l’auteur d’une tentative d’assassinat qui le visait (1967) ? Faut-il rappeler aussi que Boumediene s’est élevé contre ceux qui voulaient tuer Ben Bella en 1965.
                      Ces deux attitudes prouvent, mieux que tous les discours, que l’homme n’a jamais été un assassin. Je n’ai pas le poids politique, ni l’aura du président du RCD, mais qu’il me permette, à mon tour, de défendre la mémoire d’un homme intègre qui a consacré toute sa vie à sa seule passion : l’Algérie. Faut-il le tuer, lui aussi, «symboliquement» ?
                      Maâmar Farah

                      Réponse de Said Sadi

                      Mon cher Mâamar
                      J’ai lu ton billet ce jour et à la vérité, je l’attendais un peu. S’agissant du règne et des méthodes de Boumediene qui compte encore, je le sais, des nostalgiques, nous devons, toi et moi, assumer des opinions incompatibles. Il te suffira de lire la préface de mon livre pour connaitre ma position et ma conception d’appréhender notre patrimoine historique.
                      Je ne voudrais pas polémiquer avec toi mais je ne résiste pas à l’envie de te dire que si tu admets qu’il faut ‘’réhabiliter’’ Amirouche ; c’est bien par ce que son combat et sa mémoire ont été quelque peu dégradés. Si tel est le cas, Boumediene fut, sur ce registre comme sur de nombreux autres - il faudra en convenir - le chef d’orchestre d’une dérive politique et symbolique qui nous accable toujours.
                      Tu peux défendre Boumediene, j’ai une appréciation différente sur son pouvoir et ses conséquences.
                      Essayons simplement de dire les choses en âme et conscience, sans avoir à juger.
                      Pour ce qui me concerne, cet échange, bien au contraire, ne m’empêche pas de te garder toute mon affection.
                      Bien à toi.
                      Alger, le 29 mars 2010


                      Posté par rcd1989 le 29 mars 2010
                      Dernière modification par nacer-eddine06, 08 janvier 2016, 21h37.
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                      • #12
                        Il n'a pas tort Maamar Farrah, l'Algérie partait de très loin. Boumediene ne pouvait faire de miracles.
                        Mais perso, je trouvais son règne lourd, très lourd, trop de dictature, trop d'arbitraire, trop de bureaucratie, trop de médiocrité dans presque tout.

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                        • #13
                          C'est quand même lui qui a donné des postes importants aux déserteurs de l'armée Française

                          Commentaire


                          • #14
                            @ Bachi: Contrairement à tous les présidents algériens qui lui ont succédé, Boumediène, indéniablement "dictateur"mais humble, ne reflétait-il pas les caractéristiques algériennes?

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                            • #15
                              de son temps, l'Algérien était un être très naïf, hchicha talba maicha...

                              Je me demande maintenant, 50 ans plus tard, comment ce peuple a-t-il pu être aussi révolutionnaire.

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