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**nassim** · 12 janvier 2016, 00h00

La situation devient de plus en plus inquiétante!

La loi de finances 2016 prévoit déjà un déficit de 13% avec un baril de pétrole à 37 dollars. Avec un baril à moins de 32 dollars, il n'y aura plus aucun centime dans le FRR en 2017!

Au lieu de profiter de la manne financière des années passées pour moderniser l'Algérie et son économie pour réduire sa dépendance au pétrole, les maffieux du régime algérien gaspillaient l'argent public comme un ivrogne qui gagne le loto et va gaspiller son argent dans des casinos.

**Focus** · 12 janvier 2016, 06h59

le baril est a 30.60$ a l'instant, le passage sous les 30$ n'est qu'une question de temps. Les tensions saoudo-iranienne eloigne l'optique d'une entente de l'opep, la crise chinoise eloigne l'optique d'un retour de la demande.

Effectivement beaucoup de conclusion doivent etre tirées.

**amarlekabyle** · 12 janvier 2016, 07h51

Salam

Pourquoi changer une équipe qui gagne?
Je me souviens, l'Algérie ci, l'Algérie ça...
A part Hamoud Boualem, qu'est-ce qui a vraiment évoluer...
Ils ont rogné la rente pétrolière...

**Cicino** · 12 janvier 2016, 08h39

nadiabeille

il y a de celà quelques mois, j'etais sur facebook connecté sur le compte de la belle journaliste algerienne Khadidja ben guena.
elle ne voulait pas me dire ce que attendait l'algerie.. je n'avais de cesse à la questionner mais elle ne voulait rien dire.
bizarre la khadidja, elle aurait due etre plus patriotique.
on s'en fout du nationalisme algerien.
vive l'amour des siens.
peut etre que d'autres forumistes pourront lui faire cracher le morceau.. elle voulait rien me dire.

peut être parce qu'elle ne sait rien et ne fait que suivre son intuition de journaliste d'aljazeera.

**m.rico** · 12 janvier 2016, 10h49

Le président de l'Opep veut une réunion extraordinaire sur les cours début mars
mardi 12 janvier 2016 09:37 Écrit par Cours du baril ImprimerE-mail
Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP).

prix du petrole abou dhabiAbou dhabi: Le président de l'Opep a déclaré mardi souhaiter une réunion extraordinaire du cartel début mars pour examiner la dégringolade des prix du pétrole.

Lors d'une conférence à Abou Dhabi, Emmanuel Ibe Kachikwu, également ministre d'Etat nigérian pour les Ressources pétrolières, a estimé nécessaire une réunion extraordinaire du cartel sur les cours qui ont atteint leur plus bas niveau en 12 ans.

"Nous avions dit que si le (prix) atteignait 35 (dollars le baril), nous commencerions à examiner la convocation d'une réunion extraordinaire", a-t-il dit.

Mardi matin, le cours du baril de "light sweet crude" (WTI) est tombé sous les 31 dollars, un plus bas de 12 ans, en raison de l'excès d'offre, de l'appréciation du dollar et de la demande morose.

Le baril WTI pour livraison en février reculait mardi matin de 45 cents à 30,96 dollars vers 03H00 GMT dans les échanges électroniques en Asie.

Le baril de Brent, référence européenne du brut, également pour livraison en février, cédait 47 cents à 31,08 dollars.

Le WTI n'avait plus été si bas depuis décembre 2003, le Brent depuis avril 2004.

Les cours de l'or noir ont plongé de 10% la semaine dernière alors que les investisseurs s'inquiètent de l'excès d'offre et de la faiblesse de l'économie chinoise, première consommatrice de pétrole.

Mais le président de l'Opep a souligné qu'il fallait encore vérifier la disposition de tous les Etats membres, parmi lesquels figurent les exportateurs menés par l'Arabie saoudite, qui ont refusé jusqu'ici de réduire la production afin de conserver leurs parts du marché.

"Je n'ai pas encore beaucoup parlé avec les ministres du Pétrole" de l'Opep, a-t-il dit, reconnaissant que les membres du cartel divergeaient sur la nécessité d'intervenir pour redresser les cours.

"Un groupe sent la nécessité d'intervenir. Un autre pense que même si on le fait, on ne représente que 30 à 35% de la réalité du marché" pétrolier, a déclaré le président de l'Opep.

"65% du marché sont hors des mains de l'Opep et à moins d'avoir ceux qui représentent ces 65% à la table des négociations on ne peut pas changer fondamentalement" la donne du marché, a-t-il reconnu.

**LIXUS** · 12 janvier 2016, 10h56

En même temps, je me demande comment on peut laisser des producteurs s'entendre sur les prix. Dans n'importe quel pays, dans d'autres domaines, les ententes sur les prix venant d'un oligopole sont interdites.

Quand ce sont des industriels qui s'entendent pour vendre tel produit au même prix, les autorités européennes ou américaines (quand ils sont de ces régions) les sanctionnent.

**hakimcasa** · 12 janvier 2016, 10h58

Le président de l'Opep veut une réunion extraordinaire sur les cours début mars

Le président de l'OPEP appelle à cette réunion en tant que président de l'OPEP mais en réalité c'est parce que ce président est nigérian et parce que son pays, le Nigeria souffre terriblement de la chute du prix des hydrocarbures.

Les pays du Golfe n'ont aucun intérêt à ce que les prix remontent. Cela leur fera perdre des marchés aux profit des américains et des pays producteurs de pétrole mais non-membres de l'OPEP.

**m.rico** · 12 janvier 2016, 11h01

Envoyé par hakimcasa Voir le message

Le président de l'OPEP appelle à cette réunion en tant que président de l'OPEP mais en réalité c'est parce que ce président est nigérian et parce que son pays, le Nigeria souffre terriblement de la chute du prix des hydrocarbures.

Les pays du Golfe n'ont aucun intérêt à ce que les prix remontent. Cela leur fera perdre des marchés aux profit des américains et des pays producteurs de pétrole mais non-membres de l'OPEP.

le role du president est de trouver une date qui arrange tout le monde et envoyer les invitation, la suite c'est l'arabie qui s'en occupe

**jawzia** · 12 janvier 2016, 11h34

Quand ce sont des industriels qui s'entendent pour vendre tel produit au même prix, les autorités européennes ou américaines (quand ils sont de ces régions) les sanctionnent.

Ils ne s'entendent pas sur les prix. Ils n'en ont pas la faculté.

Ils s'entendent sur les niveaux de production et les quotas respectifs. Et cette fois, l'arabie devra reflechir par deux fois : Le déficit qui les affecte devient insupportable et les USA envisagent des sanctions économiques si l'arabie persiste à inonder les marchés. A suivre donc !!

**nacer-eddine06** · 12 janvier 2016, 11h59

JE pense que l opep doit continuer a innonder le marche si l on veut avoir un baril stable de 120 a 150 usd a partir de 2018

cette annee on assistera a la ruine en cascade de presque tout les operateurs qui se sont aventures dans le petrole de schiste

en mer du nord il n ya que la norvege qui pourra tenir avec un baril 15 usd

**hakimcasa** · 12 janvier 2016, 12h01

Ils ne s'entendent pas sur les prix. Ils n'en ont pas la faculté.

Ils s'entendent sur les niveaux de production et les quotas respectifs.

Cela revient au même.

Mais sinon, l'OPEP ne peut rien décider. 65% du marché échappe à son contrôle.

**m.rico** · 12 janvier 2016, 12h02

cette annee on assistera a la ruine en cascade de presque tout les operateurs qui se sont aventures dans le petrole de schiste

les puits ne disparaitront pas, ils changeront de mains c'est tout

**jawzia** · 12 janvier 2016, 12h03

Cela revient au même.

L'entente sur les quotas de production n'enfreint aucune règle. Celle des prix, ... SI.

**hakimcasa** · 12 janvier 2016, 12h05

L'entente sur les quotas de production n'enfreint aucune règle. Celle des prix, ... SI.

Admettons ! Mais le résultat est le même.

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