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Accident thérapeutique à Rennes. Un produit à base de cannabis en cause

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  • Accident thérapeutique à Rennes. Un produit à base de cannabis en cause

    Rennes
    le 15/01/2016 à 13:23

    Un homme a été déclaré en état de mort clinique ce vendredi matin après avoir testé une molécule dans le cadre d’un essai thérapeutique conduit par un laboratoire privé.

    L'essai porterait sur un produit analgésique à base de cannabis dans un centre de recherche agréé par le ministère de la Santé. Le parquet aurait ouvert une enquête en flagrance et a indiqué qu'il donnerait rapidement de plus amples informations, toujours selon plusieurs médias.

    Cinq autres personnes ont été également hospitalisées, en début de semaine. Leur état de santé est jugé inquiétant.

    Alertée, la Ministre de la santé, Marisol Touraine, a pris la décision de se rendre en urgence à Rennes où elle tiendra une conférence de presse au centre hospitalier universitaire de Pontchaillou ce vendredi à 14h30.

    Ouest France

  • #2
    l'inhalation est le seul voie d'administration conseillé par les beznassa, nous declinons toute responsablité suite aux utilisations hasardeuses....
    "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
    Johann Wolfgang von Goethe

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    • #3
      Accident thérapeutique à Rennes. Un produit à base de cannabis en cause
      j'imagine que l'info est censée prouver à quel point il est donc logique d'interdire la consommation et la commercialisation de cette herbe similaire au tabac ...
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        Sur que c'est de la contrefaçon. La chine n'a rien laissé.

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        • #5
          j'imagine que l'info est censée prouver à quel point il est donc logique d'interdire ...
          ... ou de se méfier des cannabinoides !! Une salo perie de drogue, restera une ***

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          • #6
            C'est ça le risque de participer aux essais cliniques, sachant que tous ces risques sont mentionnés dans le consentement éclairé que les participants souvent volontaires signent avant de commencer l'épreuve ..

            Aprés la gravité de la toxicité varie d'un sujet à un autre, on métabolise pas les molécules de la meme maniére, la preuve est là, un sujet sombre dans le coma, d'autres non !!

            A noté que beaucoup y participent car sont payés, généralement c'est des étudiants !! et tous les médicaments avant leurs commercialisations passent par cette épreuve (les tests sur l'humain)

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            • #7
              C'est ça le risque de participer aux essais cliniques,
              Il y a eu des précédents en France qui ont conduit à une mort cérébral et cinq états critiques ? NON.

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              • #8
                L'inhalation est la seule voie conseillé par les beznassas.
                m.rico
                Mdr

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                • #9
                  Il y a eu des précédents en France qui ont conduit à une mort cérébral et cinq états critiques ? NON.
                  Avec ce NON ecrit en gros comme ça, tu as l'air bien sur de toi ... et pourtant !!
                  Oui il y a eu des accidents qui ont nécessite des hospitalisations, ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle ESSAI d'ailleurs ...
                  et puis on aurait aimé connaitre la phase de l'essai !!
                  et puis y a eux des accidents et des décès même après que le médicament soit mis sur le marché, et la aussi les exemples ne manquent pas !!
                  le reste c'est l’enquête qui va nous le dire ..

                  Commentaire


                  • #10
                    Avec ce NON ecrit en gros comme ça, tu as l'air bien sur de toi ... et pourtant !!
                    Parce que j'ai écouté les mêmes infos de BFM que tu as transcris dans ton message. Dans les mêmes infos, il a été mit l'accent sur le fait que c'est "sans précédent" (de cette envergure pour une phase 1).

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                    • #11
                      J'ai transcrit quoi dans mon message ?? je te suis pas là !!
                      et pourquoi tu t'énerves ??

                      de cette envergure ? ça veut dire quoi au juste, y a eu 2 et pas 3, 4 et pas 5 ??
                      que dire des essais qui se font dans les pays pauvres ou personne ne sait ce qu'on leur donne ?? ou les labo font des essais sur des enfants alors que c'est éthiquement interdit !!
                      y a eu des antécédents, et beaucoup meme, mais on le cache bien, y a de l'argent a faire avec les labo pharmaceutiques !!

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                      • #12
                        l'inhalation est le seul voie d'administration conseillé par les beznassa, nous declinons toute responsablité suite aux utilisations hasardeuses....
                        MDR !

                        Sinon ce topic doit être dans la rubrique "santé". oeilfermé

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                        • #13
                          Wikipedia
                          "Les cannabinoides sont un groupe de substances chimiques qui activent les récepteutrs cannabinoïdes présents dans le corps humain et chez les mammifères.
                          Le premier cannabinnoïde découvert fût le tétrahydrocannabitol. Viennent ensuite la découverte ducannabitol et des autres cannabinoïdes. Ces découvertes ont été initiées et effectuées dans les années 1960 par le professeur Raphael Mechoulam , chercheur israélien. Il existe environ 100 différents cannabinoïdes présents dans la plante de cannabis et des chercheurs dans le monde entier étudient actuellement leurs potentiels effets thérapeutiques et leurs mécanismes de fonctionnement dans le corps humain.
                          Il existe trois types de cannabinoïdes :
                          • les cannabinoïdes végétaux (phytocannabinoïdes), présents dans les cannabis sp ou produits de la dégradation du tétrahydrocannabinol ;
                          • les cannabinoïdes endogènes (endocannabinoides) sécrétés par certains organismes (humain ou animal) ;
                          • les cannabinoïdes synthétiques, élaborés en laboratoires."

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                          • #14
                            D'après la ministre de la santé il n'y aucun dérivé du cannabis.

                            liberation 15janvier 2015

                            "Six personnes ont été hospitalisées au CHU de Rennes après avoir participé à des essais cliniques dans le laboratoire Biotrial. L'une d'entre elles est dans un état de mort clinique.

                            • Test thérapeutique à Rennes : un accident d'une «exceptionnelle gravité»

                            Ce vendredi matin, peu après 11 heures, le ministère de la Santé informe via un communiqué de presse de la «survenue d’un accident grave dans le cadre d’un essai clinique de phase 1» mené par la société Biotrial à Rennes. Une personne ayant participé au test est en état de mort cérébrale, et cinq autres personnes sont également hospitalisées au CHU de Rennes. «Elles sont dans état grave mais leur pronostic vital n’est pas engagé», indique à Libération une source au ministère de la Santé. Tous les volontaires ayant participé au test sont en train d’être rappelés. Quel était cet essai clinique ? Quel était le médicament testé, par quel laboratoire ? La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a tenu une conférence de presse entre 15h30 et 16h30 ce vendredi après-midi au CHU de Rennes. Voici ce que l’on sait.
                            Combien de personnes sont concernées?

                            Pour l'heure, six hommes, âgés de 28 à 49 ans et venant de Bretagne et de Mayenne, sont hospitalisés. «L’un d’entre eux dans un état de mort cérébrale. Sa dégradation a été tellement rapide que nous avons d'abord pensé à un AVC», raconte Gilles Edan, chef du pôle neurologique du CHU de Rennes, lors de la conférence de presse vendredi. «Quatre autres souffrent de troubles neurologiques, et un est sous surveillance, poursuit Gilles Edan. Aujourd'hui, l’antidote n’est pas connu. Trois d'entre eux pourraient avoir des lésions neurologiques irreversibles.»
                            A ce jour, 90 personnes ont testé ce médicament, à des doses variables. Les personnes touchées faisaient partie du groupe ayant reçu les doses les plus élevées. L'essai devait concerner au total 128 hommes et femmes, entre 25 et 55 ans. Les premiers symptomes ont été repérés le 10 janvier, trois jours après la prise du médicament. Le 11, l'essai thérapeutique a été suspendu. Tous les volontaires ayant participés à l'étude sont en train d'être rappelés pour faire des examens, dont un IRM. Un numéro d'informations a été mis en place: 02 99 28 24 47.
                            Qu’est-ce qu’un essai thérapeutique de phase 1 ?

                            Un essai thérapeutique a pour but de tester un nouveau médicament. Deux cas de figure : soit il existe déjà des traitements pour la maladie en question, et dans ce cas, on fait un essai en comparant avec le(s) traitement(s) utilisé(s). Soit il n’existe aucun traitement, et l’essai consiste à comparer avec un placébo (qui ressemble à un médicament mais qui n’en est pas un).
                            La procédure répond à un cadre réglementaire très précis. Il y a d’abord une phase «préclinique» : les molécules sont alors testées en laboratoire. En l'occurence, le médicament mis en cause a été testé sur «plusieurs animaux, dont des chimpanzés», a indiqué la ministre.
                            Puis, commence un essai thérapeutique sur des patients volontaires, en quatre phases. La phase 1, explique l'Inserm sur son site internet, est menée sur un petit nombre de personnes volontaires et non malades. Il s’agit de «la première administration du médicament chez l’homme pour évaluer les caractéristiques d’une molécule», a expliqué la ministre. Cette phase consiste à étudier «l’évolution de la molécule testée dans l’organisme en fonction du temps (cinétique) et analyse de la toxicité sur l’être humain». Il existe environ un millier d’essais thérapeutiques en cours en France, réalisés par des industries pharmaceutiques ou des organismes publics de recherche.
                            Quel est ce laboratoire ?

                            Biotrial est un laboratoire privé, agréé par le ministère de la Santé. Il réalise depuis plus de vingt ans à Rennes des études pharmaceutiques pour le développement de nouveaux médicaments (traitement de la douleur, de la maladie d’Alzheimer, antibiotiques, etc.). Les participants sont indemnisés entre 100 et 4500 euros. Le laboratoire mènerait plus de 80 études par an en moyenne, selon son site internet, et n’avait jusqu’ici «jamais recensé d’accidents graves», selon une source au ministère de la Santé. «Ce laboratoire est connu pour le sérieux des études qu'il mène», a affirmé la ministre. L'étude en cause était conduite pour le compte d'un laboratoire portugais, Bial.
                            Les tests sont normalement menés après un examen médical et sont soumis à l’avis d’un comité de protection des personnes, ainsi qu’à l’autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.
                            Quel est le médicament testé ?

                            On ne connaît pas encore son nom. Dans un premier temps présenté comme un antalgique, cette molécule est en fait un régulateur d'humeur. Ce médicament vise à traiter les troubles liés aux maladies neurodégénératives, à l'anxiété ou aux troubles de l'humeur.
                            Le médicament en question «joue sur des récepteurs très particuliers», décrit une source au ministère de la Santé. Contrairement à ce qui a été annoncé ce matin par certains médias, il ne contient pas de cannabis ou de dérivés du cannabis. La ministre l'a confirmé lors de la conférence de presse: «Ce médicament ne contient pas de cannabis mais il agit sur le système endocannabinoïde».
                            Y a-t-il des précédents ?

                            C’est un accident «d'une exceptionnelle gravité», a déclaré Marisol Touraine. «Je n’ai connaissance d’aucun événement comparable. C’est inédit», a-t-elle encore dit, quelques minutes après avoir rencontré les familles des victimes. «Les volontaires sont des personnes saines, qui ne sont pas malades et qui ne s’attendent pas à être confrontés à ce genre d’accident. L’engagement dans les essais thérapeutique est important, elles n’ont donc en aucun cas à se sentir coupable.»
                            La ministre a saisi l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) «afin de mener une inspection sur le respect de la réglementation en vigueur: la réalisation des essais cliniques, le lieu, le recrutement des volontaires, les conditions d'administration du médicament...» Des inspecteurs seront sur place dès demain samedi, et leurs conclusions devraient être rendues d'ici la fin du mois. Une enquête a par ailleurs été ouverte par le pôle de santé publique du parquet de Paris."

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                            • #15
                              D'après la ministre de la santé il n'y aucun dérivé du cannabis.
                              Du coup, ce fil devient subitement moins intéressant si on ne peut même pas impliquer le Maroc d'une façon ou d'une autre...

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