Mirou
Chef incontesté des salafistes en manque d’inspiration, Youssef Al Kardaoui, occupe le haut du podium de la secte des assassins s’activant un peu partout dans le monde. Ses apparitions fréquentes et ses interventions ne tarissent pas de fatwas véhémentes depuis le conflit de l’Irak et de la Syrie, des décrets religieux appelant explicitement au meurtre de ses propres coreligionnaires, au viol systématique et au pillage en règle. Al Kardaoui tire tout sur ce qui bouche avec une adresse diabolique.
Il est pour les uns, le complice indiscuté des pétromonarchies arabes en quête d’hégémonie et pour le autres - l’Otan et Israël - pour ne pas les nommer, un second couteau indispensable et précieux pour mettre main basse sur des richesses difficiles d'accès.
Ce mufti moribond n'est pas ce grand père paisible et doux comme les autres papis, mais ce vampire hideux qui se réjouit du meurtre, qui se délecte du sang des autres et qui s'exalte à la vue de la mort. On dit qu'il a un faible pour les fetwas régicides, qu'il aime les visions cauchemardesques des gens en exil et qu'il admire le pillage autant qu'il aime le viol.
Mais, le plus dramatique dans son parcours d’illuminé, est que ce monstre a causé une souillure abominable à l’adresse d’une religion qui a rayonné des siècles durant par ses messages de paix et de tolérance, par ses sciences et son savoir... A cette époque, les Al-Kardaoui, les vrais, aimaient Dieu avec une admirable dimension et ne connaissaient dans leurs paroles pas une once de méchanceté.
Que c’est dommage !
Chef incontesté des salafistes en manque d’inspiration, Youssef Al Kardaoui, occupe le haut du podium de la secte des assassins s’activant un peu partout dans le monde. Ses apparitions fréquentes et ses interventions ne tarissent pas de fatwas véhémentes depuis le conflit de l’Irak et de la Syrie, des décrets religieux appelant explicitement au meurtre de ses propres coreligionnaires, au viol systématique et au pillage en règle. Al Kardaoui tire tout sur ce qui bouche avec une adresse diabolique.
Il est pour les uns, le complice indiscuté des pétromonarchies arabes en quête d’hégémonie et pour le autres - l’Otan et Israël - pour ne pas les nommer, un second couteau indispensable et précieux pour mettre main basse sur des richesses difficiles d'accès.
Ce mufti moribond n'est pas ce grand père paisible et doux comme les autres papis, mais ce vampire hideux qui se réjouit du meurtre, qui se délecte du sang des autres et qui s'exalte à la vue de la mort. On dit qu'il a un faible pour les fetwas régicides, qu'il aime les visions cauchemardesques des gens en exil et qu'il admire le pillage autant qu'il aime le viol.
Mais, le plus dramatique dans son parcours d’illuminé, est que ce monstre a causé une souillure abominable à l’adresse d’une religion qui a rayonné des siècles durant par ses messages de paix et de tolérance, par ses sciences et son savoir... A cette époque, les Al-Kardaoui, les vrais, aimaient Dieu avec une admirable dimension et ne connaissaient dans leurs paroles pas une once de méchanceté.
Que c’est dommage !
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