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Avec le retour de l’Iran sur le marché pétrolier, l’Arabie saoudite reçoit le premier contre coup sur son marché boursier qui accuse aujourd’hui, une chute de 6,5%, perdant, plus de 300 points juste quelques minutes après l’ouverture du marché.
Les autres bourses des monarchies du Golf ont subit le même sort à un degré moindre, notamment pour Dubai et Qatar qui ont reculé de prés de 5% et ce, dés l’annonce de ce retour tant redouté. La levée des sanctions internationales sur l’Iran et qui est entrée en vigueur depuis samedi, a provoqué une baisse considérable des actions de 167 sociétés cotées en bourse Tadawul de l’Arabie Saoudite, considérée comme la plus importante du monde arabe et capitalise prés de 31 milliards de dollars.
Le retour de l’Iran sur le marché pétrolier déjà fragilisé par la dégringolade des prix des cours de brut, a fait chuté d’autres bourses aussi importante comme celle de Dubai et Qatar qui sont restés au dessus des points exigés avec tous les secteurs en rouge. La même situation a été remarquée dans les bourses du Kuwait avec un recul de 2,4%, Oman 1,5% et Bahrein 0,3%.
La chute des prix du pétrole a concouru fortement dans la baisse des bourses des pays du Golfe, notamment celle de l’Arabie Saoudite, depuis la fin de l’année 2015.Il est à noter que le pétrole contribue à plus de 80%, aux revenus de ces pays monarchiques et il a reculé, sous la barre de 30 dollars de 20%, depuis le début de l’année 2016.
De son coté, l’Iran fait savoir qu’aucune concession sur sa production qui débute avec la mise sur le marché de 500 000 barils par jour, pour atteindre 1 million, d’ici la fin de l’année, alors que son rival l’Arabie Saoudite continue de dicter les prix à l’Opep et refuse de réduire sa production qui est de plus de 10 millions de barils/jour, même si cette situation a eu des conséquences graves sur son budget.
(c) L'Econews 18 Jan 2016
Les autres bourses des monarchies du Golf ont subit le même sort à un degré moindre, notamment pour Dubai et Qatar qui ont reculé de prés de 5% et ce, dés l’annonce de ce retour tant redouté. La levée des sanctions internationales sur l’Iran et qui est entrée en vigueur depuis samedi, a provoqué une baisse considérable des actions de 167 sociétés cotées en bourse Tadawul de l’Arabie Saoudite, considérée comme la plus importante du monde arabe et capitalise prés de 31 milliards de dollars.
Le retour de l’Iran sur le marché pétrolier déjà fragilisé par la dégringolade des prix des cours de brut, a fait chuté d’autres bourses aussi importante comme celle de Dubai et Qatar qui sont restés au dessus des points exigés avec tous les secteurs en rouge. La même situation a été remarquée dans les bourses du Kuwait avec un recul de 2,4%, Oman 1,5% et Bahrein 0,3%.
La chute des prix du pétrole a concouru fortement dans la baisse des bourses des pays du Golfe, notamment celle de l’Arabie Saoudite, depuis la fin de l’année 2015.Il est à noter que le pétrole contribue à plus de 80%, aux revenus de ces pays monarchiques et il a reculé, sous la barre de 30 dollars de 20%, depuis le début de l’année 2016.
De son coté, l’Iran fait savoir qu’aucune concession sur sa production qui débute avec la mise sur le marché de 500 000 barils par jour, pour atteindre 1 million, d’ici la fin de l’année, alors que son rival l’Arabie Saoudite continue de dicter les prix à l’Opep et refuse de réduire sa production qui est de plus de 10 millions de barils/jour, même si cette situation a eu des conséquences graves sur son budget.
(c) L'Econews 18 Jan 2016