La situation sur le marché pétrolier ne s’améliore pas. Ce mercredi vers 9h45, le Brent (référence pour le pétrole algérien) a franchi en baisse le seuil des 28 dollars à la Bourse de Londres. Depuis le début de l’année, le baril a perdu plus de 25% de sa valeur, revenant à ses niveaux du début des années 2000.
Conséquence de cette chute, les Bourses asiatiques et européennes broient du noir. La Bourse de Tokyo a chuté de 3,71%. En Europe, les principaux indices sont en forte baisse ce matin : -3,70 pour le CAC 40 (France), -3,15 pour le DAX (Allemagne) et -3,11 pour l’Euro Stoxx (l’indice européen élargi).
Selon des traders cités par l’agence Reuters, cette baisse est liée aux décisions de certains fonds souverains réduisant leur exposition aux actifs risqués en raison de la nécessité de générer des liquidités face à la perte de valeur des réserves pétrolières.
C’est probablement le cas de certains fonds du Moyen-Orient qui se délestent de titres de référence tels que Sony ou Softbank, disent des intervenants, cités par la même source.
Comme l’Algérie, de nombreux pays pétroliers, notamment ceux du Golfe, sont confrontés à des déficits budgétaires colossaux du fait de la baisse des prix du pétrole. Pour équilibrer leurs budgets, ces pays cèdent des actifs acquis au moment de l’euphorie pétrolière.
© TSA 20/01/2016
Conséquence de cette chute, les Bourses asiatiques et européennes broient du noir. La Bourse de Tokyo a chuté de 3,71%. En Europe, les principaux indices sont en forte baisse ce matin : -3,70 pour le CAC 40 (France), -3,15 pour le DAX (Allemagne) et -3,11 pour l’Euro Stoxx (l’indice européen élargi).
Selon des traders cités par l’agence Reuters, cette baisse est liée aux décisions de certains fonds souverains réduisant leur exposition aux actifs risqués en raison de la nécessité de générer des liquidités face à la perte de valeur des réserves pétrolières.
C’est probablement le cas de certains fonds du Moyen-Orient qui se délestent de titres de référence tels que Sony ou Softbank, disent des intervenants, cités par la même source.
Comme l’Algérie, de nombreux pays pétroliers, notamment ceux du Golfe, sont confrontés à des déficits budgétaires colossaux du fait de la baisse des prix du pétrole. Pour équilibrer leurs budgets, ces pays cèdent des actifs acquis au moment de l’euphorie pétrolière.
© TSA 20/01/2016
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