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AgriMaroc.ma 9 janvier 2016 Actu Maroc,
Le Plan anti sécheresse coûtera entre 1,5 et 2 MMDHLe plan d’urgence anti-sécheresse sera finalisé dans quelques jours, a fait savoir une source gouvernementale, annonçant que ce plan mobilisera une enveloppe budgétaire de 1,5 à 2 milliards de Dirhams. La vision pourrait maintenant être plus claire après les premières pluies de l’année 2016, permettant un diagnostic approfondi de la situation.
Ce Plan d’urgence anti-sécheresse ne serait pas classique. Il concerne aussi bien les grandes cultures, l’arboriculture fruitière et le maraîchage avec la mise en place de certaines mesures au profit de l’agriculteur en matière d’irrigation en cas de besoin et selon des conditions posées pour pouvoir profiter de ces aides dans le cadre dudit plan. Parmi ces exigences, la zone doit être déclarée sinistrée. Et en fonction du taux de sinistralité se fera le calcul des niveaux d’aides.
A rappeler que dans un article publié le 4 janvier 2016, AgriMaroc.ma a rapporté que la Mamda va couvrir un risque de 1,2 milliards de DH et que les décaissements se feront en fonction des sinistres et autres critères cités en détails dans l’article.
Ahmed Ouayach, président de Comader (Confédération marocaine de l’Agriculture et du Développement Rural) a indiqué qu’il va falloir revoir l’échéancier des dettes des agriculteurs et leur donner des aides directes quand l’année n’est pas satisfaisante pour les petits agriculteurs. La subvention des aliments de bétail devrait aussi avoir lieu. L’élevage en parcours est particulièrement affecté par l’absence de pluviométrie.
L’anti-sécheresse semble devenir une stratégie importante pour les années à venir si l’on en croit différents experts qui font état d’un alarmisme général logique et inévitable.
Le Plan anti sécheresse coûtera entre 1,5 et 2 MMDHLe plan d’urgence anti-sécheresse sera finalisé dans quelques jours, a fait savoir une source gouvernementale, annonçant que ce plan mobilisera une enveloppe budgétaire de 1,5 à 2 milliards de Dirhams. La vision pourrait maintenant être plus claire après les premières pluies de l’année 2016, permettant un diagnostic approfondi de la situation.
Ce Plan d’urgence anti-sécheresse ne serait pas classique. Il concerne aussi bien les grandes cultures, l’arboriculture fruitière et le maraîchage avec la mise en place de certaines mesures au profit de l’agriculteur en matière d’irrigation en cas de besoin et selon des conditions posées pour pouvoir profiter de ces aides dans le cadre dudit plan. Parmi ces exigences, la zone doit être déclarée sinistrée. Et en fonction du taux de sinistralité se fera le calcul des niveaux d’aides.
A rappeler que dans un article publié le 4 janvier 2016, AgriMaroc.ma a rapporté que la Mamda va couvrir un risque de 1,2 milliards de DH et que les décaissements se feront en fonction des sinistres et autres critères cités en détails dans l’article.
Ahmed Ouayach, président de Comader (Confédération marocaine de l’Agriculture et du Développement Rural) a indiqué qu’il va falloir revoir l’échéancier des dettes des agriculteurs et leur donner des aides directes quand l’année n’est pas satisfaisante pour les petits agriculteurs. La subvention des aliments de bétail devrait aussi avoir lieu. L’élevage en parcours est particulièrement affecté par l’absence de pluviométrie.
L’anti-sécheresse semble devenir une stratégie importante pour les années à venir si l’on en croit différents experts qui font état d’un alarmisme général logique et inévitable.
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