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Le clan Bouteflika torpillé dans ses ambitions

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  • Le clan Bouteflika torpillé dans ses ambitions

    Le clan Bouteflika torpillé dans ses ambitions

    mondafrique.com

    Par Louise Dimitrakis -
    20 janvier 2016

    A l’approche d’un nouveau remaniement ministériel qui devrait battre les cartes du jeu politique algérien, la guerre des clans s’intensifie entre les alliés du président Bouteflika et les gradés qui lui sont opposés.


    Nouvelle bataille au sommet de l’Etat algérien. Le ministre de la Ville et de l’Habitat, Abdelmadjid Tebboune, a limogé brusquement et sanctionné sévèrement une dizaine de directeurs de logements. 29 directeurs ont reçu un blâme et 3 des mises en demeure. Cette succession de sanctions et de punitions constituent une première en Algérie surtout dans ce secteur qui revêt un intérêt stratégique puisqu’il capitalise les attentions de tous les Algériens confrontés à la crise de logement.

    Guerre des clans

    Mais s’agit-il uniquement d’un remaniement interne obéissant à des critères professionnels ? Loin s’en faut. Toutes nos sources sont unanimes : ces limogeages interviennent dans le sillage d’une nouvelle guerre de clans qui déchire les différents lobbies composant le régime algérien. Pressenti pour être l’un des hommes qui occuperont des hautes fonctions les plus prestigieuses lors du prochain remaniement ministériel prévu après l’adoption définitive de la nouvelle constitution, Tebboune vient de démasquer un complot d’Ahmed Ouyahia, le chef de cabinet du palais d’El-Mouradia proche de plusieurs militaires et leader du RND qui « magouille », d’après nos sources, depuis plusieurs semaines pour neutraliser les hommes forts du FLN et du clan présidentiel d’Abdelaziz Bouteflika.

    « Pour peser sur le prochain remaniement ministériel et placer ses lieutenants, le RND d’Ahmed Ouyahia complote pour déstabiliser et discréditer les ministres les plus emblématiques du gouvernement de Sellal et membres du comité central du FLN. Tebboune est le premier adversaire des hommes du RND notamment d’Abdesslam Bouchouareb qui lorgne sur le poste du Premier ministre », nous explique une source très bien introduite au sein de ces réseaux qui côtoient tous les décideurs algériens. La lutte entre le RND est le FLN est aujourd’hui une guerre ouvertement déclaré. Amar Saâdani ne veut plus partager le pouvoir avec Ahmed Ouyahia. Et ce dernier qui cultive des ambitions présidentielles dans la course à la succession à Abdelaziz Bouteflika, échafaude des plans pour écarter le FLN des instances les plus puissantes du régime.

    Sabotage à tout va

    Et après avoir réussi à rallier de nombreux petits partis dans un front d’opposition contre le FLN lors des récentes élections sénatoriales, Ahmed Ouyahia ambitionne, désormais, de placer son ami Bouchouareb et l’un des cadres de son parti, à la tête du futur gouvernement. Pour ce faire, une seule option s’offre à lui : « Salir et saboter le travail des autres ministres en compétition pour succéder à Sellal ». La tactique diabolique est vite élaborée : fort de ses réseaux au sein de l’administration algérienne et de ses accointances avec les cellules secrètes du DRS, le RND a demandé à ses hommes de monter de toutes pièces des affaires scandaleuses dans le secteur de l’Habitat afin d’enclencher une vague de protestation populaire et une large campagne médiatique à l’encontre de Tebboune, l’ennemi numéro un et chouchou de l’heure du clan présidentiel.

    Des directeurs de logements dans plusieurs wilayas ont laissé faire des opérations de distribution de logements très controversées. Ils ont fermé les yeux face à de nombreuses irrégularités. Ils ont même avantagé des pratiques mafieuses pour porter un énorme préjudice à leur ministre de tutelle. Cependant, le complot n’a pas fonctionné comme il faut puisque Tebboune « a senti le coup venir », nous confient ses proches. « Il a vite pris des mesures coercitives et a limogé tous les cadres impliqués dans cette vaste fumisterie orchestrée pour l’abattre et le pousser vers la sortie lors du prochain remaniement », assurent encore des interlocuteurs qui travaillent dans son cabinet. Tebboune a-t-il, pour autant, gagné la guerre ? Pas si sûr car Ahmed Ouyahia et ses réseaux risquent bel et bien de revenir à la charge dans les jours à venir.

    Les scandales de Ali Haddad et Bouchouareb


  • #2
    Les fonctionnaires du logement n'ont aucune appartenance ni au clan Boutef ni à aucun autres ,il s'agit d'un Ministre(rare) qui fait son boulot et qui avait pris les mesures qui s'imposaient , pour sanctionner , puisque dans ce tas il n'y a aucun protégé du systeme et les proteges du systeme sont dans la haute spheres et le Ministere du logement n'en constitue pas une ,c'est juste une boite chargé d'amortir le mecontentement populaire!!!

    Donc que ce torchon de ***** arrette de raconter n'importe quoi ?
    une pensée n’existe vraiment que si elle est comprise.

    Commentaire


    • #3
      le patrona algerien c'est qui?, C'est les anciens administrateurs des années
      80 qui puisé dans l'argent publique..cette dame parle de patron algerien mais qui etaient riche avant 62??
      Apres 62 une nouvelle game de riche est apprue en faisant detourner le budget de l'etat puisque la richese etait redevenue monnaie et non produit..c'est pourquoi le dinars chute tout le temps..ils impriment detournent et comme la monnaie papier n'a aucune valeurs alors ils commencent a tranformer ces chkaras partout dans l'immobilier les terrain les devises..
      c'est eux qui creent l'inflation et la dévaluation..
      tu prends une direction de l'etat une wialya qui offrent gratuitetement les terrains pour des promoteurs privés de construction en exigeant au promoteur de leurs reserver les 10% du quotat de logement..ça veut dire quoi??
      ça veut dire au lieu que l'etat perçoit l'argent des terrains, eux d'une manière visieuse mette l'argent de l'etat dans la poche..ça veut dire quoi ausii?? l'etat n'aiyant plus d'entrée d'argent elle ne pourra plus pauyer les gens, on appelle ça sans doute le deficit donc une fois le deficit est là l'etat doit emprunter l'argent pour payer les focntionnaire les militaire les enseignats les gendarmers etc..il ne lui reste que l'emprunt etranger si aucun pays refuse de lui preter l'argent, elle imprime l'argent d'ou la réaction des étrangers qui augmente leurs parité de leurs monnaies..
      ces mêmes fonctionnaire qui empêchent l'entrée de l'argent a l'état c'est eux qui pousse l'etat a la faillite..puisqu'ils ont eu leurs chkara ils s'en foute une fois découvert ils ont deja garantie leurs arriérés
      cette situation arrange bien sure les pays étrangers car plus notre monnaie descend plus ils peuvent s'acheter tout le pays pour une bouchée de pain..un minable travailleur en europe peut se permettre beaucoup de choses en algerie..
      mais une fois l'algerie redeviendra une zoubiya qui voudra venir ici??

      L'algerie lorsqu'elle a réprimé le service fiscal elle a chuté..parce que le service fiscale fait la surveillance en avale..tu peux voler l'argent de l'État en amont mais difficile de le blanchir en aval..car une fois tu a bâtie une villa le fisc te demande les origines des fonds..alors ça ralentie un peu le détournement.

      l'algerie a jusqu'a maintenant une chance d'arrêter sa descente en enfer..
      primo laisser les gens investir leurs argent en liberant le foncier publique
      en mettant en vente des lots directements par le fisc, comme ça tout algerien qui a de l'argent de coté et ne voudra pas le mettre en banque sera obligé de le sortir pour acheter le ciment et le rond a beton,,donc le fisc va récupérer la totalité de l'argent qui est ''piégé et retenu'' et qui n'est remis en circulation c'est des sommes colossale..il suffit de faire une annonce de vente de lot terrain construction 2 millions le m² pour voir le nombre de souscripteur chez le fisc..
      une fois la masse récupéré les gens ne pouvant pas se permettre des voyages..tout leurs economie va vers le ciment le carburant et le rond abeton et comme ces trois secteurs sont propriété de l'etat donc l'etat recouvre tout l'argent d'excédentaire..
      les devise vont revenir a leurts valeurs ideale pour assurer le marché noir de la mode et le hadje et omra sinon le tourisme est redevenue inaccessible..
      un café a Paris a 1.5euro revient a 300 da et le repas de base a 3000 da
      c'est de la folie..personnellement je ne l'accepterais jamais..
      3000 da c'est 1kg de filet d'agneau 1kg de sardines en pic nic c'est la folie grilladine...
      les choses sont claires si l'etat ne fait pas ce plan basique de sortie de crise que chacun fera sa conclusion, en dessous de ce programme que j'ai cité en haut y'a pas d'autre aussi simple et aussi accessible..
      donc a défaut de le faire ''certain veulent plonger l'algerie''

      Commentaire


      • #4
        De la trahison chez les Algériens

        « Urbem venalem et mature perituram, si emptorem invenerit. »
        (Une ville à vendre et condamnée à la destruction rapide, si elle devait trouver un acheteur)
        Ainsi Jugurtha décrivit Rome !

        Les autochtones de ce pays s'irritent de ma franchise, qu'ils appellent de l'insolence ; mais
        leur colère est impuissante.
        L’Algérie est perdue pour eux.
        Comment?
        L'aventure n'est pas nouvelle. Ecoutez Démosthène, expliquant aux Athéniens comment les Grecs ont perdu la Grèce, an -343 avant J.C. :
        Les Grecs ont aujourd'hui autant de goût pour la servitude qu'ils en avaient jadis pour la liberté. Il y a une raison.
        Dans vos âmes régnait alors un sentiment qui a triomphé de l'or des Perses, qui vous a donné la victoire sur terre et sur mer, qui assurait votre indépendance. Il s'est éteint. Et vous avez marché de désastre en désastre.
        Quel était ce sentiment?
        Le plus simple et le plus naturel : la haine de tous les citoyens contre quiconque se vendait aux ennemis de la patrie. L'homme qui se laissait corrompre était châtié sans faiblesse, sans pitié ni merci...
        Maintenant, tout se vend comme à la foire.
        Le corrompu n'excite que la jalousie ; son aveu ne soulève que le rire ; quand son crime est prouvé, on lui pardonne ; on n'en veut qu'aux honnêtes gens capables d'indignation.
        Nous avons des soldats, des revenus publics, des armes et des approvisionnements plus que nous n'en avons jamais possédé ; notre pays devrait être plus puissant que jamais ; tout devient inutile par le crime des vendus.
        [Aux Grecs :]
        Montez à l'Acropole : vous y lirez, gravés sur une colonne d'airain, l'exemple et le précepte que vous avaient légués vos pères :
        « Qu'Arthmios, fils de Pythonax, le Zélite, soit voué à l'infamie, qu'il soit tenu pour ennemi du peuple, des Athéniens et de leurs alliés, lui et toute sa race - car il apporta dans le Pèloponèse l'or des Perses. »
        Telle est l'inscription.
        Au nom de Dieu, réfléchissez ! Comprenez quelles étaient la pensée des Athéniens d'alors, et l'élévation de leur âme.
        D'après nos lois criminelles, l'homme ainsi noté d'infamie doit mourir ; point n'est besoin d'autre procès ; le premier citoyen qui le rencontre peut le tuer sans crime.
        La mort contre ceux qui corrompaient nos hommes ! La mort contre ceux de nos hommes qui se laissaient corrompre.
        Voilà comme on veillait au salut de la Grèce.
        Mais vous ne voyez plus ces choses, ni bien d'autres, de la même façon...
        Eh bien, Algériens, vous qui avez la vanité et la prétention de vous comparer aux « grands » de ce monde, aux Athéniens, vous pouvez vous vanter en effet de leur ressembler sur ce point.
        Vous ne manquez pas d’accuser de trahison tous ceux qui en exil servent les desseins d’un autre gouvernement, et leur soi-disant patrie contre « la vôtre » à chaque fois que vos intérêts tant à l’étranger qu’en Algérie sont menacés !
        Mais c'est vous qui avez la trahison dans le sang ; quand vous n'êtes pas traîtres vous-mêmes,
        vous gardez aux traîtres une indulgence infinie.
        Vos militaires, vos politiciens, vos journalistes vivent dans une atmosphère de trahison,
        n'attendent pour trahir qu'une occasion avantageuse, et comptent sur votre pardon.
        Comme les Grecs, vous rirez ; vous envierez la fortune du traître ; vous direz: « C'est un
        habile homme! » Et comme les Grecs, vous réserverez votre colère pour les importuns, pour
        les empêcheurs de « trahir en rond », pour les candides citoyens qui peuvent encore s'indigner.
        C'est par là que vos ennemis vous tiennent.
        Votre vénalité, la vénalité de tous vos hommes, vous met à leur discrétion.
        Vos pères coupaient la tête aux généraux même victorieux qui n'avaient pas su tirer tous
        les fruits de leur victoire. Mais vous avez porté Bouteflika au premier rang de l'État…
        « Vous ne voyez plus ces choses, ni bien d'autres, de la même façon. »
        La carrière de vos hommes publics n'est qu'une suite de trahisons. Chacun d'eux semble n'avoir d'abord choisi un parti que pour faire fortune en le trahissant ; et chaque parti croit
        atteindre aux sommets de la grande politique en achetant la trahison de ses adversaires.
        Nous avons vu des chefs de partis se louer aux grandes compagnies capitalistes, aux pouvoirs capitalistes, aux financiers, aux spéculateurs de la corruption.
        Nous voyons ces chefs nationalistes se vendre aux hommes d'affaires exotiques, au gouvernement d'Israël, aux banquiers juifs, aux officines qui combattaient rudement leurs idées et traquaient furieusement leurs électeurs.
        Nous avons vu des politiciens islamistes maquignonner de louches trafics avec les laïcs et avec les Juifs.
        Comment se peut-il que vous soyez devenus les serviteurs et les complices de la juiverie internationale ?
        Ah! le noble peuple que vous êtes!
        Pour quelques dollars, pour un petit euro, vous
        livrez votre foi, votre conscience, vos espoirs,
        votre dignité ; vous livrez votre patrie.
        Et vous avez toujours des prétextes si touchants!
        L'un déclare : « Je ne suis pas un ascète ; il
        me faut la vie large ».
        Un autre: « Ce sera le pain de mes vieux jours ».
        Celui-ci: « Ma bien-aimée ne peut vivre que
        dans un appartement de luxe à Paris ».
        Jadis, l'homme qui n'avait pas une conscience ferme était affermi dans la bonne voie par la crainte. Il était sûr de ne pas savourer en paix le produit d'un marché honteux. Il était sûr du châtiment. Il était sûr de l'infamie.
        « Et cette haine générale contre les corrompus triomphait de l'or des Perses, vous donnait la
        victoire sur terre et sur mer, garantissait votre indépendance ».

        Pauvre vieux peuple! Votre suprême chance de salut serait dans ce sentiment naturel et simple.

        Si le traître parmi vous était par vous accablé d'infamie ; si son infamie autorisait n'importe quel citoyen à le tuer ; si vous prononciez la mort contre ceux de vos hommes qui se vendent et contre les agents ennemis qui achètent vos hommes, peut-être encore réussiriez-vous à garder l’Algérie.
        Mais vous ne le ferez pas. Vous n'en avez plus l'énergie. «Vous ne voyez plus ces choses de la même façon.»
        En effet, vous donnez l'exemple :
        Un pourboire des Rothschild, une commandite de la CIA, un soutien ou une invitation d’un Hollande vous paraît une réalité pratique, un bénéfice immédiat, bien supérieur au patriotisme ombrageux, à la scrupuleuse intégrité de vos pères.
        Et voilà pourquoi l’Algérie est perdue pour vous !

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        • #5
          Kherbouha aw ga3dou 3la tel'ha

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