Federica Mogherini a été obligée de châtier Gilles Pargneaux. Cet eurodéputé, grassement rémunéré par Rabat, ne fait pas seulement dans l’excès de zèle, mais du zèle dans l’excès.
Gilles Pargneaux demande la parole. Il tente tout pour se faire remarquer et braquer, sur lui, les regards. Cet eurodéputé, qui, pour défendre le Maroc, l’un de ses employeurs, ne fait pas simplement de l’excès de zèle mais du zèle dans l’excès. Que voulait-il donc révéler avant-hier à Strasbourg et de si important ? Rien de bien particulier ni de précis, sauf à évoquer, pêle-mêle, la situation au Sahel, les groupes terroristes et... l’aide de l’Union européenne aux réfugiés sahraouis.
(...).
Mohamed Sidati, ministre, représentant le Polisario et la RASD en Europe, l’interpella, un jour, à Bruxelles : «M. Pargneaux, avez-vous un jour eu un sentiment de honte ? Savez-vous que vos attitudes n’aident pas le Maroc à se sortir du problème sahroui ?»
Ce jour-là, remonté et pas disposé à concéder quoi que ce soit, Mohamed Sidati lui conseilla «au moins, après avoir pris votre chèque de la part des Marocains, conseillez-leur d’emprunter la voie de la sagesse et du discernement...» Pargneaux, tête baissée, quitte la salle des pas perdus du Parlement européen à Bruxelles. A Strasbourg, Mogherini lui assène un autre coup.
Source: Soir d'Algérie
Gilles Pargneaux demande la parole. Il tente tout pour se faire remarquer et braquer, sur lui, les regards. Cet eurodéputé, qui, pour défendre le Maroc, l’un de ses employeurs, ne fait pas simplement de l’excès de zèle mais du zèle dans l’excès. Que voulait-il donc révéler avant-hier à Strasbourg et de si important ? Rien de bien particulier ni de précis, sauf à évoquer, pêle-mêle, la situation au Sahel, les groupes terroristes et... l’aide de l’Union européenne aux réfugiés sahraouis.
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Mohamed Sidati, ministre, représentant le Polisario et la RASD en Europe, l’interpella, un jour, à Bruxelles : «M. Pargneaux, avez-vous un jour eu un sentiment de honte ? Savez-vous que vos attitudes n’aident pas le Maroc à se sortir du problème sahroui ?»
Ce jour-là, remonté et pas disposé à concéder quoi que ce soit, Mohamed Sidati lui conseilla «au moins, après avoir pris votre chèque de la part des Marocains, conseillez-leur d’emprunter la voie de la sagesse et du discernement...» Pargneaux, tête baissée, quitte la salle des pas perdus du Parlement européen à Bruxelles. A Strasbourg, Mogherini lui assène un autre coup.
Source: Soir d'Algérie
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