MERIEM DERKAOUI, MAIRE D'AUBERVILLIERS dans la banlieue proche de Paris, en France. Elle devient ainsi l’une des trois femmes à diriger une ville de plus de 75 000 habitants en Île-de-France.
Selon Le Parisien, Meriem Derkaoui est fille de chahid, née à Saïda en 1955. Son père a été tué en 1962. Partie faire ses études de droit à Oran, elle adhère au Parti de l’avant-garde socialiste (ex-PAGS) devenu Ettahadi puis le Mouvement démocrate et social (MDS) au sein duquel elle milite.
Meriem Derkaoui quitte l’Algérie en octobre 1990 pour la France où elle poursuit ses actions militantes notamment à travers la création d’un relais d’associations algériennes des femmes démocrates. L’objectif est « d’apporter un soutien aux Algériennes en butte aux islamistes », selon Le Parisien.
Meriem Derkaoui rejoint le Parti communiste français (PCF) en 2000. « Aubervilliers m’a accueillie il y a 17 ans. C’était une ville ouverte et solidaire », expliquait-elle hier, après son élection à la tête de la ville. « Elle va apaiser les tensions », pense un employé communal.
Tsa
Selon Le Parisien, Meriem Derkaoui est fille de chahid, née à Saïda en 1955. Son père a été tué en 1962. Partie faire ses études de droit à Oran, elle adhère au Parti de l’avant-garde socialiste (ex-PAGS) devenu Ettahadi puis le Mouvement démocrate et social (MDS) au sein duquel elle milite.
Meriem Derkaoui quitte l’Algérie en octobre 1990 pour la France où elle poursuit ses actions militantes notamment à travers la création d’un relais d’associations algériennes des femmes démocrates. L’objectif est « d’apporter un soutien aux Algériennes en butte aux islamistes », selon Le Parisien.
Meriem Derkaoui rejoint le Parti communiste français (PCF) en 2000. « Aubervilliers m’a accueillie il y a 17 ans. C’était une ville ouverte et solidaire », expliquait-elle hier, après son élection à la tête de la ville. « Elle va apaiser les tensions », pense un employé communal.
Tsa
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